Le Cetim accrédité Nadcap pour la quatrième fois consécutive

Le Cetim, institut technologique de mécanique, a été une nouvelle fois accrédité Nadcap (National Aerospace and Defense Contractors Accreditation Program) sans aucune non-conformité, après quatre jours d’audit scrupuleux mené par un auditeur américain. L’accréditation concerne les essais sur matériaux composites (Non Metallic Materials Testing – NMMT : AC7122). 

19 essais mécaniques et physico-chimiques ont été évalués. Ce nouvel audit réalisé sur le site du Cetim à Nantes, le quatrième à la suite sans non-conformité (une performance unique au niveau mondiale), vient renforcer la place du Centre auprès des constructeurs aéronautiques et de leurs sous-traitants.

Ce renouvellement d’accréditation Nadcap (National Aerospace and Defense Contractors Accreditation Program) est une reconnaissance importante pour le secteur aéronautique. Le Cetim est ainsi accrédité en tant que laboratoire d’essais mécaniques et physicochimiques pour les matériaux composites. La demande en essais est en effet croissante : les composites prennent de plus en plus d’importance dans la construction aéronautique ; ils contribuent à l’allègement des structures et permettent ainsi une plus grande efficacité énergétique et une réduction des émissions polluantes.

L’accréditation complète celle déjà obtenue pour les essais concernant les matériaux métalliques : le Cetim dispose à présent d’une offre complète d’essais certifiée Nadcap pour le monde aéronautique, et renforce ses positions et la croissance de son activité avec ses partenaires pour le compte des sociétés des groupes EADS et SAFRAN notamment.

Pour répondre aux demandes de ses clients, le Cetim concentre ses moyens d’essais dédiés aux matériaux composites sur son site de Nantes, qui a, par exemple, répondu à plus de 10 000 demandes cette année. Une équipe de 50 personnes est ainsi mobilisable pour des essais mécaniques, physiques, chimiques et thermiques.

CNPP se dote d’un banc d’essai contre les attaques aux véhicules béliers

Seul laboratoire en France possédant un banc d’essais et une expertise avérée, conformément au décret de juillet 2014, CNPP met en place un nouveau protocole d’essais permettant de tester la résistance mécanique des blocs-portes et rideaux aux attaques de véhicules béliers.

L’objectif de CNPP  est de faire bénéficier à ses clients des produits reconnus notamment dans le domaine bancaire (Le cahier des charges fut élaboré en collaboration avec les professionnels du domaine bancaire) ainsi que des produits testés par un laboratoire tierce partie. Il permet également d’obtenir des essais répondant à des exigences et des spécifications techniques très précises. 

Les matériels concernés et testés par le laboratoire sont les blocs-portes et les rideaux métalliques. Concrètement, l’essai est conforme si le bloc-porte/rideau métallique est toujours totalement fermé et sans aucune perforation.

SKF renforce son partenariat avec l’INSA Lyon

Forts de compétences et valeurs communes, SKF et l’INSA Lyon ont signé le 11 décembre dernier un accord de parrainage de la promotion Génie Mécanique Développement (GMD) 2014-2016 pour développer, ensemble, leurs connaissances liées à la mécanique.

Plaçant l’innovation au cœur de ce partenariat, SKF s’engage ainsi à proposer aux étudiants des sujets d’étude à haute valeur technique, à les accompagner tout au long de leur cursus à travers l’intervention de collaborateurs lors de leurs cours ou des Cafés de l’industrie ou via des stages professionnalisants. SKF souhaite également participer au développement de leur vie associative.

À l’occasion de la signature de ce parrainage, les élèves de la promotion ont pu échanger sur des thèmes concrets (métiers, responsabilités, opportunités de carrières, mobilité, R&D et innovation), directement avec les collaborateurs SKF présents. Dans un objectif de démarche participative, ils ont également pu construire leur programme de parrainage sur les trois ans avec les équipes SKF.

 

Source : https://www.skf.com/

Hexcel implante un nouveau site dans l’Isère

Le groupe américain leader des composites va implanter sa première usine européenne de fabrication du précurseur polyacrylonitrile (PAN), matière première de la fibre de carbone, ainsi qu’une ligne de fabrication de fibre de carbone sur la plateforme chimique des Roches-Roussillon (Roussillon/Salaise-sur-Sanne, dans l’Isère).

