Siemens met la main sur l’éditeur de logiciels de simulation CD-adapco

Siemens et CD-adapco ont conclu un accord portant sur le rachat des actions de CD-adapco par Siemens. Le prix d’achat s’élève à 970 M$. CD-adapco est une entreprise internationale spécialisée dans les logiciels de simulation. Ses solutions de simulation numérique couvrent un large éventail de domaines : mécanique des fluides (CFD), mécanique des solides (CSM), transfert thermique, dynamique des particules, flux de réactifs, électrochimie, acoustique ou encore rhéologie.

Lors du dernier exercice, CD-adapco comptait un effectif de plus de 900 salariés pour un chiffre d’affaires d’environ 200 M$« L’acquisition de CD-adapco par Siemens s’inscrit dans le cadre de la stratégie Vision 2020, déclare Klaus Helmrich, membre du Directoire de Siemens AG. Nous entendons ainsi poursuivre notre croissance dans le domaine de la digitalisation et enrichir notre portefeuille de logiciels industriels ».

CD-adapco est une entreprise internationale spécialisée dans les logiciels de simulation numérique, avec une approche unique en matière d’exploration multidisciplinaire (Multidisciplinary Design eXploration — MDX). Ses outils de simulation, et notamment le fleuron de son offre, le logiciel de simulation STAR-CCM+, ont séduit plus de 3 200 clients dans le monde entier. Son logiciel est utilisé par 14 des 15 principaux constructeurs automobiles, par les 10 principaux équipementiers de l’industrie aéronautique et aérospatiale, et par 9 des 10 principaux acteurs opérant dans les secteurs de l’énergie et de la construction navale.

« Je me réjouis à la fois pour les collaborateurs et pour les clients de CD-adapco, a expliqué Sharron MacDonald, CEO de CD-adapco. L’acquisition de notre entreprise par Siemens ouvre la voie à une infinité d’opportunités. Avec l’intégration de technologies de premier plan, que ce soit pour l’ingénierie ou la production, nous réalisons la vision des fondateurs de l’entreprise et mettons-en œuvre une stratégie de développement qui ouvrira la simulation numérique à un nombre toujours plus grand de produits et d’entreprises ».

CD-adapco sera intégré à l’activité PLM Software de la division Digital Factory (DF) de Siemens, leader dans le domaine des automatismes industriels et un acteur de premier ordre dans le domaine des logiciels de gestion de cycle de vie des produits (Product Lifecycle Management – PLM). « Avec l’ajout à notre portefeuille d’outils de simulation avancés en mécanique des fluides et l’intégration de spécialistes de ce domaine dans nos effectifs, nous renforçons considérablement nos compétences en matière de simulation et de modélisation numériques pour pouvoir créer des jumeaux numériques extrêmement précis des produits », a précisé Anton Huber, CEO de la Division Digital Factory.

Source : https://www.siemens.com/

Deux nouvelles accréditations pour le Cetiat dans le domaine de la CVC

Le Centre technique des industries aérauliques et thermiques (Cetiat) renforce son expertise à l’international auprès des industriels à travers l’obtention de deux nouvelles accréditations: l’AMCA International (Air Movement and Control Association International) et l’ARHI (Air Conditioning, Heating and Refrigeration Institute) et affirme ainsi son rôle d’acteur référent.

Le Cetiat et l’AMCA, organisme de certification américain spécialisé dans les équipements aérauliques, ont signé en avril dernier un accord de collaboration dans le domaine des ventilateurs. Ainsi, tout fabricant européen souhaitant obtenir la certification AMCA pour exporter ses produits sur le marché américain, peut désormais s’adresser au Cetiat pour réaliser ses essais de performance des ventilateurs.

Accréditation ARHI : une ouverture à de nouveaux territoires

Le centre technnique est également accrédité par l’ARHI, association de certification américaine spécialisée dans le domaine du HVAC (chauffage, ventilation, conditionnement d’air), pour réaliser des essais de performance d’équipements. En faisant appel à l’expertise du Cetiat, l’ARHI souhaite notamment rayonner sur la zone EMIA (Europe, Moyen-Orient, Inde, Afrique). Le centre offre alors un accès stratégique à cette zone géographique en permettant aux constructeurs qui y sont installés de réaliser des essais sur leurs matériels.

