ESI lance Virtual Seat Solution, une solution logicielle unique, dédiée au prototypage de sièges
Paris, France – 27 janvier 2015 – ESI Group, pionnier et principal fournisseur de logiciels et services de Prototypage Virtuel à travers le monde, annonce la sortie de Virtual Seat Solution, la seule solution logicielle dédiée au Prototypage Virtuel de sièges. Elle permet aux donneurs d’ordre et fabricants de sièges de concevoir, tester, améliorer et pré-certifier complètement leurs prototypes de sièges de façon totalement virtuelle, et ce, sans avoir recours à de coûteux prototypes réels. Non seulement les industriels utilisant cette solution gagnent du temps et de l’argent, mais ils peuvent aussi mettre au point des sièges plus innovants et plus performants.
Les bénéfices apportés par l’usage du Prototypage Virtuel sont soulignés par Dr Vincent Tejedor, Directeur Technique de la jeune société française Expliseat, qui a récemment mis sur le marché le siège avion de classe économique le plus léger du monde. Avec son siège Titanium, Expliseat a réussi l’incroyable performance de réduire le poids d’un siège d’avion à seulement 4 Kg – soit plus de 50% de moins qu’un siège de classe économique classique ! Tejedor explique :
Le prototypage virtuel est une approche industrielle avérée pour pré-certifier le procédé de fabrication et la performance d’un produit innovant, tel le Titanium Seat. Notre expérience avec Virtual Seat Solution d’ESI confirme l’efficacité de cette solution pour accélérer l’innovation. Virtual Seat Solution nous a permis de réduire considérablement le temps de développement habituellement nécessaire pour concevoir un produit novateur, et nous a permis d’augmenter la valeur commerciale de notre société en un temps record!
Dans le secteur automobile, les principaux constructeurs comme Hyundai Motor Company, et les fournisseurs de sièges, ont déjà adopté la solution d’ESI. Hyundai utilise Virtual Seat Solution pour prédire le point-H, la posture des occupants, les cartes de pression, la fermeté du siège ou encore son confort dynamique. Grâce au Prototypage Virtuel, les recherches de Hyundai pour réduire les vibrations des sièges leur ont permis de produire des sièges d’un plus grand confort pour tous les occupants du véhicule, favorisant la réduction de la fatigue musculaire et les effets à long-terme sur la colonne vertébrale. Han Ji Won, Ingénieur de l’équipe de développement, Département Caisse et Intérieur, chez Hyundai Motor Company, commente :
Comme les sièges contiennent beaucoup de composants, il est très difficile d’identifier les facteurs qui influencent le confort dynamique. Nous avons tenté de répondre à cette interrogation en utilisant Virtual Seat Solution d’ESI, et nous y sommes arrivé. Cette nouvelle méthodologie nous aidera à réduire efficacement nos coûts et délais.
Virtual Seat Solution, intègre les fonctionnalités de la précédente solution logicielle d’ESI dédiée au confort des sièges, PAM-COMFORT. Ainsi, Virtual Seat Solution permet non seulement de prédire la fabrication et l’assemblage du garnissage des sièges, la posture de l’occupant, et son confort statique et dynamique, mais elle offre également la possibilité d’évaluer le confort thermique du siège ou son comportement en cas de choc arrière, impliquant une blessure de type « coup du lapin », dite « whiplash test».
Les clients peuvent ainsi facilement tester virtuellement la performance de leurs futurs produits, que ce soit leur performance au « whiplash test », exigée lors des tests EuroNCAP ou JNCAP, ou leur performance en terme de confort, conformément à la réglementation SAEJ826. Pour la première fois, les protocoles de ces tests sont entièrement intégrés et automatisés dans Virtual Seat Solution.
La capacité de Virtual Seat Solution à prendre en compte l’impact de la fabrication assure une excellente précision et prédictivité des tests de performance des sièges. Grâce à des mannequins et modèles humains, développés spécifiquement pour chaque type de test, les utilisateurs de la solution peuvent investiguer précisément les interactions entre le siège et son occupant.
