MP2i se dote d’un laboratoire d’essais intégré et accélère son développement

Dans le cadre de son extension, et pour accélérer son développement économique et industriel, MP2i se dote d’un laboratoire d’essais intégré.

En novembre 2012, dans le cadre de son extension, l’entreprise mâconnaise MP2i (CA 2011 1,2M) met en service un laboratoire de tests et de mise au point, totalement indépendant et confidentiel. Spécialisée dans les matériaux plastiques, les calculs de structures et la simulation rhéologique, la société bourguignonne renforce aujourd’hui son approche scientifique et se positionne pour répondre en interne aux contrats de R&D et au développement de projets à long terme (3 à 5 ans).

Dotée de son propre laboratoire, MP2i élargit son périmètre d’intervention pour renforcer son autonomie, assurer de nouvelles prestations pour ses clients et accroître la confidentialité grâce à la suppression de la sous-traitance pour les nouveaux concepts. L’investissement pour les nouveaux locaux et le nouveau laboratoire s’élève à 250 000 pour l’achat des bâtiments, l’aménagement intérieur et les premiers équipements.

Source : https://www.mp2i.fr/

Les microtechnologies sous toutes les coutures

Du 25 au 28 septembre 2012, MICRONORA, le salon international des microtechniques et de la haute précision est le rendez-vous biennal des avancées sur les microtechnologies dans tous ses domaines d’application (automobile, aéronautique, médical, télécommunications, produits de loisir…).

Ainsi, les industriels de ces secteurs, toujours à la recherche de solutions pour réduire les dimensions de leurs produits, tout en augmentant considérablement leurs fonctions, accéderont aux dernières techniques de microtechnologies.

Aujourd’hui, cette démarche du toujours plus petit et plus précis est portée par deux approches :

— L’une pousse au maximum la miniaturisation des techniques existantes avec le mariage des techniques de la microélectronique (avec l’informatique) et de la micromécanique pour réaliser des systèmes allant du millimètre au nanomètre en passant par le micron.

— La seconde approche utilise les technologies de la microélectronique pour favoriser encore plus l’intégration des systèmes avec la réalisation des MEMS (Micro ElectroMechanical Systems).

La microtechnologie : compagnon de notre quotidien

Les produits de loisirs : Depuis les années 1970, la montre à quartz est devenue un véritable laboratoire de la miniaturisation des technologies aussi bien pour la motorisation que pour l’énergie. Le lecteur de CD-Rom combine un moteur tournant à grande vitesse, une tête de lecture composée d’une diode laser portée par un équipage mobile constituée d’une charnière sans cesse rééquilibrée par des microbobines électromagnétiques permettant ainsi au lecteur de résister aux chocs tout en conservant la précision (de quelques microns) du positionnement de la tête au-dessus du CD. Autre exemple et succès de la miniaturisation basée sur la combinaison de la microélectronique et de la micromécanique : les appareils photo-numériques.

Le médical : La microtechnologie est bien présente dans le développement de la chirurgie mini-invasive (coelioscopie) permettant l’emploi de miro-outils chirurgicaux (avec caméra et éclairage) pour différentes opérations. Ou encore, la capsule intestinale susceptible de voyager dans l’intestin tout en transmettant des images et pouvant aussi délivrer des médicaments aux bons endroits. Enfin, la réalisation des stents est une belle illustration des techniques d’usinage microtechniques que ce soit avec des stents métalliques ou en polymères avec l’emploi du laser.

L’industrie : Elle assiste à une évolution des machines-outils, susceptibles aujourd’hui d’usiner des pièces de petites dimensions au micron, mais aussi des grandes pièces nécessitant des tolérances équivalentes. Ces performances sont atteintes grâce à l’utilisation de capteurs, réalisés avec les technologies des microtechniques. Ainsi, l’emploi du laser femto-seconde dans les techniques d’usinage, en particulier pour le perçage, a permis d’atteindre des records de précision comme l’obtention de trous de 100 nm de diamètre pour des épaisseurs de quelques centaines de microns et avec un facteur de forme de l’ordre de 1000.

Les MEMS (Micro ElectroMechanical Systems)

Apparus dans le début des années 1980, les MEMS, qui utilisent uniquement les technologies de salle blanche de la microélectronique, sont en général composés de mécanismes mécaniques tel que des « poutres », « résonateurs », « moteurs ».