Un acteur référent en métrologie

À travers ces deux accréditations, le Cetiat affiche sa volonté d’être un acteur référent à l’international en termes d’essais de performance d’équipements CVC. Il est désormais le premier laboratoire européen indépendant accrédité par l’AMCA et l’ARHI. Ces accréditations permettront au Cetiat de nouer des relations plus étroites avec des industriels internationaux et d’offrir un service de proximité à ses ressortissants qui souhaiteront accéder à ces certifications.

À ce titre, le centre a investi dans de nouveaux équipements et prévoit une montée en puissance sur les prochains mois pour répondre aux exigences d’essais de certification. L’esprit d’indépendance et l’expertise du centre industriel sont ainsi renforcés. 

Source : https://metrologie.cetiat.fr/

dSPACE lance Synect 2.0 pour gérer les gros volumes de données au cours du développement et du test

Avec Synect 2.0, dSPACE a récemment introduit une nouvelle version de son logiciel de gestion de données pour le développement basé sur modèle et les tests de calculateur. Grâce à sa technologie serveur de pointe et une ergonomie améliorée, Synect aide les développeurs de systèmes embarqués et de logiciels, pour la gestion des données générées pendant leurs processus de développement et de test.

La nouvelle technologie de serveur utilisée avec Synect 2.0 offre une meilleure évolutivité permettant le travail au sein de grandes équipes distribuées globalement et le travail avec des volumes de données élevés. L’interface de programmation d’application (API) est à présent disponible à la fois côté client et serveur. Toutes les options d’automatisation de Synect ont été étendues et les workflows individuels sont plus facilement modifiables. 

Synect 2.0 fournit en standard une intégration avec les systèmes ALM (Application Life cycle Management), au moyen du serveur Microsoft Team Foundation Server qui complète l’intégration de PTC Integrity et IBM Rational Doors. Associée à la possibilité de connecter de nombreux outils d’ingénierie, cette intégration confère un rôle central à Synect dans la chaîne d’outils des utilisateurs où il gère les données d’ingénierie telles que les tests, les variantes, les modèles, les signaux et les paramètres, créées pendant le processus de développement.

Une gestion plus pratique des tests, des variantes, des modèles, des signaux et des paramètres

Avec la nouvelle version 2.0, tous les modules Synect − Test Management, Variant Management, Model Management et Signal & Parameter Management − ont été étendus et améliorés en termes de fonctionnalité et d’ergonomie. 

Les utilisateurs du module Test Management, par exemple, profitent d’une planification plus rapide grâce à des plans d’exécution de test optimisés. Le nouveau plug-in import/export destiné à la gestion de variantes permet aux utilisateurs d’échanger plus facilement les modèles de variantes et de configurations avec d’autres outils. De plus, une gestion de workflow intégrée simplifie la gestion de systèmes de tests Hardware-In-the-Loop (HIL) complexes, impliquant plusieurs variantes et interactions logicielles. 

Source : https://www.dspace.com

Les pyramides au coeur d’un projet de scanning

La Faculté des ingénieurs de l’Université du Caire et l’Institut HIP (Heritage Innovation Preservation) ont lancé, le 25 octobre 2015, sous l’autorité du ministère des Antiquités égyptien, le projet « #ScanPyramids » visant à « scanner », durant une année, les grandes pyramides d’Egypte (Kheops, Khephren, La Pyramide Rhomboïdale et la Pyramide Rouge).

#ScanPyramids combine plusieurs disciplines non invasives et non destructives pour tenter de révéler la présence de structures internes méconnues à ce jour dans les monuments antiques et de mieux comprendre à la fois leur plan et leur construction. Les technologies utilisées mêlent la thermographie infrarouge, la radiographie par muons et la reconstruction 3D.

La première phase du projet consistant à mesurer les écarts de température à différents moments de la journée sur l’ensemble des pyramides grâce à la thermographie Infrarouge s’est terminée le 8 novembre dernier. Une première anomalie significative a été révélée le 9 novembre et l’ensemble des résultats seront présentés ce mois-ci.

Démarrage de la radiographie par Muons à Dahchour dans la Pyramide Rhomboïdale

Une série de tests, réalisés en Novembre, a tout d’abord permis à l’équipe de #ScanPyramids d’optimiser et d’adapter la formulation chimique des émulsions sensibles aux Muons aux conditions de la Pyramide Rhomboïdale (humidité, température …) à Dahchour. Le professeur Kunihiro Morishima et son équipe de l’université de Nagoya University ont ensuite terminé l’installation complète des plaques de détection des muons dans la chambre basse de l’édifice. Le dispositif est constitué de 40 plaques couvrant une surface totale de 3m2. Chaque plaque contient 2 films avec une émulsion sensible aux Muons. Cette émulsion permet de capter les muons qui pénètrent naturellement à travers la pyramide. 

