Cetim et Technocampus Composites: Bilan à 5 ans

Nantes, le 22 mai 2014, le Cetim, institut technologique de mécanique, a présenté le bilan de ses 5 années d’activité au sein de Technocampus Composites, en présence de Jacques Auxiette, président de la région des Pays de la Loire.

Un centre de R&D d’exception au sein de la plateforme Technocampus Composites

C’est en 2009, qu’aux côtés d’Airbus et d’EADS IW, au sein du GIE CMII, le Cetim s’est installé dans Technocampus Composites (alors EMC2), partageant ainsi l’ambition de créer un pôle de référence et de développer le tissu industriel, notamment autour des matériaux composites et des structures multimatériaux. Cette dynamique a été renforcée avec la création en 2011 de l’IRT Jules Verne.

Depuis plus de 40 ans, le Cetim propose un ensemble de prestations dans le domaine des polymères et composites, tant en R&D qu’en prestations de service ou formation.

Il déploie cette offre « composites » avec ses centres associés et partenaires : Cetim Cermat à Mulhouse, LRCCP (Laboratoire de recherche et de contrôle du caoutchouc et des plastiques) à Vitry sur Seine et le Laboratoire Commun « Composite Innovation OpenLab » associant Cetim, Ecole centrale de Nantes, Ecole Nationale Supérieure de Cachan et CNRS.

L’expertise du Cetim en conception et dimensionnement de pièces composites est mise au service des bureaux d’études pour le développement de produits innovants. Au niveau fabrication, les compétences en industrialisation présentes au sein de Technocampus Composites permettent la réalisation de prototypes industriels selon les grands procédés de mise en œuvre des composites (RTM, Formage, Pultrusion, enroulement filamentaire…) en associant autour du produit l’ensemble des moyens nécessaires au projet (conception, analyse de cycle de vie, fabrication, assemblage, usinage/parachèvement, mise en peinture, mise en place d’atelier de fabrication, essais, contrôle non destructif, recyclage).

Les installations du Cetim présentes sur la plateforme représentent aujourd’hui 15 millions d’euros d’investissement, notamment dans les moyens d’essais et des procédés de fabrication parmi les plus innovants en Europe.
Les projets de R&D menés, notamment avec l’école Centrale, totalisent depuis 2009 un budget de 20 millions d’euros.
Les prestations de recherche partenariales menées sur ces 5 années pour le compte de donneurs d’ordres comme de PME représentent un chiffre d’affaires de plus de 20 millions d’euros.

Ce bilan se décline notamment en plus de 10 projets structurants pilotés par le Cetim. La région des Pays de la Loire a participé à plusieurs d’entre eux à hauteur de 1,45 M€ :

  • Développement d’un matériau composite auto-amortissant
  • Développement d’une tige de vérin
  • Développement d’une fléchette de camion grue
  • Spide TP : mise au point de pièces structurelles pour des applications de grande diffusion à hautes performances (citernes, réservoirs, tuyauteries…)
  • Silwet : développement de profilés « pultrudés » pour le transport terrestre
  • Triangle de suspension automobile : une masse divisée par 2
  • Limeco : assemblage de métaux et de composites pour l’automobile
  • Demos : conception d’une armature de siège automobile allégée

Crashbox : prototype d’élément de structure automobile apportant un gain de poids de 66 %

Un partenariat renforcé sur un projet stratégique : la ligne pilote grande cadence

C’est à partir de la plateforme Technocampus Composites que le Cetim et l’IRT Jules Verne, ont voulu développer, avec des partenaires académiques et industriels, une ligne pilote de fabrication de pièces en composites et multi-matériaux allant de la fibre au produit fini. Ce développement vise les besoins de l’automobile, mais aussi une application plus large irrigant tout le secteur mécanicien : machinisme agricole, équipements de manutention/levage, poids lourds…