Quelques exemples d’applications :

Des nouveaux capteurs de pression remplaçant rapidement tous les autres systèmes : l’automobile a très vite utilisé ces dispositifs pour réaliser les capteurs (accéléromètres) pour la commande des airbags ;

Les accéléromètres sont largement utilisés dans les Smartphones, les consoles de jeux et les injecteurs pour têtes d’imprimantes.

Des composants mécaniques comme des roues, des ressorts spiraux … réalisés en silicium sont utilisés pour la fabrication des mouvements de montre mécanique.

Et demain ?

Les produits de demain combineront micro et nanotechnologies pour offrir plus d’applications spécifiques dans tous les domaines. Les microsystèmes d’aujourd’hui seront demain renforcés par de l’intelligence embarquée (création d’un laboratoire en Franche-Comté dédié à cette thématique). Dans le médical, on verra apparaître des microsystèmes directement implantables dans le corps comme la micropompe (pour les diabétiques) capables de créer sa propre insuline. Ainsi, les smartphones deviendront de véritables laboratoires d’analyse médicale reliés au centre d’analyse tout en étant aussi des outils de paiement de tous les services…

Pour plus de renseignements

www.micronora.com

Source : https://www.micronora.com/

La métrologie, la mesure et le contrôle bien représentés à Micronora

L’industrie ne saurait exister sans métrologie – mesure – contrôLe ! Tous les cahiers des charges industriels précisent en effet qu’une « valeur » doit être comprise dans un « intervalle » au risque de faire dériver le process ou de produire une pièce non conforme.

Un secteur transverse pour tous les industriels des microtechniques

Micronora s’impose aujourd’hui comme le plus grand salon européen dédié aux microtechniques et aux solutions multi-technologiques des domaines de la précision et de la petite dimension.

Les entreprises dites microtechniques, du « petit et précis », sont largement tributaires de la métrologie – mesure et contrôle. C’est d’ailleurs un des thèmes le plus transverse à tous les exposants industriels et visiteurs qui fréquentent Micronora.

Les leaders mondiaux exposent à Micronora

La filière est bien représentée au sein de Micronora, mais plus particulièrement la métrologie dimensionnelle selon deux axes majeurs : les mesures dimensionnelles et la caractérisation de surface.

Bruker-NSD, Leica, Werth Messtechnik, Renishaw, Optec Industries, Tesa, OGP, Nikon, Microvu, Hexagon Metrology, Microvision Instruments, Marcel Aubert, Diatest, Trimos Sylvac, Bowers Metrology, Alicona, Vision Engineering, Keyence, Carl Zeiss, Lovalite, Blum-Novotest, Altimet, Heidenhain, Schut, Doerler Mesures, Kistler, Elexience, Mahr, Mecasem, Baty France, Spectroscan, … exposeront leurs nouveautés à Besançon, du 25 au 28 septembre 2012, sur le salon Micronora.

La nanométrologie omniprésente dans la métrologie de demain

La nanométrologie représente un outil fondamental pour les nanotechnologies car elle permet la caractérisation des matériaux (dimensions et propriétés). Or les nanotechnologies innervent désormais tous les secteurs industriels. C’est dire l’importance dès à présent de la nanométrologie. A ces niveaux de résolution, les MMT ne sont plus efficientes : les microscopes électroniques, microscopes à force atomique (AFM) ou à effet tunnel (STM) prennent le relais sans oublier les interféromètres. De plus en plus de constructeurs sont présents dans la métrologie des états de surface avec de nouveaux instruments et méthodes de mesures à l’échelle nanométrique.

Un pavillon spécifiquement dédié aux nanotechnologies (hall C), regroupe de nombreux acteurs du secteur.

Micronora : spécialisé en transfert de technologie !

Toutes les entreprises high tech qui se rendent à Micronora partagent un même besoin de haute précision, combinée de plus en plus fréquemment avec la miniaturisation. En s’organisant selon une approche métiers bien ciblée et en s’adressant à tous les secteurs d’activité, le salon Micronora favorise et encourage le croisement, le transfert des technologies et, leurs applications. La synergie d’intérêts qui en résulte représente un atout précieux que seul peut garantir un salon structuré de la sorte.

Il est rare en effet, qu’une entreprise microtechnologique ne se consacre qu’à un seul secteur d’activité. Ainsi, une application remarquable dans un secteur comme l’optique par exemple peut trouver un débouché imprévu dans un autre secteur comme l’aéronautique ou le médical. Mieux encore, elle peut alors s’avérer plus innovante que dans le secteur initial pour lequel elle avait été conçue.

Micronora est bien plus qu’un salon

Grâce notamment à une animation zoom consacrée cette année aux « Technologies laser et leurs applications industrielles ».

