Astrium prêt à lancer le satellite Spot 6 sur orbite

Le nouveau satellite d’observation de la Terre – Spot 6 – réalisé par Astrium, numéro un européen de l’industrie spatiale, est désormais prêt pour sa campagne de lancement. Dans les jours à venir, il sera transféré du site Astrium Satellites de Toulouse vers le Satish Dhawan Space Centre, en Inde, où il sera intégré sur le lanceur PSLV chargé de le placer en orbite.

Spot 6 est un satellite optique d’observation de la Terre en haute résolution. Comme son frère jumeau Spot 7, prévu pour être lancé début 2014, Spot 6 disposera d’une fauchée de 60 km. Tous deux livreront des produits d’imagerie offrant une résolution allant jusqu’à 1,5 mètre. La mission principale de Spot 6 et Spot 7 consistera à assurer la continuité de service des satellites Spot 4 et Spot 5, respectivement en opération depuis 1998 et 2002.

Comparé aux précédentes missions Spot, les performances ont été significativement améliorées, au niveau du segment sol et des satellites eux-mêmes. C’est particulièrement vrai pour la réactivité, depuis la programmation du satellite jusqu’à la livraison des données aux utilisateurs, et pour la capacité d’acquisition. En effet, Spot 6 et Spot 7 permettront une revisite quotidienne en tout point de la Terre, pour une couverture totale de six millions de km² par jour. De plus, Spot 6 et Spot 7 sont des satellites « agiles » qui peuvent s’orienter rapidement pour viser tout point dans une zone de 1500 km autour de leur position.

Copyright: Astrium/Dominique ESKENAZI/2012

Source : https://www.astrium.eads.net/

Rapprochement entre Mecasem Mesures et Mecasem Métrologie

Afin de poursuivre le développement de la société et mutualiser tous ses savoir-faire, Mecasem a décidé de procéder au rapprochement de ses deux entités Mecasem Mesures et Mecasem Métrologie, jusque-là filiales à 100% du groupe Mecasem.

Effective depuis 1er juillet 2012, cette fusion des activités des deux filiales font de facto disparaître l’entité juridique de Mecasem Mesures.

Par ailleurs, ce rapprochement permettra de structurer le groupe en deux pôles complémentaires. Le pôle Essais d’une part et le pôle Métrologie d’autre part, intégrant les activités en laboratoires et sur sites.

En photo : Le pôle Essais et siège social à proximité de Strasbourg

Source : https://www.mecasem.com

Le module multi-cristallin d’ET Solar réalise de hautes performances lors d’essais menés par Photon

ET Solar Group Corp. (« ET Solar »), fabricant de solutions tout en un de premier plan, vient d’annoncer que son module multi-cristallin ET-P660240 a obtenu de très bons résultats lors d’essais en extérieur réalisés par Photon Laboratory (« Photon Lab »).

Le module ET-P660240 est un module multi-cristallin qui a une capacité de production d’énergie maximum unitaire de 240 watts. Lancé par ET Solar en 2010, il figure parmi les produits clés de la société. Il est essentiellement vendu en Europe et représente une grande partie du chiffre d’affaires total d’ET Solar depuis cette date.

Lors d’un test récemment mené par Photon Lab, le module ET-P660240 a enregistré un rendement de 629 kWh/kW sur une période d’essai de huit mois et s’est classé au premier rang de tous les modules multi-cristallins proposés par différents fabricants de modules internationaux renommés testés par le laboratoire en extérieur dans les mêmes conditions.

Des essais qui ouvrent la porte à d’autres collaborations futures

Photon Lab compte au nombre des laboratoires d’évaluation et d’essai des systèmes photovoltaïques célèbres et renommés. Depuis 2005, la société mesure le rendement énergétique des modules solaires de quelques-uns des plus grands fabricants de modules photovoltaïques au monde. Les tests d’évaluation comparent la production d’énergie en kilowatt des modules participants.