Pour Christophe Champenois, responsable ingénierie des composites au Cetim, « Nous avons choisi le cahier des charges le plus exigeant en la matière : celui de l’automobile. Pour répondre aux normes antipollution applicables dès 2020, les constructeurs doivent impérativement réduire la masse des véhicules, d’où l’intérêt de fabriquer des pièces de structure en composites. S’ils acceptent un surcoût de 3 euros par kilogramme, ils exigent des temps de fabrication de l’ordre de 2 minutes par pièce. Qui peut le plus, peut le moins : suivant ce principe, les avancées dans le domaine de l’automobile devraient profiter à tous les secteurs industriels »

Annoncé à l’occasion du salon JEC Composites 2013, à Paris, le projet de ligne pilote grande cadence totalise un budget estimé à 14,7 M€. Deux premiers modules dont aujourd’hui en cours de réalisation. Le module RTM (moulage par transfert de résine) est piloté par le Cemcat (Laval) et l’IRT Jules Verne. Le Cetim développe le module de nappage qui nécessite la conception et la fabrication de nouvelles machines. Ce défi est relevé grâce un partenariat industriel signé avec des PME françaises innovantes : Pinette Emidecau Industries, Compose, Loiretech.

Ligne pilote grande cadence : module « nappage »

> 4,8 M€ d’investissement : financement mixte Cetim et Région des Pays de la Loire
> un partenariat industriel avec des PME françaises innovantes

Etim : une start-up au sein même de Technocampus Composites

Avec Europe Technologies, c’est au Technocampus Composites que Cetim a créé Etim, filiale commune pour réaliser les essais de suivi de production sur matériaux composites.
– L’objectif d’Etim est d’être l’interlocuteur de référence auprès des acteurs majeurs de l’aéronautique en ce qui concerne les essais de suivi de fabrication ou de production des pièces élémentaires en composites (caractéristiques mécaniques, physico-chimiques, analyses micrographiques etc.).

– Les prestations réalisées bénéficient des habilitations et des certifications des deux acteurs (accréditations Nadcap pour les essais sur matériaux composites et Cofrac programme 93 : Essais sur plastiques et sur composites à matrice organique).

– Les moyens : les infrastructures dédiées des sites du Technocampus Composites, de Carquefou, et de Casablanca (Maroc), soit près de 10 millions d’euros d’équipements de pointe : presses, machines d’essais, matériels d’analyse…

Le Cetim et Europe Technologies se positionnent ainsi comme partenaires de référence auprès des acteurs majeurs de la construction aéronautique tant en proximité qu’à l’international. Parmi leurs références : Airbus, Safran, Duqueine, Daher Socata.

Etim : laboratoire de tests composites

> 30 salariés sur une surface de 700 m²
> CA 2013 : 4 M€ (en progression de + 15 %)


A propos du Cetim, Innover en mécanique

A la croisée de la recherche et de l’industrie, le Cetim, institut technologique labellisé Carnot, est le centre d’expertise mécanique français. Outil R&D de plus de 6500 entreprises mécaniciennes, il compte 700 personnes dont plus des 2/3 d’ingénieurs et techniciens, pour 100 M€ de chiffre d’affaires. Fédérateur de programmes innovants, il pilote de grands projets industriels ou R&D multipartenaires et ce sur 5 axes principaux : conception, simulation, essais – procédés de fabrication et matériaux – mécatronique, contrôle et mesure – développement durable – management et appui aux pme. 



Source : https://www.cetim.fr

Contact : christophe.garnier@cetim.fr

L’Institut de mécatronique annonce une plateforme hydraulique dédiée aux faibles puissances

Les produits issus de la mécanique sont en constante évolution, notamment en termes de fonctions pilotées et de critères d’efficacité (performance, rendement, sûreté, propreté…). Ces développements ont donné naissance à la Mécatronique.