Grâce aux Rencontres technologiques européennes, et aux conférences internationales micro & nanotechnologies. Et aussi, avec son concours des Microns d’Or qui récompense les innovations microtechniques.

Pour plus d’informations et obtenir votre badge d’accès gratuit au salon : www.micronora.com

Source : https://www.micronora.com/

Zoom Micronora 2012: Les technologies laser et leurs applications industrielles

Micronora, salon international des microtechniques et de la précision, se tiendra du 25 au 28 septembre 2012 à Besançon. Comme lors de chaque édition, un espace d’exposition appelé « Zoom » sera dédié à une technologie particulière : cette année, le laser sera ainsi mis à l’honneur.

Promouvoir collectivement les procédés laser

L’objectif du Zoom est d’illustrer les capacités du laser au niveau industriel et de montrer l’étendue des applications.

Le « zoom laser » est ouvert à tous les exposants de Micronora dont l’offre commerciale ou technologique inclus des composants, des systèmes ou des solutions intégrant une source laser. L’objectif du zoom est non pas de présenter chacune de ces offres, mais de promouvoir collectivement les applications industrielles du laser, en s’appuyant sur les développements réalisés au sein des entreprises participantes. Ainsi, un large choix de systèmes, d’échantillons mais aussi de films et de photos, permettront aux experts présents d’illustrer les sujets traités au sein des six îlots thématiques. Parallèlement à cette approche globale, des exemples précis seront présentés soit sous forme d’animations, soit lors de conférences : le programme de ces présentations est actuellement en cours de finalisation et devrait être disponible d’ici la fin de l’été sur le site Internet du salon.

Organisation du Zoom

Le Zoom Laser sera implanté au coeur du salon (Galerie – Entrée Nord 1) sur une superficie de 300 m².

Il est organisé par le salon MICRONORA en partenariat avec le Pôle des Microtechniques de Franche-Comté (www.polemicrotechniques.fr) et le Club Laser & Procédés, association professionnelle française pour le développement et la promotion des applications des lasers dans l’industrie (www.laserenligne.fr)

Le Zoom Laser est organisé en six îlots thématiques présentant chacun, de façon très pédagogique, un type d’applications industrielles mettant en oeuvre un laser. Sur chaque îlot, des panneaux illustreront les différentes applications industrielles du laser en allant du domaine macroscopique vers le domaine microscopique. Des vitrines présenteront également des pièces réelles usinées au laser et des échantillons de démonstration technologique. Des vidéos de procédés laser en action seront aussi présentées sur les divers îlots. Les visiteurs auront aussi l’opportunité d’échanger avec des professionnels du domaine.

Plusieurs démonstrations de systèmes laser seront organisées sur les divers îlots sur la durée du salon. Nous assisterons par exemple à des démonstrations de marquage laser par la société Laser Cheval, de soudage métallique par la société Rofin Baasel et de soudage de thermoplastique par la société Lasea.

La capacités du laser en termes de métrologie seront illustrées par une démonstration de mesure d’outils de coupe par métrologie laser par la société Blum Novotest ainsi que par une autre démonstration de reconnaissance de forme par triangulation laser par la société Keyence.

Un espace de conférences sera aménagé dans la partie centrale du Zoom. Plusieurs vidéos illustrant les différents procédés mis en avant sur le Zoom, y seront projetées sur la durée du salon. De plus, deux sessions de conférences seront organisées les mardi 25 et jeudi 27 septembre de 15h00 à 17h00. Les thèmes abordés seront, entre autres, le marquage et l’assemblage de thermoplastiques par laser, le micro-usinage laser, le marquage de précision, le soudage, la fabrication additive par selective laser melting et aussi les techniques de mesure d’outils d’usinage/perçage par métrologie laser. Ces conférences seront également l’occasion pour le public d’interagir avec des spécialistes du domaine. Deux panneaux présentant l’état et les grandes tendances du marché du laser au niveau mondial seront également exposés sur cet espace de conférences.

