La caméra scientifique X6900sc de FLIR aide les chercheurs à effectuer la mesure thermique des objets à grande vitesse

La réalisation de mesures thermiques précises sur des objets se déplaçant rapidement constitue un défi majeur pour les chercheurs de la communauté scientifique. Il existe désormais un outil de mesure offrant une vitesse et une résolution suffisantes.

 

Aujourd’hui, FLIR a annoncé la sortie de la X6900sc, sa toute nouvelle caméra scientifique conçue pour résoudre ces problèmes.

 

La X6900sc est une caméra à usage commercial à grande vitesse qui fonctionne dans la bande infrarouge moyenne. Elle offre la fréquence d’acquisition la plus rapide et une résolution de 640 x 512 pixels. Elle associe parfaitement la prise d’image à haute vitesse avec la technologie thermique.

 

La X6900sc est dotée des fonctionnalités suivantes pour les chercheurs :

  • Résolution de 640 x 512 pixels pour une image nette.
  • 1000 images par seconde (images/s) pour faciliter la capture des images.
  • Enregistrement haute résolution sur la RAM de la caméra pendant une durée maximum de 26 secondes afin de faciliter la capture et le traitement des images.
  •  Roue porte-filtres motorisée à quatre positions avec reconnaissance automatique de chaque filtre. Remplacement des filtres, mise en œuvre facile.

 

Avec une sensibilité inférieure à 20 millikelvin (mK) et des mesures thermiques précises jusqu’à 2000 ºC, la X6900sc offre l’avantage d’une fréquence de trame élevée et d’une résolution supérieure sans nuire à la sensibilité. Que vous souhaitiez mesurer la température des objets se déplaçant à grande vitesse ou caractériser l’évolution thermique des objets lors de leur refroidissement, la FLIR X6900sc est la solution de mesure thermique qu’il vous faut.

 

Pour en savoir plus sur la X6900sc pour la recherche et le développement, visitez la page www.flir.com/x6900sc

Source : https://www.flir.fr/home/

FLIR annonce la sortie de la première pince ampèremétrique à image thermique au monde

Les électriciens doivent depuis longtemps résoudre des problèmes complexes en procédant à des mesures électriques sporadiques pour en identifier les causes. Bien souvent, l’origine véritable du problème leur échappe, de sorte que leurs clients ne cessent de les rappeler pour le même motif. Ils perdent non seulement leur temps à essayer de remédier à des problèmes qu’ils pensaient résolus, mais mettent également leur sécurité en danger en méconnaissant les dangers auxquels ils sont exposés.

Aujourd’hui, FLIR a annoncé la sortie en Europe de la première pince ampèremétrique à image thermique au monde – la FLIR CM174 avec fonction IGM™ (mesure guidée par infrarouge).

La pince ampèremétrique CM174 CA/CC de 600 A dispose d’une caméra thermique intégrée qui alimente la technologie IGM de FLIR, laquelle guide visuellement les utilisateurs vers les écarts thermiques et met en évidence les anomalies. Ils peuvent ainsi remettre l’ensemble du système en état au lieu de se limiter à de simples ajustements et veiller à ce qu’il ne retombe pas en panne. Les électriciens peuvent même découvrir de nouveaux problèmes auxquels ils ne s’attendaient pas. Ils élargissent ainsi leur périmètre d’intervention et augmentent leurs profits. Par exemple, après avoir tout d’abord estimé qu’une commande moteur défaillante était à l’origine d’une panne d’équipement, ils peuvent ensuite découvrir, à l’aide de la CM174, que la panne provient en fait d’une surchauffe moteur ou d’un défaut de connexion.