L’institut de mécatronique est le fruit de la réflexion menée conjointement entre le Cetim, les industriels des transmissions hydrauliques et l’UTC. Il concrétise une vision commune autour, à la fois, d’un centre de formation des ingénieurs de demain dont la mécanique a besoin, d’un lieu de recherche appliquée et d’un espace commun de développement de solutions.

Depuis 2009, la création de la chaire hydraulique et mécatronique a permis, avec le soutien de la Région Picardie et du fonds Feder, la formation de 80 ingénieurs dans les spécialités hydraulique et mécatronique.

Au chapitre de la R&D, quatre thèses sont actuellement en cours :

• caractérisation des sources sonores dans les composants hydrauliques ;

• développement de capteurs de déplacement à grande étendue de mesure ;

• systèmes de perception multicapteurs pour la détection d’obstacle destinés aux dispositifs d’aide à la conduite d’engins mobiles ;

• caractérisation du comportement thermique d’une machine électrique au sein d’un système complexe.

Aujourd’hui, une étape supplémentaire est franchie avec l’ouverture d’une plateforme hydraulique dédiée aux faibles puissances.

L’UTC et le Cetim ont conclu un accord renforçant leur partenariat historique. Les deux organismes ont la ferme intention de construire un nouveau pôle de R & D et de transfert en mécanique au service des industriels. Le but est de favoriser les actions de recherche collective menées sous l’égide du Cetim ou de l’UTC et de présenter une offre commune de compétences et de prestations à forte valeur ajoutée pour les entreprises nationales et internationales.

Source : https://www.cetim.fr/fr/Actualites/En-France/A-la-une/Un-partenariat-fort-avec-l-UTC

DynaWorks® MyTest: une application très spécifique

UNE APPLICATION CONÇUE SPÉCIFIQUEMENT POUR GÉRER LES DONNÉES D’ESSAIS STATIQUES DE L’A350XWB

Avec ce projet Intespace démontre sa capacité à intervenir dans une perspective globale de son métier : déjà maître d’œuvre des essais statiques de structure de l’A350XWB, l’entreprise est également retenue par l’avionneur pour développer avec ses équipes une application innovante qui va gérer l’instrumentation et le monitoring de ces essais.

Cette application sera My Test : au centre de la solution, on trouve DynaWorks®, autour de laquelle les équipes Intespace et Airbus vont développer ensemble les modules spécifiques répondant aux besoins de Airbus. Pour en parler, nous avons interrogé Pascal Chezzi, chef du projet «MyTest» chez Airbus.

« Ce que nous avons obtenu avec le développement de l’application MyTest avec Intespace, c’est avant tout une fiabilité inédite de la mesure. Tout d’abord parce que cette application intervient d’un bout à l’autre du process. De la spécification détaillée du besoin jusqu’à la récupération de la donnée d’essai, on s’appuie sur un outil unique. MyTest est utilisé par ceux qui définissent la jauge, par ceux qui la posent et par ceux qui collectent la mesure, y compris pour les étapes de connexion et de maintenance. L’information suit le même flux et n’est jamais altérée.

Au delà de cette continuité du process, l’application a aussi l’avantage d’être celle de tous les partenaires et acteurs du projet de campagne. Cela est aussi un élément de fiabilité nouveau : les informations sont partagées par tous et donc à chaque instant la donnée est unique pour tous. Enfin la visualisation 3D de l’interface, orientée utilisateurs, a également été bien accueillie et favorise la qualité de l’information. »


Source : https://www.intespace.net/images/pdf/en/SuccessStory-MyTest.pdf

Record de vitesse pour le Falcon 7X

Le Falcon 7X, numéro de série 207 immatriculé F-HGHF, a décollé de l’aéroport de Teterboro dans la banlieue de New York à 8h04 heure locale, le 2 mai, avec Philippe Deleume et Olivier Froment, pilotes de la Société, aux commandes et trois passagers à bord.

L’avion était en configuration normale de vol. 5 heures et 54 minutes plus tard, à 18h58 heure locale, il a atterri sur la très courte piste de 1 200 m (4 000 ft) du London City Airport, au centre de Londres.