Description détaillée de chaque îlot thématique

  • Ilot 1 – Le laser pour les nuls : cet îlot présentera le principe de fonctionnement et les grandes propriétés (longueur d’onde, durée d’impulsion, cohérence, intensité …) du laser ainsi que la diversité des technologies laser. Un démonstrateur de laser à fibre y sera exposé par la société IREPA LASER. Un second démonstrateur présenté par la plateforme DISO illustrera les propriétés de diffusion de la lumière et le transport de faisceau laser par réflexion multiple.
  • Ilot 2 – Usinage : cet îlot sera consacré à l’usinage par enlèvement de matière. Il traitera en particulier des procédés de découpe, de perçage, de gravure, de marquage et de fonctionnalisation de surface. Pour chaque procédé, nous illustrerons les grandes applications en partant du macro vers le microscopique. Une machine de marquage de la société LASER CHEVAL sera en démonstration sur toute la durée du Zoom. Plusieurs vidéos de procédés d’usinage ou de marquage y seront présentées.
  • Ilot 3 – Fabrication additive : ce troisième îlot traitera des applications du laser relevant de la fabrication additive par fusion laser sélective ou par projection de poudre métallique, mais aussi de celles relatives au prototypage et à la fabrication personnalisées de pièces en polymères.
  • Ilot 4 – Assemblage : cet îlot sera dédié aux procédés d’assemblage par laser, c’est-à-dire le soudage métallique, le brasage et enfin le soudage de thermoplastiques. Une machine de micro soudage métallique de la société ROFIN BAASEL y sera en démonstration aux côtés d’une machine de soudage de thermoplastique de la société LASEA. En complément des nombreuses pièces exposées en vitrine, plusieurs pièces de grandes dimensions y seront présentées, telles qu’une pièce en composite organique assemblée au laser ou encore un masque facial assemblé au laser.
  • Ilot 5 – Métrologie : cet îlot sera consacré aux techniques de métrologie par laser telles que la télémétrie impulsionnelle, la triangulation, la reconnaissance de forme par projection de fente ou encore l’interférométrie laser pour le positionnement de précision. Plusieurs démonstrations illustreront la richesse des applications du laser dans le domaine de la métrologie. Les visiteurs découvriront par exemple un banc de mesure/contrôle d’outils d’usinage par laser de la société BLUM NOVOTEST, un capteur de déplacement de la société KEYENCE ou encore un banc de reconnaissance de forme par interférométrie de la plateforme DISO.
  • Ilot 6 – Domaines d’applications : Le but de ce dernier îlot est de montrer au public la diversité des applications du laser en présentant les interventions du laser dans la fabrication de produits finis tels qu’un avion, une automobile, un smartphone ou encore une montre. Des produits de tous les jours pour lequel le laser intervient dans le processus de fabrication seront également exposés en vitrine (cannette, biberon, rasoir, smartphone, lecteur de code-barre, lecteur DVD, télémètre laser pour chantier de travaux publics …).

39 entreprises participent au Zoom Laser

AGIE CHARMILLES, AICC, ALPHANOV, AMPLITUDE SYSTEMES, AILU, BBS CONSULT, BLUM-NOVOTEST, CLFA, CONTROLE LASER MESURE (CLM), ENSMM, EOLITE SYSTEMS, ES TECHNOLOGY, FEMTO-ST, GM PROD, IMPULSION, INDUSTRIAL LASER SYSTEMS, INSTITUT PIERRE VERNIER, IREPA LASER, ISA France, ISP SYSTEM, KEYENCE France, LASEA, LASER CHEVAL, LASER-JURA, LASER RHONE ALPES , LERMPS, MICRO USINAGE LASER (MUL), MICRLASER, OPTEC INDUSTRIES, OXFORD LASERS, PHENIX SYSTEMS, Plateforme DISO, PRECITEC, RENISHAW, RICUPERO, ROFIN BAASEL France, RUBIS PRECIS, STATICE.

Autres informations sur les applications industrielles du laser

Depuis sa découverte en 1960, le laser a fait un long chemin et s’est affirmé dans les années 1990 comme un véritable outil de production. Le laser s’invite aujourd’hui dans tous les secteurs de l’industrie. Il est considéré comme un outil performant, synonyme de qualité et de productivité.

La richesse des applications s’explique par les nombreux avantages et la grande flexibilité des procédés laser. Concernant les applications de transformation de la matière, on distingue les procédés d’usinage par enlèvement de matière (perçage, découpe, gravure, marquage en surface ou en volume), les procédés de fabrication additive (rechargement, stéréo lithographie, frittage, polymérisation à deux photons) et enfin les procédés d’assemblage (soudage, brasage).