Si un électricien découvre des fils emmêlés ou examine des tableaux électriques complexes à la recherche d’éventuels dangers, il peut utiliser la fonction IGM pour mener ses investigations à une distance sûre, sans avoir besoin d’intervenir dans le tableau. De plus, la forme étroite de la mâchoire et les lampes intégrées de l’outil facilitent le positionnement de la pince autour des fils dans les espaces exigus et les endroits mal éclairés. La CM174 valide les résultats à l’aide de fonctions de mesure avancées pour contribuer à la résolution des problèmes électriques les plus complexes. Elle est essentielle pour contrôler les réparations et s’assurer du retour à la normale des secteurs défaillants.

Découvrez plus en détail ce que la CM174 peut faire à l’adresse www.flir.com/CM174

Source : https://www.flir.fr/Home/

L’Italien BE CAE & Test a recours au logiciel Comsol Multiphysics

Les ingénieurs de la société BE CAE & Test utilisent le logiciel Comsol Multiphysics et son Application Builder afin de concevoir des applis de tests de leurs dispositifs en électronique. Ils fournissent ainsi des outils interactifs de prototypage virtuel à leurs clients.

Les ingénieurs de la société BE CAE & Test (Catania, Italie) ont poussé le processus de simulation bien au delà de l’approche classique “faire un calcul / rendre un rapport”. En effet, en utilisant le logiciel Comsol Multiphysics et son Application Builder, ils ont créé une série d’applications personnalisées directement utilisables par leurs clients, pour tester les composants de montage en surface, avec les technologies de simulation les plus récentes. L’appli masque la complexité du modèle sous-jacent, tout en permettant à l’utilisateur de bénéficier de la puissance de la simulation.

Les techniques de régulation thermique garantissent l’efficacité des dispositifs électroniques, améliorent leurs fiabilité et limitent les défaillances prématurées. La simulation numérique est un élément crucial du processus, permettant aux ingénieurs d’analyser et d’optimiser température et débit d’air des dispositifs au début de la conception. BE CAE & Test crée des applications personnalisées pour les concepteurs  afin de leur permettre d’analyser et d’échanger les informations sur les designs possibles, sans qu’ils soient eux même spécialistes en simulation.

Les applications génèrent de nouvelles opportunités d’affaires 

« Les applications marquent une page révolutionnaire dans l’histoire de la modélisation et de la simulation numérique, déclare Giuseppe Petrone, expert FEA et co-fondateur de la société BE CAE & Test.Ces outils spécialisés et conviviaux apportent la puissance de la simulation numérique à un plus grand groupe d’utilisateurs, a priori sans expérience préalable de la FEA ou de la modélisation. À ce titre, les applications peuvent générer de nouvelles opportunités d’affaires avec les clients. Au-delà de simplement leur fournir un rapport technique, vous êtes également en mesure de leur fournir un outil interactif ».

L’application créée par BE CAE & Test pour les composants de montage en surface effectue une analyse thermique permettant d’évaluer différentes caractéristiques thermiques importantes. La répartition de la température dans le dispositif, la température maximale atteinte, la résistance de contact jonction-boîtier en fonction de l’épaisseur de la soudure et la puissance dissipée en sont quelques exemples.

Des outils interactifs qui garantissent la précision

« Les applications offrent une solution innovante pour interagir avec les clients, précise Giuseppe Petrone. Plutôt que de leur envoyer simplement des résultats de simulation, vous pouvez fournir aux clients un outil flexible qu’ils peuvent utiliser pour étudier eux-mêmes le problème – tout en assurant la précision de leurs résultats ».

« « Que se passe t-il dans mon système si… », est une question que l’équipe BE CAE & Test entend systématiquement lors de la première entrevue avec ses clients, poursuit l’expert. Habituellement, notre réponse était : laissez-nous construire un modèle de référence pour votre système et ensuite effectuer les analyses paramétriques. Nous serons en mesure de vous fournir des prédictions utiles, un avantage essentiel du prototypage virtuel. A présent avec l’application de simulation, nous avons une réponse bien plus simple : laissez-nous vous envoyer une appli COMSOL® et vous serez en mesure d’effectuer vous-même vos vérifications. »

Source : https://www.comsol.fr/

EPR de Flamanville : état d’avancement du programme d’essais de la cuve

Areva, en lien avec EDF, a proposé à l’Autorité de Sûreté Nucléaire (ASN) d’apporter des adaptations au programme d’essais portant sur le couvercle et le fond de la cuve du réacteur EPR de Flamanville 3, tel que décidé en fin d’année 2015.