Sur la majeure partie du trajet de 6 452 kilomètres (3 465 nm), le Falcon 7X a volé à la vitesse de Mach 0.88.

Le record a été transmis à la Fédération Aéronautique Internationale en Suisse pour le faire reconnaître officiellement comme nouvelle performance mondiale

Source : https://www.dassault-aviation.com/fr/dassault-aviation/actualites/record-vitesse-falcon-7x/

SMAC au salon JEC Europe : le bilan

Le salon JEC 2014 a confirmé la tendance : l’importance des matériaux composites dans l’industrie va grandissante. Leur présence, par exemple dans les châssis de voitures, comme celui de l’Alfa Roméo 4C, est en constante augmentation.
Avec une surface supérieure de 8% par rapport à l’édition 2013, le salon a connu une affluence qui ne se dément pas, année après année. SMAC a profité de la présence de ces visiteurs qualifiés pour dévoiler sa dernière innovation, SMACWRAP® ROLL.
Nous avons également pu mesurer l’intérêt des nombreux visiteurs pour la technologie SMACWRAP®, qui consiste à insérer des coupons de SMACWRAP® durant la fabrication des pièces en matériaux composites, afin d’apporter des propriétés amortissantes à des éléments ou structures en fibres de carbone, par essence très rigides.
SMAC a démontré une nouvelle fois, à l’occasion de ce salon, son expertise industrielle au service des constructeurs dans les domaines de l’aérospatiale, de la défense mais aussi dans les transports et les sports & loisirs.

Source : https://www.smac-sas.com/smac-au-salon-jec-composites-europe-le-bilan/

Essais & Simulations N°117 spécial simulation et essais va bientôt sortir !

Dans ce numéro, Essais & Simulations pose un constat sur la relation qui existe entre les essais et la simulation numérique de nos jours. Des cas clients et retours d’expériences illustrent la complémentarité qui demeure entre ces deux domaines. Et aussi, retrouvez l’ensemble des évènements forts du secteur, les actualités et la vie de l’ASTE.

Sommaire du numéro 117 :

– Dossier Spécial : la simulation, élément indissociable des essais

– Actualités : Le Cetim double ses moyens d’essais à Casablanca

– Mesures et Méthodes de Mesures: moyens de mesure en production et acquisition de données

– Essais et Modélisation: Congrès Nafems et Forum Teratec, 2 événements majeurs

– Dossier Mecaclim : Variabilité de l’environnement climatique

 

Pour consulter des extraits du N°116 de la revue rdv sur : Lire un extrait de Essais & Simulations N°116

 

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*pour tout paiement par CB

Source : https://www.essais-simulations.com/

Contact : abonnement@essais-simulations.com

Bonne stabilité pour la 3e édition de Microwave & RF 2014

Le salon Microwave & RF vient de  terminer sa troisième édition au CNIT sur deux journées bien remplies, faisant état, selon la plupart des exposants, de contacts ciblés et intéressants avec des professionnels bien qualifiés venus pour des projets concrets ou des partenariats à court et moyen terme. 

Côté visiteurs, la fréquentation est stable, puisque 1 902 visiteurs sont venus découvrir les nouveautés produits : Systèmes hyperfréquences, logiciels de conception dédiés, câbles et connecteurs innovants, larges gammes de produits pour la CEM, composants pour applications industrielles, équipements de test et de mesures, solutions pour la microélectronique, modules radios et cartes électroniques, matériels d’expertises et d’essais,… ce sont quelques unes des nombreuses innovations proposées par les soixante-dix sociétés, exposants et partenaires présents sur la partie exposition. 