En parallèle l’équipe de #ScanPyramids a également installé un échantillon de plaques dans la Chambre de la Reine de la Pyramide de Kheops. Il s’agit, là aussi, d’adapter la formulation des émulsions aux conditions particulières de la Grande Pyramide. L’installation complète se fera au début de cette année. L’analyse des plaques de la Pyramide Rhomboïdale aura lieu au Caire et au Japon dans les premières semaines de 2016.

Source : https://www.scanpyramids.org/

La caméra thermographique, une machine à remonter le temps pour les diagnostics d’humidité

Si les méthodes d’essai invasives sont parfois nécessaires pour déterminer la source et l’ampleur des problèmes d’humidité dans les bâtiments, il existe toute une gamme d’outils facilitant le premier diagnostic. Les humidimètres électroniques, les thermomètres de surface, les hygromètres et les enregistreurs de données ont tous leur rôle à jouer. Pour des experts tels que Brick Tie Preservation, au Yorkshire (Royaume-Uni), ce sont les outils standard du métier. Cette société dispose également de son propre laboratoire d’analyse du salpêtre et d’essai gravimétrique pour les échantillons de maçonnerie. Étant aussi bien équipée, pourquoi a-t-elle choisi d’ajouter la thermographie à son arsenal ?

La réponse à cette question réside dans la possibilité de « prendre du recul » instantanément et d’intégrer des caractéristiques et des défauts ayant une influence sur le problème d’humidité ; ces détails se voient immédiatement sur une image thermique, qui révèle les écarts de transfert et de rétention de la chaleur. Bryan Hindle, DG de Brick Tie Preservation, compare sa caméra thermographique à une machine à remonter le temps permettant de connaître l’histoire du bâtiment. Il s’intéressait à la thermographie depuis un certain temps déjà et, après avoir demandé l’avis d’autres professionnels de sa branche, il a décidé de s’inscrire à un cours dispensé par Thermographic Consultancy Limited (TCL), à Swindon, pour en savoir plus sur cette technologie.

« Même si la thermographie appliquée au bâtiment n’a rien de sorcier, elle exige une bonne connaissance de son fonctionnement et de ce qui influe sur le matériel et les résultats, explique Bryan Hindle. Je pense qu’une qualification de niveau 1 en thermographie est parfaite pour quiconque se lance dans ce domaine. Je me refusais d’ailleurs à utiliser une caméra IR dans mon travail sans avoir suivi cette formation. »

L’étape suivante consistait à choisir la caméra thermographique la mieux adaptée. À la suite de sa formation, Bryan s’est rendu compte qu’un modèle d’entrée de gamme serait une économie de bout de chandelle pour son entreprise. Si un modèle simple suffit pour la résolution de problèmes simples, il n’offre pas les performances ni la richesse fonctionnelle requises pour déceler les problèmes complexes révélés par de subtils écarts de température.

Grâce aux indications de l’expert de TCL Stuart Holland, lui-même thermographe de niveau III, Bryan Hindle a finalement opté pour la Flir T420bx, équipée d’un objectif grand-angle, sa société intervenant en grande partie à l’intérieur des bâtiments. « Flir fabrique des produits de qualité et dispose d’un bon réseau de formateurs professionnels.  C’est ce que j’apprécie chez un fabricant. C’est une attitude responsable et proactive, confirme Bryan Hindle. J’ai examiné ce que proposent d’autres marques, mais la FLIR T420bx offre la combinaison idéale sur le plan des fonctionnalités, de la sensibilité et de la résolution. Ayant utilisé des modèles bon marché de type pistolet, je trouve l’ergonomie de l’objectif pivotant et de la poignée beaucoup plus confortable. »

Et d’ajouter : « Une bonne sensibilité est un critère particulièrement important, car je ne peux pas compter sur des écarts de température élevés et je n’ai pas le choix des conditions de travail. La préparation n’a guère d’intérêt si, par exemple, les portes et les fenêtres d’un bâtiment sont grandes ouvertes quand j’arrive. Dans ce cas, les conditions d’intervention sont loin d’être idéales. »

Limitation des essais destructifs

Bien que la thermographie ne permette pas de diagnostiquer directement des situations telles que les remontées d’humidité, elle aide Bryan Hindle à affiner son jugement d’un problème. Il estime qu’elle apporte un plus à son diagnostic. C’est important, car de nombreux problèmes d’humidité sont influencés par les travaux effectués dans le passé, qui sont souvent dissimulés derrière le plâtre ou d’autres finition. Le propriétaire ou le locataire n’en a parfois même pas connaissance lui-même.  