Les premières analyses effectuées sur deux pièces analogues à celles de Flamanville 3 ont montré, sur l’une d’entre elles, une extension du phénomène de ségrégation carbone au-delà de la mi-épaisseur. Comme prévu dans la démarche initiale validée par l’ASN, les prélèvements de matière et les essais associés seront étendus aux ¾ de l’épaisseur de la pièce concernée.

Ces premières analyses ont également permis de mieux caractériser la variabilité des principaux paramètres de fabrication entre les différentes pièces. Areva et EDF ont donc proposé d’étendre le programme d’essais à une troisième pièce pour renforcer la robustesse de la démonstration.

Ces adaptations du programme d’essais conduisent à doubler le nombre d’éprouvettes qui seront analysées. Au total, 1 200 échantillons de matière seront prélevés, permettant de conforter le caractère représentatif des 3 pièces de forge testées, à la fois pour la teneur en carbone et les propriétés mécaniques requises.

EDF et Areva réaffirment leur confiance

L’ASN a donné son accord pour intégrer cette pièce supplémentaire au programme d’essais qui se poursuivra jusqu’à la fin de l’année 2016, date à laquelle le rapport définitif lui sera remis.

Dans le communiqué adressé à la presse, EDF et Areva réaffirment leur confiance en leur capacité à démontrer la qualité et la sûreté de la cuve pour le démarrage du réacteur de Flamanville 3 fixé au quatrième trimestre 2018. Sur le chantier, les activités de montage et d’essais se poursuivent conformément au planning annoncé.

Photo : © EDF

Source : https://www.edf.fr

Air Liquide pose la première pierre de son futur Centre de Recherche de Paris-Saclay

Air Liquide a posé ce jour la première pierre de son futur centre de recherche et développement de Paris-Saclay. D’une superficie de 15 000 m2, il remplacera le centre existant et rassemblera ses 350 chercheurs et experts, qui disposeront d’équipements et laboratoires permettant l’exploration de nouvelles applications et le développement de technologies liées à la transition énergétique et environnementale, la santé et le digital.

Dès la conception du projet, Air Liquide a utilisé des outils collaboratifs tels que le BIM (Building Information Modeling) pour la construction du bâtiment, ou encore la co-création des espaces de travail et d’expérimentation avec les chercheurs. L’architecture du bâtiment et son aménagement ont été conçus afin de faciliter les rencontres informelles pour croiser les compétences et favoriser les échanges interdisciplinaires.

En matière énergétique et environnementale, le centre va mettre en œuvre des innovations issues de projets R&D privilégiant à plus de 50 % les sources d’énergie renouvelables comme le solaire ou le biogaz. L’installation d’une pile à combustible alimentée en hydrogène, d’une puissance électrique de 100 kW et d’une puissance thermique de 125 kW, constitue une première en France pour fournir à la fois chaleur, froid, et électricité. Le centre devrait être certifié « BREEAM Very good », selon le référentiel environnemental britannique utilisé dans plus de 70 pays.

Confortant son ancrage au cœur de l’écosystème scientifique et technologique de Paris-Saclay, le centre renforce la démarche d’innovation ouverte du Groupe et accélère le développement de nouvelles solutions avec des partenaires académiques publics, des partenaires privés, des PME, des start-up. Principal centre de R&D du Groupe, le Centre de Recherche de Paris-Saclay dispose d’une diversité de compétences afin de conjuguer science, technologies et compréhension des nouveaux usages des clients et des patients, au service de la croissance d’Air Liquide.