Un modèle numérique unique de siège, intégrant les étapes de fabrication, est utilisé pour toutes ces applications. Cela permet aux concepteurs de sièges, aux ingénieurs et aux différents spécialistes de collaborer efficacement. En utilisant un modèle commun, ils peuvent rapidement arbitrer entre différentes options de conception et améliorer leurs prototypes.
Virtual Seat Solution est compatible avec Visual-Environment, la plateforme de simulation multi-domaines d’ESI, qui fournit l’environnement de travail idéal pour l’Ingénierie Assistée par Ordinateur (IAO) – de l’import de géométries de pièces à la mise en donnée des modèles, intégrant le pré- et post-traitement des calculs.
Pour plus d’informations sur Virtual Seat Solution, veuillez visiter https://www.esi-group.com/fr/virtual-seat-solution
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ESI Group – Media Relations
Céline Gallerne
+33 1 41 73 58 46
Celine.Gallerne@esi-group.com
À propos d’ESI Group
ESI Group est le principal fournisseur mondial de logiciels et services de Prototypage Virtuel, dont les méthodes s’appuient avant tout sur la physique des matériaux et la fabrication virtuelle.
Fondé il y a plus de 40 ans, le groupe ESI a développé un savoir-faire unique afin d’aider les industriels à remplacer les prototypes réels par des prototypes virtuels, leur permettant de fabriquer, assembler et tester leurs produits dans des environnements différents. Le Prototypage Virtuel permet ainsi aux clients d’ESI d’évaluer la performance de leurs produits dans des conditions normales ou accidentelles, en prenant en compte les propriétés issues de leur fabrication. En obtenant ces informations dès le tout début du cycle de développement, les clients d’ESI savent si un produit peut être fabriqué, s’il atteindra les objectifs de performance fixés, et s’il passera les tests de certification – et ce, sans qu’aucun prototype réel ne soit nécessaire. Véritables moteurs d’innovation, les solutions d’ESI intègrent les toutes dernières technologies en termes de calcul haute performance et de Réalité Virtuelle immersive, pour donner vie aux produits avant même qu’ils n’existent.
ESI Group est présent dans quasiment tous les secteurs industriels et emploie aujourd’hui plus de 1000 spécialistes de haut-niveau à travers le monde, au service de ses clients répartis dans plus de 40 pays.
Source : https://www.esi-group.com/fr/company/worldwide/france
Flir lance une nouvelle caméra à image thermique ultranette pour la lutte contre l’incendie
Flir Systems annonce l’ajout de la nouvelle Flir K55 à sa gamme de caméras thermiques pour la lutte contre l’incendie. La K55 intègre la technologie révolutionnaire FSX (Flexible Scene Enhancement) de Flir pour des images thermiques extrêmement nettes. Elle embarque également un circuit d’enregistrement vidéo, ce qui en fait l’auxiliaire idéal pour collecter des preuves, mais également pour former le personnel. La dernière-née de la famille K-Series de Flir permettra aux pompiers de voir encore mieux dans l’obscurité totale ou dans les locaux remplis de fumée.
Grâce à l’affichage FSX, la K55 délivre des images thermiques d’une résolution de 320 x 240 pixels sur un écran LCD de 4 ». Les pompiers peuvent ainsi se déplacer en toute sécurité et prendre de meilleures décisions lorsqu’ils s’attaquent à un incendie ou recherchent des victimes. Des détails tels que les bords et les angles sont rehaussés et combinés à l’image d’origine pour produire une image plus précise.
La Flir K55 intègre également un circuit d’enregistrement vidéo, ce qui en fait un excellent outil pour documenter ce qui se passe à l’intérieur d’un incendie, et constitue une aide à la formation précieuse. La K55 permet également d’enregistrer jusqu’à 200 fichiers thermiques JPEG en interne pour examen ultérieur ou pour exportation via le port USB.