« La thermographie m’aide à décider en parfaite connaissance de cause lorsqu’il s’agit de déterminer si des essais fastidieux et destructifs sont nécessaires ou non. Je peux obtenir ces informations sur site et, habituellement, avec des résultats immédiats, précise Bryan. Grâce à cette technologie, j’ai récemment été en mesure de montrer à un inspecteur qu’une maison ne nécessitait pas un bardage étanche à l’humidité ni des travaux conséquents, car il s’agissait simplement d’un problème de condensation. »

Dans ce cas particulier, Bryan Hindle a utilisé sa Flir T420bx en combinaison avec son humidimètre FLIR MR77. Les deux appareils sont équipés de Meterlink, fonction permettant d’incorporer les mesures de l’humidimètre dans l’image thermique. « J’ai pu remettre à mes clients une image montrant les points de rosée avec l’humidité relative superposée sur un isotherme en couleur prise sur place, de manière à ce qu’il voie le résultat de mesures en direct de l’humidimètre, poursuit-il. C’est un outil de communication particulièrement précieux et, franchement, je n’imaginerais plus acheter une caméra dépourvue de cette fonction. Je déteste les rapports qui embrouillent les clients. C’est pourquoi fournir l’image IR avec une explication claire de ce qui se passe donne d’aussi bons résultats. »

Acquisition de connaissances

Non seulement elle constitue une aide importante au diagnostic, mais la Flir T420bx de Brick Tie Preservation permet à la société à acquérir des connaissances scientifiques.  Par exemple, elle a été utilisée dernièrement pour mieux comprendre comment le salpêtre influe sur les caractéristiques thermiques de la maçonnerie, mais également comment l’air vicié, fréquent en hiver, contribue à augmenter l’humidité.

Dans ce projet particulier, Bryan Hindle a eu recours à la technologie d’imagerie multispectrale brevetée de Flir Systems, MSX, pour représenter visuellement les effets thermiques. MSX intercepte les données visuelles de la caméra numérique intégrée et les données radiométriques de la caméra thermique. Le logiciel interne analyse l’image et superpose ses éléments-clefs sous la forme d’un « squelette » très contrasté de l’image thermique.

« Grâce à la technologie MSX, le bord des passages, les lits d’assise et la jonction passage/mur apparaissent clairement sur l’image, explique Bryan Hindle. J’ai également utilisé les excellents outils de FLIR Systems pour matérialiser certains tracés de mesure pour mettre en évidence les gradients de température, ainsi que les températures maximales et minimales apparentes sur chacun d’eux ».

Une multitude d’applications

Pour Brick Tie Preservation, les principaux avantages de la thermographie résident dans sa capacité à révéler l’isolation absente ou défaillante, ainsi que les emplacements présentant un risque de condensation. Elle permet également de repérer les ponts thermiques tels que les cavités bouchées. Dans les bâtiments anciens, elle l’aide également à trouver les ossatures en bois et les colombages dissimulés, les ouvertures rebouchées et les fuites.

Dernièrement, la flexibilité de cette caméra a d’ailleurs permis à Bryan Hindle de trouver une fuite dans un système de chauffage central comprenant une centaine de mètres de tuyauterie sous la chape du rez-de-chaussée. « Grâce à ma caméra thermographique, j’ai repéré l’anomalie en seulement quelques minutes. Quand le chauffage a été rallumé, le client et moi avons vu la tache s’agrandir puis refroidir lorsqu’on a fait circuler de l’eau froide, ajoute Bryan Hindle. Tout cela a été détecté sans devoir déplacer les meubles, les tapis ou la thibaude. Le client était ravi que le problème ait été repéré sans devoir arracher quoi que ce soit (…). Je me suis passé de la thermographie pendant des années, mais ce ne serait plus le cas aujourd’hui », conclut-il.  