En outre, le laser est dans bien des cas un outil d’écofabrication :

  • Il autorise des allègements de structures grâce au soudage, au raboutage de tôles ou encore à la fabrication additive.
  • Il permet de minimiser les pertes de matières premières et de diminuer le nombre de composants dans la fabrication d’un produit grâce à la fabrication additive ou en simplifiant les assemblages (découpe 3D, pliage, soudage 3D et assemblage par tenon-mortaise).
  • Sa qualité d’usinage permet de s’affranchir de nombreuses étapes de pré- ou post-traitement. Ainsi, il est possible d’usiner ou de marquer directement sur une pièce finie sans masquage préalable.
  • Il permet de réaliser des ablations ou des traitements sélectifs. Il est ainsi possible de s’affranchir, à qualité équivalente, de l’utilisation de solvants et produits chimiques pour des opérations de gravure ou de préparation de surface (nettoyage, activation, décapage).
  • Enfin, les procédés laser sont facilement automatisables, ce qui peut conduire à des gains de temps, d’énergie consommée ou de matière première non négligeables par rapport aux procédés conventionnels.

Parallèlement au zoom qui se tiendra pendant toute la durée du salon, des conférences seront organisées sur le même thème :

– Les procédés laser dans la filière des métaux en feuilles
Mercredi 26 septembre de 10h00 à 12h30 organisées par le Gimef

– Conférences micro-nanotechnologies
Jeudi 27 septembre de 10h00 à 18h00 organisées par Femto-st avec des sessions techniques dédiées au laser

Quelques chiffres sur les marchés du laser

Selon l’étude de marché réalisée par Strategies Unlimited et publiée en janvier 2012 par les revues Laser Focus Word et Industrial Laser Solutions, le marché mondial du laser est de 7 500 M$ en 2011. La moitié correspond à la vente de laser à semi-conducteurs, appelés communément diode laser, et l’autre moitié correspond aux autres catégories de laser.

La répartition par secteur d’applications est la suivante :

Secteur d’applications

Répartition

Communications

31 %

Transformation de la matière

26 %

Lithographie (Excimère)

11 %

Stockage de données

11 %

Médical & esthétique

7 %

Scientifique & militaire

5%

Instrumentation & capteurs

4%

Pompage (laser)

4%

Enregistrement d’image

1%

Si on considère le marché de la transformation de la matière par laser, celui s’élève à environ 2 000 M$ en 2011. Globalement, la croissance moyenne du marché est de 11% sur les 40 dernières années. Il y a eu deux années de récession (1991-1992 et 2009-2010). Ainsi, le marché a chuté de 20% entre 2009 et 2010, pour à nouveau croître de 35% entre 2010 et 2011 et 5% entre 2011 et 2012.

Les lasers (sources de lumière) sont rarement vendus seuls, ils sont généralement intégrés dans des systèmes lasers. Le marché des systèmes lasers représente environ 7 000 M$ en 2011.

Concernant les lasers pour la transformation de la matière, la répartition par procédé est la suivante :

Application

Répartition

Transformation des métaux

69 %

Marquage & gravure

17 %

Micro & procédés pour les semi-conducteurs

8 %

Autres

6 %

Concernant les lasers pour la transformation de la matière, la répartition par technologie laser est la suivante :

Technologie laser

Répartition

CO2

69 %

Laser à solide

17 %

Laser à fibre

8 %

Autres

6 %

Pour plus d’informations, contactez:

Michel Froelicher
Vice-Président MICRONORA
Tel : 06 81 94 22 81
Mail : michel.froelicher@orange.fr

John Lopez
Président du Club Laser et Procédés
Tel : 06 27 69 41 68
Mail : john.lopez@alphanov.com

Source : https://www.micronora.com/

Découvrez le salon dédié aux technologies de pointe pour tous secteurs innovants

Implanté en Franche-Comté, l’une des régions les plus industrialisées de France,
Micronora, salon international des microtechniques et de la précision, se tiendra à Besançon
du 25 au 28 septembre 2012.

Ce salon très ciblé propose une offre complète et complémentaire en précision et/ou en miniaturisation, qui va de la R&D à la sous-traitance jusqu’aux technologies de production.

(Assemblage / Automatisation / Décolletage / Découpage / Ingénierie / Interconnexion / Injection / Métrologie / Microfabrication / Nanotechnologie / Outillage / Packaging microélectronique / Surmoulage / Traitement de surface / Usinage…)

Aujourd’hui, les microtechniques occupent une place de plus en plus importante dans l’industrie mondiale et représentent l’un des secteurs les plus dynamiques. Avec des champs d’applications innombrables et la possibilité de transférer leurs technologies d’un secteur à un autre, les microtechniques possèdent un atout indéniable qui permet aux entreprises de se diversifier et de s’ouvrir à de nouveaux marchés.