Moment fort du salon, les huit cycles de conférences ont été suivis par 749 auditeurs aussi professionnels que passionnés. Les conférences de Microwave & RF représentent en effet pour les visiteurs, la meilleure opportunité pour faire le point sur les avancées technologiques ou sur des sujets particuliers réclamant des réponses à la fois spécifiques et pointues. En proposant des thèmes qui sont au cœur des préoccupations des auditeurs, Microwave & RF répond aux attentes et aux questions des ingénieurs et chefs de projets qui viennent chercher une information utile pour la conception de leurs projets. En parallèle, grâce aux conférences d’applications et de produits, les exposants fournissent un complément d’informations plus concrètes, avec des échanges productifs, plus orientés sur des nouveautés produits, outils et savoir-faire.

>> La prochaine édition se déroulera Les 1er et 2 avril 2015 au Cnit, à la Défense

Source : https://www.microwave-rf.com/

Congrès Nafems France 2014, les 4 et 5 juin à Charenton

La « Simulation numérique : moteur de performance », tel sera le thème général du prochain Congrès Nafems qui se déroulera les 4 et 5 juin prochains au Centre de Conférence Novotel Charenton. Ces deux jours de référence seront l’occasion de faire le point sur l’état de l’art, les tendances, les pratiques et l’impact industriel des technologies, méthodologies et applications de simulation numérique en contexte industriel.

Le congrès Nafems France 2014 est l’événement de référence pour la communauté simulation numérique industrielle en France. Il a pour objectif d’aider les entreprises à mieux évaluer l’apport des technologies de simulation numérique pour le développement de produits innovants, performants, optimisés. Le congrès traite l’ensemble des domaines d’étude liés à la mécanique des solides (FEA), la mécanique des fluides (CFD), la simulation multiphysique ainsi que des technologies adjacentes.

Le Congrès Nafems s’adresse à tous les ingénieurs, concepteurs, scientifiques, managers et décideurs exerçant une responsabilité dans le choix, la mise en œuvre et l’utilisation performante des outils de simulation numérique dans l’entreprise. Cet événement est centré sur les besoins de l’entreprise et s’attache à favoriser les échanges productifs industrie–recherche–offreurs. Il est enfin l’occasion de découvrir, approfondir, confronter et débattre de problématiques de simulation numérique dans un contexte neutre et professionnel.

Le programme et les thèmes du congrès traitent de l’état de l’art et des tendances en matière de technologies, de méthodologies et de bonnes pratiques de simulation numérique. Études de cas, témoignages d’experts, débats et échanges informels permettront à chaque entreprise de mieux cerner l’impact de la simulation numérique sur son innovation, sa performance et sa compétitivité.


Cette année, le Congrès Nafems France se tiendra au Centre Novotel de Charenton (Val-de-Marne)

Source : https://www.nafems.org/2014/france/

Les logiciels Cetim s’ouvrent désormais à la modélisation 3D

Le Cetim, Institut technologique de mécanique annonce son partenariat avec SpaceClaim, leader du marché des logiciels de modélisation directe permettant à tous les ingénieurs de travailler en 3D. Le Cetim peut ainsi proposer une solution  packagée « modeleur 3D + calcul aux éléments finis » à un tarif abordable « Cette solution est pour nous l’avenir du développement commercial de notre logiciel maison « Castor Concept » et de sa suite logicielle associée : Castor Elec 3D et Procor » indique Laurent Berteloot, du Cetim.

SpaceClaim permet notamment la concrétisation rapide d’une idée par une modélisation 3D directe, mais aussi la récupération automatique de tout fichier CAO, l’édition et la modification du modèle quelque soit son logiciel d’origine,  ainsi que la préparation aisée d’un modèle pour un calcul aux éléments finis, et offre une interface directe avec Castor Concept Pro. Par ailleurs, Castor Concept Pro permet une analyse mécanique répondant à 80% des besoins de calcul, pour des structures mécano-soudées, les pièces volumiques et les assemblages. Il est ainsi possible d’utiliser SpaceClaim pour concevoir la pièce et Castor Concept pour la calculer.