Source : https://www.flir.fr/

Trescal signe sa première acquisition au Canada

Trescal, spécialiste mondial des services de métrologie, annonce aujourd’hui l’acquisition de Primo Instrument, sa première acquisition au Canada. Primo Instrument apporte au groupe, mené par Olivier Delrieu son président, un chiffre d’affaires complémentaire d’environ 7 millions d’euros.

Situé à Montréal, Primo Instrument est un laboratoire accrédité A2LA qui couvre la plupart des domaines métrologiques, particulièrement dimensionnel, électrique DC/LF, temps / fréquence, couple, dureté, pression et température. L’entreprise a également une activité de vente d’équipements de test et mesure. Primo Instrument emploie trete-cinq personnes et est principalement actif dans les secteurs aéronautique et automobile. Trescal s’appuiera sur les trois fondateurs – Pierre Tétrault, Michele Sardella et Tony Antonitti, afin de poursuivre son développement au Canada. Cette acquisition a été réalisée avec le soutien de l’actionnaire majoritaire de Trescal, Ardian, la société d’investissement privé indépendante. Il s’agit de la quatorzième acquisition depuis le rachat de Trescal par Ardian en juillet 2013. 

Guillaume Caroit, Secrétaire Général du Groupe Trescal, a déclaré : « Nous sommes enthousiastes à l’idée que Primo Instrument rejoigne le groupe Trescal ; nous souhaitions depuis longtemps nous implanter au Canada afin d’y accompagner nos grands clients aéronautiques. » De son côté, Pierre Tétrault, fondateur de Primo Instrument a indiqué qu’« avec l’expansion que nous avons connue ces dernières années, nous cherchions un partenaire solide et expérimenté pour pouvoir continuer notre croissance. Trescal apporte à Primo Instrument l’expertise et le réseau dont il avait besoin pour franchir un cap dans son développement. »

Enfin, Thibault Basquin, Managing Director Ardian Mid Cap Buyout, a ajouté : « le Groupe Trescal commence 2016 comme il a fini 2015, en continuant sa stratégie de croissance ambitieuse. Primo Instrument permet au groupe de s’implanter Canada – un pays attractif – et ainsi de se renforcer en Amérique du Nord. »

Source : https://www.trescal.com/fr_FR/

Reiser Simulation and Training choisit Moog pour sa plateforme cinématique avec table vibrante

La société Reiser a choisi le Groupe Industrie de Moog pour la fourniture de la plate-forme cinématique à commande électrique avec table vibrante, du système de commandes à retour d’effort et logiciel destinés au simulateur de vol FFS-D (Full Flight Simulator, niveau D) pour la formation des pilotes d’hélicoptère H145. Cette fourniture s’inscrit dans le cadre du contrat confié à Reiser par le centre de formation ADAC HEMS Academy GmbH pour la fourniture d’une formation sur simulateur FFS au pilotage des hélicoptères H145, dans les conditions les plus fidèles possibles à celles des futures missions des pilotes.

S’exprimant sur le choix en faveur de Moog pour l‘étude et la fabrication du FFS-D H145, le docteur Roman Sperl, PDG de Reiser, a déclaré « quelques années depuis notre partenariat initial avec Moog sur un projet de sièges anti-G, nous sommes ravis d’étendre notre fructueuse et longue coopération   au marché des FFS bénéficiant ainsi du soutien du leader des systèmes cinématiques pour la formation des pilotes sur FFS de niveau D ».

La table vibrante permettra de simuler avec réalisme les vibrations verticales, latérales et longitudinales pour reproduire le ressenti spécifique du pilotage de l’hélicoptère H145, avec des profils de mouvement et de repérage d’un réalisme accru. Les commandes de la table vibrante de niveau D, du retour d’effort et du siège sont conçues pour prendre en charge le spectre, l’amplitude et le comportement des vibrations sur toute l’enveloppe opérationnelle. Le système cinématique électrique Electric Motion de Moog de deuxième génération utilisera un logiciel dédié de dernière génération et le récent module d’essai automatisé Automated Test Module pour faciliter la prise en compte des exigences des futurs QTG (Quality Test Guide).

Selon David Speich, directeur commercial et du développement des marchés chez Moog, « forts de notre longue expérience des FFS et de notre engagement à fournir les meilleures performances possibles, nous sommes ravis de pouvoir accompagner Reiser dans sa pénétration du marché des FFS et de les aider à poursuivre sur leur voie de vingt-cinq ans d’excellence ».

Source : https://www.moog.com/