Dennis She, PDG d’ET Solar, a déclaré : « Nous sommes ravis que nos modules aient obtenus de très bons résultats lors de ces essais rigoureux. Cela montre que les nombreux efforts que nous avons déployés pour fabriquer des produits de grande qualité sont récompensés. Nous sommes convaincus d’obtenir d’excellents résultats lors des essais de rendement et sommes heureux à l’idée de continuer à l’avenir de travailler en étroite collaboration avec Photon Lab et d’autres organismes d’essai internationaux pour valider les performances et la qualité de nos produits. »

Source : https://www.etsolar.com/

L’INRS met au point un dispositif pour la réduction des champs électromagnétiques émis par les soudeuses haute-fréquence anciennes

L’Institut national de recherche et de sécurité (INRS) a mené une étude qui précise les caractéristiques d’un dispositif appelé «patin de masse», destiné à réduire l’exposition des salariés travaillant sur des soudeuses haute-fréquence. Ce travail montre que ce système, que l’on trouve sur des machines neuves, peut être mis en oeuvre sur les soudeuses anciennes donnant ainsi la possibilité aux entreprises de réduire le risque pour leurs salariés.

Les soudeuses ou presses haute fréquence sont utilisées dans la fabrication de produits à base de polymères isolants. Les opérations de soudage nécessitent la présence constante d’un, voire de deux opérateurs qui, sur les machines de conception ancienne, sont exposés à un niveau de champ électromagnétique supérieur aux limites recommandées par la directive européenne1. A contrario, les mesures effectuées aux postes de travail de machines neuves équipées d’un dispositif appelé « patin de masse » ont montré que le niveau d’exposition des opérateurs se situait en dessous des valeurs limites préconisées.

L’INRS a conduit une étude afin de mettre au point un dispositif analogue au « patin de masse » pour les soudeuses en service, d’en vérifier l’efficacité et de valider les conditions opérationnelles de mise en oeuvre. Les résultats obtenus par l’Institut et les mesures effectuées avec les Carsat montrent qu’il est possible de réduire efficacement l’exposition des opérateurs de machines anciennes en les équipant de ce système.

Le principe de la conception, le dimensionnement et la mise en oeuvre du dispositif sont simples (largeur du patin, isolation de la table, liaisons électriques…). Il est toutefois conseillé aux utilisateurs de faire appel à des sociétés spécialisées. Il convient en effet de s’assurer que la modification ne dégrade pas l’ergonomie et le niveau de sécurité global du poste de travail.

Ce travail s’inscrit dans la continuité de la campagne de mesures de valeurs d’exposition des salariés travaillant avec des équipements émetteurs de champs électromagnétique qui s’est tenue l’année dernière.

Légende graphique : Variation de l’intensité de champ électrique rayonné en fonction de la capacité patin/table

Source : https://www.inrs.fr

Le Cetiat enregistre une baisse de son chiffre d’affaires en 2011

Le second semestre s’est révélé plus compliqué que le premier pour le centre technique industriel spécialisé dans les industries aérauliques et thermiques. Cette baisse de 2% du chiffre d’affaires (11,8M) a été plus fortement marquée dans les prestations réalisées (7,6M en 2011 contre 7,8M l’année précédente) dans le domaine des procédés industriels. Les chiffres sont restés stables dans les activités de métrologie et CVC (chauffage, ventilation, conditionnement d’air).

Toutefois, Bernard Brandon, directeur général du Cetiat, a rappelé que le centre technique conserve malgré tout un environnement financier positif avec une capacité d’autofinancement de 791K. Par ailleurs, l’activité de formation connaît une augmentation de 14%.

Le Cetiat compte sur le bon déroulement de son contrat de performance 2012-2015 qui entend pérenniser le statut de centre technique de l’établissement et orienter ses efforts autour de trois grands axes : la réaffirmation de nouvelles thématiques comme l’efficacité énergétique, la qualité des environnements intérieurs, l’évolution des équipements et des systèmes. Le deuxième axe concerne le maillage partenarial entre le Cetiat et les autres centres techniques, laboratoires universitaires, les organismes techniques etc.