L’interface utilisateur à trois boutons de la K55, simple et intuitive, permet au pompier d’accéder facilement à toutes les commandes de la caméra, même s’il porte des gants épais. Les différents modes de couleur permettent également d’adapter la Flir K55 aux situations les plus exigeantes. La famille K-Series est également conçue pour les environnements les plus durs ; elle supporte une chute de 2 mètres sur un sol en béton, résiste à l’eau (IP67) et reste pleinement opérationnelle jusqu’à +260 °C / +500 °F.
Faire la différence pour les premiers secours
« Avec la K55, FLIR continue d’innover et propose une technologie d’imagerie thermique abordable pour la lutte contre l’incendie et la sécurité publique, a déclaré Andy Teich, PDG de Flir Systems. Elle montre une fois de plus comment notre expertise de l’intégration verticale et du traitement de l’image, ainsi que nos produits qualifiés pour les applications militaires peuvent faire toute la différence pour les premiers secours partout dans le monde. »
La K55 est suffisamment abordable pour permettre aux pompiers d’équiper tous les camions d’une caméra d’imagerie thermique. La nouvelle FLIR K55 sera présentée au salon Intersec Exhibition de Dubaï, et commercialisée par les réseaux de distribution en place à partir du 1er mars 2015. La K55 est assortie de la garantie exclusive Flir de deux ans pour l’ensemble de la caméra, et de dix ans pour le détecteur.
Source : https://www.flir.fr/Home/
Un logiciel d’acquisition de données pour les non-initiés
Measurement Computing (MCC) distribué en France par Acquisys annonce une nouvelle version de son logiciel DAQami. Ce logiciel très convivial est destiné aux non informaticiens qui souhaitent un outil très simple leur permettant de paramétrer leur système d’acquisition, récupérer les données directement sous forme de grandeurs physiques, les afficher et les stocker au format Excel.
Quelques minutes suffisent pour effectuer vos premières mesures à partir d’un boitier USB.
Les principales fonctionnalités de DAQami sont les suivantes :
– Paramétrage du système d’acquisition : nombre et type de voies, fréquence d’acquisition, conditions de trigger, etc.
– Conversion des valeurs binaires en unités physiques : températures, tensions, courant, force, déplacement, microdéformations, vitesse, etc.
– Visualisation des données sous forme de courbes, d’affichage numérique, de barre graphe etc.
– Paramétrage de l’affichage, zoom, choix des couleurs, du nombre de courbes
– Stockage des données acquises au format Excel
– Compatible Windows 8/7/Vista
DAQami est particulièrement adapté pour la mesure sur les terrains là où les personnes chargées de faire l’acquisition des données ne sont pas forcément des informaticiens, mais, des physiciens, thermiciens, acousticiens, mécaniciens… C’est un logiciel qui permet de partir en déplacement sans angoisse, comme du temps des appareils classiques : multimètres, oscilloscope, sonomètre etc.
DAQami supporte une quarantaine de produits d’acquisition USB de MCC avec des conditionneurs de signaux intégrés pour mesurer des températures, des tensions, des courants, des forces, des vitesses, des déplacements etc …
Source : https://www.acquisys.fr
Contact : info@acquisys.fr
Altair continue d’élargir son offre de logiciel de simulation
En 2014, le fabricant de logiciel de simulation Altair a poursuivi l’élargissement de son offre en rachetant les sociétés Visual Solutions et EM Software Systems.
VisSim de Visual Solution
Visual Solutions, Inc. est l’éditeur du logiciel VisSim, outil pour la modélisation mathématique, la simulation et le développement de systèmes embarqués avec un environnement visuel et un langage novateurs. Selon Michael Hoffmann (VP Math & System chez Altair), l’innovation des produits passe de plus en plus par l’intégration de systèmes embarqués, augmentant la demande pour des outils de développement et de test puissants.