Source : https://www.airliquide.com

3DExperience et Ipsen à la recherche de nouveaux médicaments

Dassault Systèmes, leader mondial des logiciels de création 3D, de maquettes numériques en 3D et de solutions de gestion du cycle de vie des produits (PLM — Product Lifecycle Management), et Ipsen, groupe pharmaceutique de spécialité à vocation mondiale, ont annoncé aujourd’hui leur collaboration pour développer des programmes innovants utilisant la plateforme 3DExperience.

Ipsen a retenu l’Industry Solution Experience « Designed to Cure » pour accompagner la transformation de la recherche et développement (R&D) avec pour objectif d’accélérer la découverte de nouvelles solutions thérapeutiques. En combinant l’intégration de données scientifiques diverses et des capacités de modélisation et de simulation, la plateforme permet d’obtenir un aperçu des mécanismes de régulation et de leurs dysfonctionnements associés aux maladies. En outre, elle améliore et accélère l’identification de candidats médicaments de meilleure qualité.

Le projet vise aussi à optimiser les processus de R&D des équipes pluridisciplinaires d’Ipsen situées au cœur des principaux clusters mondiaux de la recherche biotechnologique ou en sciences de la vie (en France, au Royaume-Uni et aux États-Unis), ainsi que ceux de son réseau international de partenaires pour le développement de médicaments. Ce réseau regroupe des scientifiques, des biotechs, des organisations de recherche clinique et d’autres parties prenantes d’envergure mondiale.

« Après plus de cinq années de partenariat avec Dassault Systèmes au sein du consortium BioIntelligence, nous sommes heureux de franchir une étape clé dans notre collaboration avec le déploiement de cet ensemble d’outils à la pointe de l’innovation, a déclaré Claude Bertrand, vice-président exécutif R&D et Chief Scientific Officer d’Ipsen. Ipsen est un partenaire scientifique clé, résolument tourné vers « l’innovation ouverte », et cette nouvelle plateforme numérique collaborative et innovante renforcera l’engagement d’Ipsen à réaliser des avancées thérapeutiques dans la prise en charge des patients ».

« Le monde virtuel offre à l’industrie pharmaceutique des opportunités pour réinventer la collaboration, rassembler des disciplines distinctes et simuler des phénomènes biologiques complexes du corps humain comme jamais auparavant, a ajouté Jean Colombel, vice-président Industrie des Sciences de la vie chez Dassault Systèmes. Notre partenariat avec Ipsen pour l’adoption de la plateforme 3DExperience nous rapproche de la réalisation du concept de l’expérience 3D en associant les disciplines des sciences de la vie et en proposant des expériences patient innovantes ».

Source : https://www.3ds.com/fr

Aux NI Days 2016, Arelis obtient le prix de la meilleure application pour son banc de test sur la Zoe

A l’occasion de l’édition 2016 de NIDays, évènement organisé par National Instruments pour faire le point sur l’instrumentation virtuelle et la conception graphique de systèmes et qui a réuni cette année plus d’un millier de visiteurs, Arelis a remporté le prix de la meilleure application d’utilisateur dans la catégorie Instrumentation/tests électroniques pour sa réalisation « Banc de test pour des modules PEC (Power Electronic Controller) des véhicules Renault Zoe ».

Spécialiste en traitement du signal radio/hyperfréquence et en électronique de puissance, l’entreprise française a en effet réalisé un banc de test automatisé permettant la validation de façon dynamique du système PEC en fin de chaîne d’assemblage avec des contraintes fortes de sécurité des véhicules Renault Zoe. Unique en son genre, ce système modulaire mis en place, permet de réaliser différents cycles de tests pour la validation et peut être enrichi de manière simple par d’autres paramètres de test grâce à TestStand et VeriStand de National Instruments, afin de s’adapter en temps réel aux développements continus réalisés sur les moteurs électriques de Zoe.