Hexcel investit 200 millions d’euros et se dote de nouveaux moyens pour répondre à la fois à la montée en puissance de l’utilisation des composites dans l’aéronautique, ainsi qu’à la demande croissante de fibre de carbone au niveau mondial. Cette expansion fait partie d’un programme d’investissements déjà engagé par le groupe depuis 2008 pour sécuriser la chaine d’approvisionnement globale. La construction de l’usine commencera mi-2015 et le démarrage de la production début 2018, avec un effectif de 120 collaborateurs. Ce nouveau site disposera également d’un laboratoire de contrôle qualité intégré.

Hexcel construira sa nouvelle usine sur un site de 15 hectares. Cette nouvelle implantation vient s’ajouter aux sites déjà existants au monde, en synergie avec les sites Rhône-Alpins : le site des Avenières (Isère), la plus grande usine de tissage carbone en Europe, et le site de Dagneux (Ain), site d’imprégnation de nappes et de tissus carbone.

Une chaine d’approvisionnement renforcée pour soutenir l’essor des composites pour l’industrie aéronautique

« L’industrie aéronautique est aujourd’hui en plein essor : l’A350 XWB est le premier Airbus composé de 53% de matériaux composites et le moteur LEAP de CFM International qui équipera l’Airbus A320neo, le Boeing 737MAX et le C919 de Comac sera doté d’aubes de soufflante et des carters en carbone, précise Thierry Merlot, vice-président et directeur-général d’Hexcel pour l’Europe, l’Asie et le Moyen-Orient. Afin de soutenir la croissance de l’utilisation de ces matériaux dans les applications aéronautiques, nous avons décidé de compléter notre intégration verticale en Europe pour la production de matériaux composites avec cette nouvelle usine de production et de fabrication de fibres de carbone à Roussillon. La qualité des infrastructures et la mutualisation des équipements gérés par le Groupement d’Intérêt Economique Osiris ont guidé notre choix sur la Plate-forme chimique Les Roches- Roussillon en région Rhône-Alpes, où nous sommes déjà implantés historiquement ».

Source : https://www.hexcel.com/

Delta, série DOP-W Interfaces Homme Machine à forte luminosité

Flexibles et lumineuses (jusqu’à 500cd/m²), Delta propose une nouvelle gamme d’Interfaces Homme Machine (IHM) à forte luminosité et offrant une visibilité parfaite sous tous les angles. Leur fixation au standard Vesa et par encastrement classique permet une implantation libre et aisée. Les écrans peuvent être montés verticalement ou horizontalement sans que les programmes soient à modifier. Les écrans TFT/LCD possèdent un rétro éclairage par LED, ce qui leur garantit une durée de vie jusqu’à 80000 heures. Ils sont disponibles en tailles de 10.4’’, 12.1 et 15’’ de diagonales.

 

Les IHM série DOP-W de Delta possèdent un boitier en aluminium robuste et étanche conformément à la norme IP65. Ils seront particulièrement appréciés dans les ambiances  industrielles poussiéreuses ou dans le secteur de l’agro alimentaire ou une l’hygiène impose des nettoyages réguliers au jet d’eau, leur surface est traitée pour éviter des zones de rétention. 

Ils sont adressables par de nombreuses interfaces et connecteurs : 2 ports Ethernet, 3 maîtres ports USB2, 2 ports RS232/422/485 et un 1 slot SD.

Deux haut-parleurs puissants et étanches situés en face avant permettent d’obtenir des notifications et des alarmes performantes.

Les IHM de Delta peuvent stocker facilement les programmes et résultats de processus (incluant les défauts) sur carte SD ou sur clé USB. Les ports USB maîtres permettent de connecter un lecteur de code barre, une souris, un clavier et une imprimante comme sur un PC (possibilité de mettre un Hub).  Ces IHM trouveront aisément leur place dans tous les systèmes, même les plus complexes.

L’afficheur multilingue avec traduction dans un fichier Office Excel permet de disposer rapidement et facilement d’une interface multilingue en 15 langues, accessible à tout moment (Arabe et caractères asiatiques inclus).

Le système de mots de passe à huit niveaux protège efficacement les données.

Delta a réalisé les drivers pour tous les automates et variateurs du marché, permettant une connexion simple et rapide.

Les banques de symboles intégrées permettent la création facile de l’interface en quelques clics et quelques glissés déposés.