Micronora est une vitrine de technologies innovantes où précision et miniaturisation sont des facteurs incontournables de valeur ajoutée dans tous les secteurs de pointe qui exigent toujours du plus petit, plus précis, plus intelligent.
Tous les marchés sont concernés, mais plus particulièrement :

le médical, le luxe, l’aéronautique, l’armement, le nucléaire, l’automobile ou les télécommunications.

Sur 25 000 m² de surface d’exposition, Micronora 2012 réunira près de 900 exposants dont 35 % étrangers. 15 000 visiteurs professionnels sont attendus.

Micronora est bien plus qu’un salon

Bourses de technologies européennes micro et nanotechnologies

Jeudi 27 et vendredi 28 septembre

Organisées avec le réseau Enterprise Europe Network, ces rencontres s’adressent
aux entreprises, centres techniques ou laboratoires de recherche proposant des
offres innovantes (technologies ou savoir-faire) ou recherchant des solutions
technologiques. Elles se déroulent sous forme de rendez-vous confidentiels.

Conférences micro et nanotechnologies

Jeudi 27 septembre

Zoom sur les technologies laser et leurs applications industrielles

25-28 septembre

Depuis plusieurs années, le laser s’est imposé comme un remarquable outil dans
beaucoup de domaines. Le zoom fera le point sur les dernières innovations.

– Concours des Microns d’Or

Les Microns d’Or récompensent des réalisations microtechniques innovantes, présentées pour la première fois à Micronora.

Pour plus d’informations et obtenir votre badge d’accès gratuit au salon : www.micronora.com

Source : https://www.micronora.com/

xMOD, une plateforme de simulation pour développer des systèmes complexes

L’IFPEN et D2T Powertrain Engineering viennent de lancer xMOD, une plateforme logicielle innovante d’intégration de modèles. L’intérêt de ce produit réside dans sa capacité à faire fonctionner ensemble, et dans un seul environnement, des modèles provenant d’outils différents, jusqu’à les porter sur des bancs d’essais « Hardware in the Loop (HiL) »*.

xMOD permet de gagner du temps dans le développement de systèmes industriels devenus de plus en plus complexes. C’est notamment le cas du Groupe moto-propulseur (GMP) dans l’industrie automobile. Pour la seule étape de conception, des modèles provenant de logiciels très divers (Matlab/Simulink, AMESim, Dymola, GT-Power, SimulationX, Code C/C++) coexistent et peuvent désormais interagir ensemble sur le GMP complet.

Le nouveau logiciel a été conçu pour s’adapter aux exigences des acteurs du processus de développement. Il ne nécessite pas de connaissances approfondies en simulation, mais a vocation à remettre entre les mains des ingénieurs des différents métiers la maîtrise de tout le processus. Ainsi, les interfaces utilisateur sont personnalisables et la gestion de la confidentialité est intégrée. De plus, xMOD peut être utilisé sur des bancs de validation HiL pour calculateurs moteur, voire même pour certains éléments, sur des bancs d’essais moteur ou GMP. Ainsi, de la conception jusqu’à la validation, l’environnement de travail est unifié.

xMOD est déjà utilisé pour des applications automobiles conventionnelles, hybrides et électriques. Des licences de xMOD ont déjà été vendues par D2T à Renault. La plateforme a par ailleurs été utilisée dans le cadre de nombreux projets dans lesquels IFPEN est engagé : développement du lab-car FlexHybrid et de la plateforme d’essais hybride HyHiL, projets du fonds démonstrateur Ademe Velroue, Melodys, Hybrelec, VME et EILisup, projets européens ITEA2, Modelisar et OpenProd.

* HiL : plateformes permettant de tester des parties physiques comme des calculateurs dans un environnement virtuel simulé comme un véhicule complet

Source : https://ifpenergiesnouvelles.fr/

Un nouveau granulomètre laser chez Malvern

Avec une large dynamique de mesure couvrant la gamme de 10 nanomètres à 3,5 millimètres, le Mastersizer 3000 est un granulomètre laser qui mesure la taille des particules (poudres, émulsions, suspensions) aussi bien en voie sèche qu’en voie liquide, à l’échelle du milli-, micro-et nanomètre. Afin de compacter l’appareil, des miroirs dichroïques ont été utilisés pour permettre à l’échantillon d’être éclairé sous la même incidence exactement par les 2 longueurs d’onde rouge et bleue qui sont appliquées successivement lors de la mesure. On atteint ainsi le faible encombrement tant souhaité par les laboratoires aujourd’hui, conjointement à une augmentation de la gamme de mesure.