VisSim est un logiciel connu pour sa facilité d’utilisation, son interface interactive, son moteur de simulation efficace, sa génération de Code-C de haute qualité et un service client haute-gamme.
Mike Borrello (Ingénieur Principal des Contrôles chez Philips Healthcare, Division Hôpital) témoignait récemment que « contrairement à d’autres outils de simulation sur le marché, j’ai toujours été impressionné par l’efficacité de VisSim, qui permet de créer et valider plus rapidement mon système de contrôle des conceptions. Aucun outil n’est à la hauteur de la polyvalence et de la simplicité de VisSim ».
Pour en savoir plus sur VisSim : https://hyperworks.fr/Product,74,VisSim.aspx
FEKO d’EM Software & Systems
Cette acquisition ajoute le solveur FEKO à la suite HyperWorks d’Altair et renforce ainsi notre offre dans les secteurs de l’aérospatiale, l’automobile, la défense et des constructions navales ce qui reflète l’engagement d’Altair à fournir des solutions toujours plus complètes.
Les applications typiques de FEKO comprennent la conception d’antenne, le placement de l’antenne, l’analyse de la compatibilité électromagnétique, le bio-électromagnétisme, les composants de radiofréquence, des circuits électromagnétiques 3D, la conception et l’analyse de radar par coupe-transversale.
En plus des solveurs existants de la Suite HyperWorks (RADIOSS, OptiStruct, MotionSolve, AcuSolve), l’ajout de FEKO aidera à résoudre des problèmes électromagnétiques-thermiques et électromagnétiques-mécaniques.
Pour en savoir plus sur FEKO : https://hyperworks.fr/Product,73,FEKO.aspx
Source : https://www.altairhyperworks.com/
Alain Bugat, nouveau président de l’Académie des technologies
Le 12 novembre 2014, l’Académie des technologies, réunie en assemblée plénière, a procédé à l’élection des membres du bureau, du conseil académique, des comités, ainsi que des présidents de commissions, pour la période 2015-2016. Alain Bugat, vice-président de l’Académie des technologies, a ainsi été élu président pour un mandat de deux ans (2105-2016). Il succède à ce poste à Gérard Roucairol.
Diplômé de l’Ecole polytechnique et de l’Ecole nationale supérieure des technologies avancées, Alain Bugat a mené une carrière entièrement consacrée aux technologies avancées, soit au sein de la recherche publique soit au sein d’entreprises industrielles, avec deux dominantes : l’énergie nucléaire et les énergies renouvelables, et les technologies de l’information.
Administrateur général du Commissariat à l’énergie atomique français de 2003 à 2009, Alain Bugat établit en 2004 un nouveau plan stratégique afin de redéfinir le profil du CEA à horizon 2014 et met en œuvre un programme d’amélioration de l’efficacité de l’ensemble de l’organisme. Ce plan stratégique comprend un programme de plus d’un milliard d’euros pour la construction de nouvelles installations nucléaires. Dans la même période il finalise le programme de démantèlement de la totalité des anciennes installations civiles et militaires du cycle du combustible nucléaire ainsi que la mise en place des fonds dédiés pour le financement (9 milliards d’euros).
Sous son impulsion, le CEA développe ses activités dans les domaines des technologies de l’information, des sciences de la matière, des sciences de la vie et de la santé, avec la création notamment en 2006 de NeuroSpin, centre de neuro-imagerie médicale par résonance magnétique nucléaire (IRM). Dans le domaine de l’énergie, le CEA élargira son champ d’action aux énergies renouvelables de haute technologie, ce que consacre le changement de nom de l’établissement public qui devient en 2010 le Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives.