Les logiciels e-Remote et e-Serveur, livrés gratuitement par Delta, permettent de contrôler à distance, à partir d’un PC, l’ IHM et de récupérer en temps réel sur les bases de données classiques (Excel, Mysql, Access etc.) les différentes données du processus industriel à surveiller.

Le VNC client supporte les univers iOS et Android (disponible en janvier 2015).

 

Delta Electronics est présent sur le salon Emballage de Villepinte Stand 5a  B108

 

A propos de Delta Electronics

Fondé en 1971, Delta Electronics est un groupe mondial de plus de 70 000 personnes qui réalise un chiffre d’affaires de 7,1 milliards de dollars. Peu connu jusqu’à présent pour ses ventes en direct, Delta est fortement présent dans les fabrications OEM pour les plus grandes marques de variateurs de vitesse, de servomoteurs, d’alimentations, pour PC etc. Delta est installée et déjà leader en France par exemple dans le secteur de l’alimentation de puissance pour les télécommunications et leader mondial des alimentations à découpage. Dans le domaine « Industrial automation » Delta est le second fabricant de variateurs de vitesse dans le monde en quantité avec une rapide croissance en Europe et en France. Delta possède déjà une équipe technique et commerciale sur le territoire et travaille sur de nombreux projets importants. Comme en Asie, l’objectif de Delta est d’offrir une alternative technique de qualité aux grands groupes déjà en place et à un prix très attractif.

Delta est le leader mondial des solutions de gestion thermique et de l’énergie avec 106 bureaux dans le monde, 31 sites de fabrication, 54 centres de R&D et plus de 7500 ingénieurs. Les activités de Delta Electronics sont organisées en trois pôles : l’électronique de puissance, la gestion de l’energie ainsi que  l’économie verte et intelligente

Source : https://www.delta-ia.fr/

Contact : tphilippe@delta-europe.com

L’interface grande vitesse CoaXPress, une plus grande rapidité

Le standard CoaXPress pour la transmission à grande vitesse de données, sorti en décembre 2010, se distingue par de simples câbles coaxiaux permettant la transmission de données à grande vitesse sur de longues distances. Les fabricants de caméras et de cartes d’acquisition présentent maintenant leurs premiers produits équipés de cette interface performante.

Un simple câble coaxial permettant de transmettre des débits de données maximaux de 6,25 Gbit/s, la transmission simultanée de données de contrôle et de déclenchement entre la carte d’acquisition d’images et la caméra à un débit allant jusqu‘à 20,8 Mbit/s, l’alimentation directe de la caméra en tension via le câble coaxial avec une puissance maximale de 13 W et des longueurs de câbles pouvant atteindre les 100 mètres en mode CX-1 – telles sont les caractéristiques essentielles de l’interface CoaXPress selon le standard CoaXPress actuel 1.1. CoaXPress fait ainsi partie des technologies de transmission les plus performantes en vision industrielle.

Une particularité : pour le support logiciel et le contrôle des terminaux, CoaXPress prescrit une implémentation GenICam GenTL, devenant ainsi le premier standard de la vision industrielle à offrir une interface logicielle unique.

Entretemps, quelques fabricants de caméras industrielles et de cartes d’acquisition ont intégré la technologie CoaXPress dans leurs produits, notamment notre partenaire danois JAI qui dispose de deux produits phares, les caméras JAI Elite EL-2800 et JAI Spark SP-5000, équipées d’une interface CoaXPress.

La caméra CCD de 2,8 mégapixels JAI Elite EL-2800 existe dans les versions monochromes et couleurs (EL-2800M-CXP et EL-2800C-CXP). Ces modèles sont pourvus du capteur Sony ICX674 doté de la technologie EXview HAD CCD II et offrent une excellente sensibilité, une réponse proche infrarouge optimisée, des effets « smear » réduits, une efficacité quantique et une homogénéité d’image supérieures avec minimisation simultanée de la lumière parasite et du bruit. La pleine résolution de 1920 x 1440 pixels est transmise à la vitesse de 54,7 images/s en 8, 10 ou 12 bits, ce qui fait de la EL-2800, la caméra industrielle la plus rapide actuellement avec ce capteur.