Le logiciel, associé à un système expert commentant en continu la qualité des mesures, pilote le Mastersizer 3000 pour permettre aux analyses de devenir complètement indépendantes de l’opérateur. Le gestionnaire de résultats génère des données adaptées aux besoins particuliers de chaque client et peut présenter les résultats de façons aussi diverses que le réclame les industries desservies par cette technique. L’élaboration des méthodes est très structurée et tous les paramètres influant sur les résultats sont contrôlés et affichables. Dans le même temps, l’utilisateur est encouragé par le réseau de distribution mais aussi par les réseaux sociaux développés par Malvern à accéder au vaste savoir-faire qui se caractérise par le niveau des équipes de support à la clientèle et par l’expérience collective qui reste à nulle autre pareille.

Source : https://www.malvern.com/

Micado organise Virtual PLM, le premier salon virtuel dédié au PLM, les 13 et 14 novembre à Reims

Cinq bonnes raisons de participer à Virtual PLM’12, LES ETATS GENERAUX de MICADO sur le thème « L’INGENIERIE NUMERIQUE COLLABORATIVE AU SERVICE DU PLM« 

En 2012, MICADO organise une manifestation ambitieuse comprenant une exposition, des conférences (applications, recherche …), des comptes-rendus des travaux de ses ateliers …

Cet événement se veut être un rendez vous incontournable pour tous ceux, offreurs, chercheurs, utilisateurs de grands groupes et de PME qui sont concernés par l’ingénierie numérique au service des différentes phases du cycle de vie d’un produit, de la conception au démantèlement. Les retours de nos partenaires éditeurs qui ont été les premiers sollicités ont été extrêmement prometteurs et nous confortent dans une ambition forte pour cette manifestation.

Après une exposition virtuelle qui durera de avril à novembre, deux journées à Reims, à 40 minutes de Paris, les 13 et 14 novembre 2012, seront l’occasion d’échanger pour apporter une véritable plus value à tous les participants.

Cinq bonnes raisons, qui s’enrichiront au fur et à mesure de la mise en place du programme complet, de suivre dès maintenant l’événement sur www.virtual-plm.com et de venir à Reims les 13 et 14 novembre,:
– Des conférences répondant à des problématiques industrielles : présentations par des utilisateurs à partir d’expériences pragmatiques et de cas de bonnes pratiques ou par des experts, intervenants de haut niveau, issus de l’industrie, de centres techniques, etc.
– Une exposition donnant une occasion unique de faire un point sur les évolutions, les produits et les méthodologies à travers des stands équipés et deux villages (« services et conseils » et « Architecture et bâtiment »)
– L’opportunité d’échanger sur les meilleures pratiques entre utilisateurs et éditeurs.
– L’accès privilégié aux résultats et aux conclusions des travaux des ateliers de travail de MICADO
– La possibilité de préparer l’exposition et les conférences à Reims grâce à l’exposition virtuelle

Parmi les actions importantes qui sont menées pour préparer cet événement, on peut citer :
– les travaux des ateliers, notamment sur les résultats de l’observatoire de la simulation numérique
– l’organisation de deux concours, l’un pour le prototypage rapide, l’autre sur la simulation numérique
– la mise en place des rendez-vous de Virtual PLM’12 et l’accès à des problématiques proposées par des entreprises, des PME aux grands groupes
– la mise en place de présentations et de tables rondes pour aborder les aspects qui peuvent permettre aux entreprises d’être plus performantes et plus compétitives.

La mission de MICADO/DINCCS est de promouvoir le développement et l’usage des outils informatiques et des méthodes de travail permettant la maîtrise du cycle de vie des produits et des processus industriels. Cette mission s’étend sur un domaine d’activités qui couvre les technologies de l’information et de la communication, de la conception au démantèlement ou recyclage, de la PME aux organisations complexes (collaboratives, étendues, distribuées, et élargies), quel que soit le secteur industriel. MICADO a centré ses domaines d’intérêt autour de l’ingénierie numérique collaborative au service du PLM et fonde son action sur son comité d’experts, sur ses ateliers de travail et sur son centre technique DINCCS installé à Charleville-Mézières.