Vice-président de la plateforme européenne sur l’hydrogène et piles à combustible (2003-2008), Alain Bugat a été co-fondateur de l’Alliance de recherche européenne de l’énergie, qui réunit les plus grands centres européens de recherche du domaine de l’énergie. Il est actuellement membre du conseil d’administration du groupe SNEF.Il fonde en 2009 NucAdvisor, et préside jusqu’à fin 2014 cette société dédiée au conseil, à l’expertise et à l’assistance à maitrise d’ouvrage pour les grands programmes nucléaires et pour les programmes de démantèlement. NucAdvisor intervient en France mais essentiellement à l’exportation (Jordanie, Koweït, Afrique du Sud, Vietnam, Japon, etc.).
L’ajustage des pyromètres avec l’image vidéo
Micro-Epsilon présente les nouveaux pyromètres thermoMETER CTVideo et CSVideo pour la mesure de température des métaux. La visée laser en croix et l’image vidéo permettent l’ajustage précis des capteurs en présence de températures élevées.
Les thermomètres infrarouges CTVideo/CSVideo sont utilisés pour mesurer la température des métaux dans une plage de 50 à 2.200 °C. L’ajustage de précision du thermomètre pour, par exemple: les objets de mesure très petits, est assisté par un laser en croix et une visée vidéo qui permettent également l’affichage de l’objet à mesurer ainsi qu’une mesure précise. La visée vidéo permet une mesure de température précise même dans des conditions d’installation difficiles comme, par exemple: celles d’une cible non visible.
La résolution de température est de 0,1 K, la plage spectrale de ces nouveaux capteurs couvre selon le type de 1 à 2,3 µm. Le capteur particulièrement compact présente un diamètre de 50 mm et une longueur de 100 mm. Des sorties analogiques pour le courant et la tension, une sortie alarme et une interface 2.0 USB sont disponibles en tant que sorties. Le contenu de la livraison comprend le logiciel d’application CompactConnect. Ce logiciel permet des instantanés automatiques (dépendant de la durée ou de la température), l’affichage graphique, l’enregistrement des valeurs mesurées et le paramétrage du thermomètre infrarouge.
Les capteurs infrarouges CTVideo/CSVideo dotés d’une visée vidéo sont appropriés dans les applications au service de la Recherche et du Développement, dans l’analyse du processus et l’industrie sidérurgique.
Source : https://www.micro-epsilon.fr
Contact : france@micro-epsilon.com
Méthode des éléments finis pour le dimensionnement et la vérification de pièces et structures
Nafems France organise les 31 mars et 1er avril prochains une formation intitulée « Méthode des éléments finis pour le dimensionnement et la vérification de pièces et structures ». Cette formation se déroulera à Paris.
La simulation numérique est de plus en plus utilisée et accessible directement depuis les systèmes de CFAO pour la conception de produits industriels et la validation des process de fabrication, souvent au travers de fonctions presse bouton. Ceci n’est pas sans poser des problèmes de bonne mise en œuvre et de bonnes pratiques dans la mesure où la technologie éléments finis sous-jacente n’est pas forcément connue et maîtrisée des utilisateurs. Les risques de mauvaise utilisation sont dès lors considérables, avec toutes les conséquences que cela peut avoir sur des conceptions et validations erronées, ou, pire, complètement hors de sens.
Il est dès lors très important que projeteurs, concepteurs, ingénieurs et utilisateurs de CFAO comprennent clairement de quoi il retourne, sur quelles bases repose la méthode des éléments finis et comment il convient de la mettre en œuvre à travers les fonctions offertes par les systèmes de CFAO et logiciels de calcul. Parallèlement, il est important de comprendre comment ces technologies se mettent en œuvre, tant sur le plan des compétences que des pratiques.