L’outil logiciel de SpaceClaim permet ainsi la modélisation 3D incluant en standard des fonctions spéciales de tôlerie, une conversion rapide d’un modèle 3D en pièce de tôle, la prise en compte des propriétés de la tôle (épaisseur, rayon de pliage, facteur K), une capacité de travailler simultanément en 3D et en mode déplié, et propose une interface directe avec Castor Concept. Quant à Castor Concept, il offre une analyse mécanique répondant à 80% des besoins de calcul sur structures mécano-soudées, les pièces de tôlerie et de chaudronnerie.

Source : https://www.cetim.fr/fr

Simulation et calcul intensif, enjeux majeurs de la compétitivité

La conception et la simulation numérique à haute performance jouent un rôle essentiel pour l’innovation dans l’ensemble des secteurs de l’industrie et pour l’amélioration de la compétitivité des entreprises. Et l’usage de ces technologies devient aujourd’hui accessible aux PME grâce notamment à des offres en mode  » SaaS ». 

Le Forum TERATEC pour sa 9ème édition en juillet prochain, va mettre l’accent sur la diversité accrue des usages de la simulation numérique et du calcul intensif au sein de nombreuses filières industrielles et d’entreprises utilisatrices, notamment les PME et ETI : Cycle de sessions plénières, ateliers techniques et applicatifs, exposition de matériels, logiciels et services vont illustrer pendant 2 jours les évolutions les plus récentes en la matière.

LES SESSIONS PLENIERES du mardi 1er juillet feront état de l’impact grandissant du HPC dans de très nombreux domaines de l’industrie et de la recherche et son rôle dans les grands défis scientifiques et technologiques.

Cette journée, qui verra notamment des présentations faites par les responsables d’AIRBUS, de la plateforme européenne ETP4HPC, du projet Square Kilometre Array (SKA), de UberCloud HPC Experiment, de DISTENE, sera marquée par la présence de Monsieur Arnaud Montebourg, ministre de l’économie, du redressement productif et du numérique et sera l’occasion d’une présentation du Plan Supercalculateurs qui fait partie des 34 plans de reconquête de la Nouvelle France Industrielle annoncé par le gouvernement en septembre 2013.

LES 8 ATELIERS du mercredi 2 juillet, orientés « technologies » ou « usage », seront animés par les principaux acteurs du marché et des experts reconnus qui feront le point sur les technologies émergentes et sur de nouveaux secteurs d’application du HPC.

Ateliers orientés technologies :

  • HPC & Big Data – logiciels et outils : Etat de l’art et perspectives sur la maîtrise de la consommation énergétique, la programmation efficace et l’exécution optimisée, la résilience et la tolérance aux pannes.

Ateliers orientés usage

  • Technologies numériques pour le végétal : Enjeux et problématiques liés au végétal, outils et méthodes de simulation de la croissance des plantes et d’aide à la décision, techniques de traitement des données d’imagerie et de grandes applications : semences et transformations.

  • HPC et Santé : De la recherche thérapeutique à la médecine personnalisée : Le domaine de la santé bénéficie aussi de la progression des technologies de modélisation et de calcul. L’augmentation de la capacité des supercalculateurs permet aujourd’hui de modéliser davantage de phénomènes physico-chimiques et physiologiques, pour, à terme, aller vers une médecine de plus en plus personnalisée.

  • Modélisation et simulation des systèmes urbains : Commentles outils logiciels de modélisation et de simulation, de gouvernance et de management des systèmes urbains, représentent une opportunité pour analyser, simuler et optimiser le fonctionnement des systèmes urbains vus en tant que système global, et la prise de décision éclairée des acteurs de la ville.

 

L’EXPOSITION, les 1 et 2 juillet réunira les principaux acteurs du HPC : constructeurs et éditeurs, fournisseurs et intégrateurs de solutions matérielles, logicielles et de services, universités et laboratoires de recherche, pôles de compétitivité et organismes publics, présenteront leurs dernières innovations en matière de simulation numérique haute performance.