L’ingénierie numérique, ou plus largement la chaîne numérique au sein du PLM, connaît un renouveau d’intérêt pour deux raisons essentielles : les PME sont maintenant réellement concernées par un ensemble large d’outils et la mise en oeuvre dans l’entreprise étendue montre les avantages, mais aussi les limites des méthodologies et des technologies. L’intégration de connaissances métiers, même par des techniques simples dans les logiciels de CAO, conduit à s’interroger naturellement sur les habitudes de conception prises. Les performances des matériels et des logiciels donnent l’opportunité, aujourd’hui bien réelle, d’essayer des solutions en parallèle et d’envisager des essais qui n’entrent pas obligatoirement dans la culture de l’entreprise.
Dans un contexte certes très contraignant, notamment pour les PME de la sous-traitance, les marges de gains dans les entreprises qui commencent seulement à s’intéresser à la simulation par exemple sont considérables.

Informations et sponsors : www.virtual-plm.com
Adresse courriel : virtualplm@afmicado.com

Source : https://www.virtual-plm.com/fr/

Euriware choisit Micro Focus pour tester l’application de suivi de production d’Areva

Micro Focus, éditeur de solutions de gestion de tests et de modernisation d’applications d’entreprise, a annoncé qu’Euriware, société française de conseil et services informatiques filiale d’Areva, avait retenu ses solutions Caliber et Silk Central Test Manager afin d’assurer le maintien en état de la nouvelle application de GPAO déployée sur le site d’Areva à Saint Marcel (Saône-et-Loire).

Le projet confié par Areva à Euriware consistait à moderniser une application de GPAO écrite en cobol il y a vingt ans. Cette application qui servait au suivi de production des générateurs de vapeur était critique car les performances de ces sous-systèmes de centrales nucléaires sont directement liées à la qualité de l’ingénierie et à la fiabilité du suivi de fabrication.

Dans le cadre du projet, Euriware a opté pour les solutions de gestion des exigences et de suivi des tests logiciels de Micro Focus afin de valider la qualité et la robustesse du code Java développé pour la nouvelle GPAO. Le projet a été mené entre juillet 2008 et novembre 2011.

« Nos consultants ont formalisé, dans Caliber, les besoins exprimés par les métiers. Puis nos équipes de développement et de tests ont validé les traitements réalisés via Silk Central Test Manager. Cet outil Micro Focus a permis de disposer d’une vision partagée des tests internes et des tests de recette effectués par le client. Un point positif directement perçu par notre client, outre la formalisation des tests concourant à l’industrialisation des campagnes, est d’assurer la traçabilité des tests clients vis-à-vis des spécifications fonctionnelles », explique Olivier Nectoux, chef de projet chez Euriware.

Les spécifications de l’application étant intégrées dans les outils Micro Focus, les interfaces avec les applications tierces ont été gérées comme s’il s’agissait de modules. Il en a résulté une nette amélioration de la fiabilité et de la productivité du développement logiciel. A titre d’exemple, l’initialisation et le pilotage de la phase de tests ont été réduits de 20%.

Source : https://www.microfocus.com/

Turbomeca célèbre 35 ans de présence au Brésil et développe ses installations

Turbomeca do Brasil (groupe Safran), implantée au Brésil depuis 1977, célèbre l’extension de son site de Xerém, Etat de Rio de Janeiro. Ces nouvelles infrastructures abriteront la nouvelle chaîne d’assemblage et les essais du moteur Makila 2 et du groupe auxiliaire de puissance (APU) Saphir 20. Ces équipements sont dédiés tant aux hélicoptères civils que militaires EC225/725 destinés au marché brésilien et plus globalement de l’Amérique latine.

Ces investissements de Turbomeca dans la région de Rio de Janeiro répondent aux engagements pris par Turbomeca dans le cadre du contrat d’acquisition de 50 hélicoptères EC725 signé en 2009 par le Ministère de la Défense brésilien. Avec cet investissement, Turbomeca do Brasil livrera à Helibras (filiale d’Eurocopter) les moteurs Makila 2 et les APU Saphir 20, qui équiperont les nouveaux hélicoptères EC725 des forces armées brésiliennes, produits dans l’usine de Helibras à Itajuba. De plus, Turbomeca do Brasil assurera la maintenance et la révision de tous les moteurs Makila 2 en service dans la région pour des missions militaires et pétrolières.

« Cette expansion résulte de la croissance très forte du marché de l’hélicoptère au Brésil et en Amérique Latine et de notre volonté d’assurer le support au plus près de nos clients civils et militaires. », a déclaré François Haas, président de Turbomeca do Brasil. L’entreprise a également signé en 2011 avec le ministère brésilien de la Défense un contrat de maintien en condition opérationnelle (Global Support Package, GSP), portant sur le soutien des Makila 2A exploités par les trois forces armées brésiliennes et le Groupe de transport présidentiel.

Source : https://www.turbomeca.com