« Arelis possède une très longue expérience dans le développement d’équipements de test fonctionnel, bancs d’essais, bancs de production, sol ou embarqué, avec une expertise forte dans les bancs hyperfréquence et bancs de puissance. Avec ce nouveau développement, notre équipe d’experts a su démontrer notre capacité à réaliser un banc de test indispensable à la validation en fonctionnement des équipements en reproduisant un environnement électrique similaire à celui des véhicules électriques Renault et ce, grâce à son architecture basée sur l’utilisation de TestStand et VeriStand » déclare Fabien DEVILLER, Ingénieur Conception de Logiciels, lors de la remise de prix.

Ces NIDays auront aussi été l’occasion lors des conférences plénières pour Vincent KISSEL, directeur technique, de présenter une solution de mesure, dans le domaine de la RF, de la stabilité pulse à pulse réalisée sur la base matérielle d’un VST piloté en Labview. 

Source : https://www.arelis.com/

Pieme rejoint le groupe Emitech

Pour Pieme en recherche de perspective de développement, le choix du groupe Emitech permet dès à présent de proposer à ses clients une offre globale pour les différents environnements requis par les qualifications (mécanique, climatique et physico-chimique) et pour l’homologation de produits en Europe (marquage CE) et dans le reste du monde (schéma OC, accès aux marques).

Pour le groupe Emitech, l’arrivée de Pieme comme cinquème filiale est synonyme d’implantation stratégique avec de fortes possibilités d’évolutions. Les bâtiments neufs et modernes de près de 800 m2 situés dans une zone de 87 hectares dédiées aux entreprises de hautes technologies (Daher Aerospace, Airbus Helicopters, Akka…) peuvent accueillir des moyens climato-mécaniques tout aussi bien qu’une troisième cage de faraday. D’ores et déjà, les industriels du sud de la France bénéficient des synergies entre les laboratoires Emitech de Lyon et Montpellier, le centre d’essais Environne’Tech de Bourgoin-Jallieu et Pieme à proximité de Marseille et ainsi de l’offre globale du groupe.

Pieme est un laboratoire CEM et radio, créé en 2012 soutenu par le pôle Pégase (pôle de compétitivité aéronautique en Paca) et en partenariat avec Airbus Helicopters. Située à Marignane (13), Pieme s’inscrit dans la continuité des activités du Centre commun de ressources en microondes (CCRM) ouvert en 1997.

Son directeur, le Docteur en électronique Philippe Pignet arrivé en 1998 poursuit ainsi son aventure avec le Groupe Emitech. Cet expert reconnu en compatibilité électromagnétique, ancien chercheur au LRPE de 1986 à 1990 a travaillé par la suite à l’Aérospatiale division hélicoptère puis Eurocopter France (1990 – 1994), DCN Toulon (1994 – 1995) et Aérospatiale Cannes (jusqu’en 1998). Son parcours l’a mené à conduire et piloter de nombreux projets industriels liés à la CEM et aux hyperfréquences tout en poursuivant des activités de recherches appliquées et en prodiguant des cours et formations en université et en écoles d’ingénieurs.

Le laboratoire Pieme dispose de deux cages de Faraday dont une très grande chambre réverbérante permettant d’effectuer des tests à partir de 80 MHz conforme à la spécification Airbus. Hébergé au sein du Technoparc des Florides, deuxième parc aéronautique de France, la société réalise des essais CEM sur des équipements militaires et d’aviation civile mais aussi des tests normatifs et de pré-qualification dans le cadre du marquage CE. Elle propose également des prestations d’études et conseils en CEM ainsi que des formations inter ou intra entreprises.

L’entreprise emploie deux personnes pour un chiffres d’affaires annuel de près de 300 000 €. Une offre d’emploi pour l’embauche d’un nouveau technicien d’essais a d’ores et déjà été initiée. Comptant plus de 310 collaborateurs avec un chiffre d’affaires prévisionnel 2016 de 30,3 M€, le groupe Emitech est un acteur essentiel des essais applicables aux équipements de tous secteurs industriels.

 

Source : https://www.emitech.fr/