Enfin, le troisième et dernier axe implique l’évolution du mode de gouvernance des activités collectives ; celle-ci doit en effet mieux prendre en compte l’offre des entreprises et devrait s’appuyer sur deux comités de programme, l’un chargé du bâtiment, l’autre de l’industrie, ainsi que sur des groupes de travail techniques.

Source : https://www.cetiat.fr/

Bernard Chemoul nommé directeur du Centre spatial guyanais du CNES

Bernard Chemoul est entré en fonction en tant que directeur du Centre spatial guyanais du CNES, l’agence spatiale française, le 1er juillet 2012. Il était directeur-adjoint et sous-directeur Protection sauvegarde environnement du Centre spatial guyanais, depuis 2008.

Né le 2 janvier 1958, Bernard Chemoul est diplômé de l’Ecole Nationale Supérieure de Mécanique et d’Aérotechnique (ENSMA) de Poitiers (1981). En 1982, Bernard Chemoul intègre la Direction des lanceurs du CNES à Evry, en tant qu’ingénieur d’études structure et Ingénieur de projet, notamment Ariane 4, Ariane 5 et Hermès, puis devient Chef du département Système ambiance et Chef de projet en 1988. Il occupe ensuite les fonctions de chef de division Mécanique, aérodynamique, thermique en 1998, puis celles de sous-directeur technique Lanceur en 2000. Il est directeur de programmes Ariane 5 et Vega en 2005. Bernard Chemoul rejoint le Centre spatial guyanais en 2008, comme directeur-adjoint et sous- directeur Protection sauvegarde environnement.

Le 1er juillet 2012, Bernard Chemoul a succédé à Joël Barre, à la tête du Centre Spatial Guyanais. Bernard Chemoul a dispensé des cours à l’Ecole nationale supérieure des techniques avancées de Paris (Dynamique des structures et interaction fluides – structures), à partir de 1986, puis, comme professeur vacataire à l’Ecole nationale supérieure de l’aéronautique et de l’espace de Toulouse (Mastère technologies aéronautiques et spatiales) pendant 10 ans jusqu’en 2002 et à l’école nationale supérieure des Arts et Métiers de Paris (Mastère Architecture des lanceurs) de 2001 à 2005. Bernard Chemoul est Chevalier de l’Ordre national du Mérite.

Source : https://www.cnes.fr

Une solution logicielle pour positionner les mannequins d’essais de collision

Creaform, spécialisé dans les technologies de mesure 3D portables et l’ingénierie 3D, et Faurecia Autositze GmbH ont annoncé qu’elles travaillent ensemble pour développer une solution logicielle pour la mesure et le positionnement de mannequins.

Cette solution logicielle sera utilisée avec les systèmes de métrologie 3D de Creaform dans des usines de Faurecia en Allemagne, en France et dans d’autres pays, mais elle pourrait éventuellement trouver d’autres applications dans d’autres industries dans le monde.

La technologie de mesure dynamique VXtrack de Creaform permet la création de solutions individuelles et personnalisées. Le logiciel pour le positionnement de mannequins, qui est en cours de développement par Faurecia Autositze, permettra la mesure en temps réel et en simultané de tous les points de mesure 3D nécessaires à l’alignement des mannequins avant l’essai de collision.

En combinant ce logiciel aux systèmes de mesure 3D optiques et portables de Creaform, on obtiendra une solution conviviale, polyvalente et mobile qui permet de réduire grandement les heures de travail et d’accroître l’exactitude des mesures comparativement aux autres systèmes.

Faurecia Autositze GmbH utilise actuellement la MMT portable HandyPROBE et un scanneur optique sur MMT portable MetraSCAN 3D pour analyser les pièces de véhicule sur la piste d’essai de collision. Faurecia utilise plusieurs systèmes de Creaform dans ses usines de partout dans le monde.

Source : https://www.creaform3d.com/fr