Les nouvelles caméras à grande vitesse de la série Spark SP-5000 de JAI sont dotées d’une interface CoaXPress à deux canaux et permettent d’obtenir le débit de données le plus élevé de toutes les caméras matricielles de JAI. Les modèles les plus récents, SP-5000M-CXP2 (monochrome) et SP-5000C-CXP2 (couleur) fonctionnent avec un débit d’images maximum de 209 images/s et fournissent plus d’un milliard de pixels/s pour les configurations monochromes ou Raw Bayer 8 bits. Le nouveau capteur CMOS Lince5M 2560 x 2048 pixels d’Anafocus permet d’atteindre cette performance. Ces caméras fournissent jusqu’à 166 images/s via la sortie 10 bits, et 140 via la sortie 12 bits. De plus, une fonction d’interpolation des couleurs pouvant être librement sélectionnée offre une sortie RGB 24 bits avec 29 images/s à la pleine résolution de 5 mégapixels et 55 images/s à une résolution de 1080p-HD. A grande vitesse et à résolution d’image élevée, les caméras SP-5000-CXP sont idéales pour l’inspection. Parallèlement à quelques modèles CameraLink, Optronis, lui aussi, mise sur le standard CoaXPress 1.1 actuel et le connecteur DIN pour ses caméras grande vitesse CamPerform. Toute la série de caméras est conçue pour les plus hauts débits de transmission de données dans l’assurance qualité 2D/3D en temps réel. Sur les modèles CoaXPress, Optronis offre quatre variantes qui fonctionnent avec des résolutions de capteurs comprises entre 1696 x 1708 pixels (CP80-3-M/C-540) et 5120 x 5120 pixels (CP80-75-M/C-72). Le débit d’images fluctue entre 72 et 540 images Full-Frame/s, un chiffre pouvant être augmenté jusqu’à 170 000 images partielles/s dans le cas de la CP80-3-M/C-540. Avec ces vitesses, les caméras CamPerform d’Optronis conviennent pour une utilisation dans de nombreuses applications industrielles d‘analyse de processus et de détection de défauts.

Entretemps, les premiers produits CoaXPress sont également disponibles pour l‘acquisition d‘images. C’est ainsi que Silicon Software offre quelques-unes de ses cartes d’acquisition microEnable 5 avec interface CoaXPress. Ces cartes sont dotées de quatre entrées de caméra BNC et, prennent Power over CoaXPress (PoCXP) en charge. Les câbles CoaXPress nécessaires à ce niveau de qualité sont disponibles chez STEMMER IMAGING.

 

 

>> Standard CoaXPress 1.1 : encore plus robuste

Comparativement à la version précédente 1.0, le standard actuel CoaXPress 1.1 offre surtout une amélioration du protocole de transmission des données permettant une augmentation de la qualité de transmission des données. De plus, la version 1.1 est rétrocompatible avec CoaXPress 1.0. À la différence de la version 1.0, le General Purpose I/O (GPIO) a été retiré dans la version actuelle en raison des difficultés rencontrées. Une autre nouveauté : les connecteurs BNC utilisés jusqu’ici peuvent être remplacés par des connecteurs DIN plus compacts et plus petits. En outre, cela permet de raccorder la caméra et la carte d’acquisition via un seul connecteur à 4 pôles.

 

Source : https://www.stemmer-imaging.fr/fr/

Contact : info@stemmer-imaging.de

Une mesure fiscale en faveur de l’Innovation accordée à Corrodys

Agréé Crédit impôt recherche depuis 2004, Corrodys a officiellement reçu son agrément au Crédit Impôt Innovation (CII). Valable jusqu’à la fin de l’année 2014, l’agrément au CII du centre de technologies spécialisé dans la corrosion, la corrosion marine et la bio-corrosion sera renouvelé en 2015, ainsi que celui du Crédit impôt recherche. 

Corrodys est un centre technique spécialisé dans la corrosion, la corrosion marine et la bio-corrosion. Ce laboratoire est situé à Cherbourg-Octeville (Manche) et possède notamment d’importants moyens d’essais, dont certains ont été développés en interne. 

Deux boucles sont actuellement en fonctionnement : l’une située en laboratoire (boucle d’essai à milieu renouvelée), l’autre dans le hall d’essais et alimentée en continue en eau de mer naturelle (boucle Sirius). Ces boucles d’essais permettent de tester matériaux et traitements (anti-corrosion, anti-fouling) en étant au plus près des conditions d’utilisation réelles. 

Source : https://www.corrodys.com/