Objectifs et apports de ce stage
La formation « Méthode des éléments finis pour le dimensionnement et la vérification de pièces et structures » est la première étape du cursus de formation proposé par Nafems autour des technologies de simulation numérique. Elle permettra aux participants :
•de comprendre comment on passe des formules de résistance des matériaux au calcul par éléments finis,
•de mettre en œuvre la méthode sur des cas concrets typiques utilisant les différents types d’éléments (poutres, plaques, coques, volumes,…),
•d’acquérir les notions de base sur les différents modèles de comportement en relation avec la physique (statique, dynamique, linéaire, non linéaire,…),
•de s’assurer des bonnes pratiques et du bon usage des outils intégrés dans vos systèmes CFAO,
•de se préparer aux stages de formation à la simulation numérique complémentaires (Nafems, éditeurs, cours internes,…
Outre l’apport de connaissances théoriques et méthodologiques sur la technologie éléments finis, la formation s’attache à vérifier par des exercices pratiques la bonne intégration des notions par les participants.
Sur le CES de Las Vegas, NVidia ouvre la voie aux voitures de demain
Dans une volonté constante d’évoluer vers un futur où les voitures seront autonomes et détecteront leur environnement, NVidia a présenté lors de sa keynote d’ouverture, ses derniers ordinateurs embarqués NVidia Drive. Équipés de puissantes fonctionnalités, ces nouveaux processeurs permettront de voir et d’analyser des images de l’environnement extérieur, de fournir des outils d’aide à la conduite et un affichage graphique haute définition sur les tableaux de bord automobiles.
NVidia proposera deux ordinateurs embarqués : le NVidiaDrive PX, pour le développement des capacités de pilotage automatique, et le NVidiaDrive CX, pour la création de systèmes de bord numériques à la pointe de la technologie. Ces ordinateurs embarqués sont basés sur la même architecture que celle qui est utilisée dans les supercalculateurs les plus puissants actuellement.
« Les supercalculateurs mobiles seront des outils majeurs de la voiture de demain, a déclaré Jen-Hsun Huang, PDG et co-fondateur de NVidia. Avec de vastes réseaux de caméras et d’écrans, les voitures du futur verront et comprendront de mieux en mieux leur environnement. Aussi bien pour retrouver le chemin entre une place de stationnement et son propriétaire que pour percevoir son environnement et mettre le conducteur hors de danger, les voitures du futur seront intelligentes et capables de réaliser des choses surprenantes. Les progrès affichés dans les domaines de la vision par ordinateur, du deep learning et des graphismes ont enfin permis de rendre ce rêve accessible ». L’objectif de NVidia est clair : accélérer la révolution des voitures intelligentes en mettant les capacités devisualisation numérique des supercalculateurs au service de chaque conducteur.
Source : https://www.nvidia.com/
Création d’une chaire de recherche internationale sur la conduite automatisée
Mines ParisTech, première école en France par son volume de recherche contractuelle, a créé une nouvelle chaire de recherche internationale dans les secteurs automobile et aéronautique, en partenariat avec les industriels Valeo, PSA Peugeot Citroën et Safran.
Baptisée « Conduite automatisée – Drive for You », la chaire réunira des équipes du Centre de Robotique Mines ParisTech et des partenaires académiques internationaux : l’université de Shanghai Jiao Tong (Chine), l’université de Berkeley (Californie) et l’École Polytechnique fédérale de Lausanne (Suisse).
Portée par la Fondation Mines ParisTech, avec un financement de 3,7 millions d’euros par les industriels, la chaire travaillera pendant cinq ans sur le sujet de la conduite automatisée, avec pour objectifs de : faire progresser la connaissance sur les véhicules automatisés, développer les dispositifs d’intelligence embarquée et faire rouler des véhicules automatisés sur trois continents (Asie, États-Unis, Europe).
« La chaire »Conduite automatisée – Drive for You » s’inscrit dans la continuité des travaux que le Centre de Robotique (CAOR) de Mines ParisTech mène depuis plus de vingt ans, en collaboration avec les principaux industriels concernés, sur les thématiques du véhicule intelligent, du contrôle, de la réalité virtuelle, de l’intelligence artificielle, de la robotique mobile et de la logistique », a déclaré Arnaud de La Fortelle, directeur du centre et titulaire de la chaire « Conduite automatisée – Drive for You ».
Source : https://www.mines-paristech.fr/