Siemens lance une nouvelle version du logiciel Simcenter 3D

Siemens annonce une nouvelle version de Simcenter 3D, son environnement phare multi-domaines d’ingénierie assistée par ordinateur (IAO), qui offre de nouvelles solutions complètes pour plusieurs disciplines de simulation. Simcenter 3D est une application d’IAO autonome et sophistiquée, destinée aux experts techniques et aux spécialistes, qui sait interpréter des données provenant de n’importe quelle source CAO. Développée sur la plateforme NX de Siemens, elle a aussi une intégration naturelle avec NX CAD. 

Cette nouvelle version présente de nombreuses améliorations considérables par rapport aux versions précédentes. Simcenter 3D, qui fait partie de la gamme de solutions Siemens Simcenter dédiée à la simulation et aux essais physiques pour l’analyse prédictive en ingénierie, a pour ambition de révolutionner la manière dont les ingénieurs en simulation peuvent contribuer à orienter le travail de conception dans des secteurs d’activité tels que l’automobile, l’aéronautique et les machines industrielles. 

Cette nouvelle version comporte des solutions d’optimisation topologique qui collaborent parfaitement avec la technologie Convergent Modeling, offrant ainsi des processus complets de conception générative. Elles permettent une modélisation plus précise du comportement dynamique et des simulations plus efficientes dans les domaines de l’acoustique et de la dynamique structurelle. Simcenter 3D offre désormais une prise en charge étendue des calculs structurels non linéaires, basée sur le solveur non linéaire multi-étapes NX Nastran, ainsi qu’un traitement avancé des composites, basé sur le logiciel LMS Samtech Samcef.

Source : https://www.plm.automation.siemens.com/fr/products/simcenter/3d/index.shtml

Journée technique ASTE-Valeo sur la prise en compte de la CEM dans la fiabilité des systèmes complexes

L’ASTE organise le 7 novembre 2017 à Créteil, en partenariat avec la société Valeo, une journée technique dans les locaux de l’équipementier français. Cette journée portera tout particulièrement sur la « Prise en compte de la compatibilité électromagnétique dans la fiabilité des systèmes complexes ».

Au programme de cette journée : 

9h00 – 9h30 : Accueil des participants

9h30 – 9h45 : Présentation de l’ASTE et du programme de la journée (ASTE et Valeo)

9h45 – 10h15 : Le projet collaboratif GAM-PME (Metexo). Un guide d’aide interactif à la mesure en environnement électromagnétique industriel pour les PME-PMI

10h15 – 10h45 : Impact du design CEM sur la fiabilité et sureté de fonctionnement 

11h15 – 11h45 : Projet collaboratif européen Peter (Pan-European Training, research and education network on Electromagnetic Risk management) (Valeo)

11h45 – 12h15 : Prise en compte des facteurs de vieillissement dans la stratégie CEM système (Airbus Safran Launcher)

12h15 – 12h45 : Application des chambres à brassage de mode dans l’industrie (UTBM)

14h00 – 14h30 : Détermination de la diaphonie antre plusieurs harnais complexes d’un avion (Safran Electrical Power)

14h30 – 16h : Visite des moyens CEM de Valeo

16h00 – 16h30 : Retour en salle pour debriefieng et clôture de la journée

Source : https://www.aste.asso.fr/

Bombardier Transport et ses partenaires inaugurent Surferlab, un laboratoire dédié au transport intelligent

Bombardier Transport, Prosyst et l’université de Valenciennes et du Hainaut-Cambrésis ont inauguré hier, mercredi 25 octobre, leur laboratoire commun Surferlab, un projet soutenu et labellisé par le pôle de compétitivité i-Trans. Officiellement lancé en présence de Xavier Bertrand, président de la région Hauts-de-France, ce laboratoire est dédié à la recherche de solutions industrielles innovantes dans le domaine des technologies numériques embarquées. Son objectif est de rendre le transport plus sûr et plus intelligent en mettant en oeuvre l’intelligence artificielle.

Hébergé par le laboratoire Lamih (UMR CNRS 8201), Surferlab est doté d’un budget de 2,1M€, en partie financé par le conseil régional Hauts-de-France, et constitué d’une équipe de seize permanents (trois collaborateurs Prosyst, quatre de Bombardier, neuf enseignants-chercheurs de l’université de Valenciennes et du Hainaut-Cambrésis), ainsi que deux ingénieurs d’étude et deux post-doc. 

Trois thématiques de recherche orientées sur le véhicule augmenté

Les thématiques de recherche de Surferlab sont orientées autour de trois axes prioritaires : la maintenance connectée et prévisionnelle, l’apprentissage et modèle en intelligence artificielle, et la conception et l’optimisation du cycle de vie du produit dans un contexte de développement durable. À court terme, les travaux de recherche de Surferlab se concentreront sur « le véhicule augmenté » pour rendre les systèmes de transport connectés, coopératifs et autonomes. Ils deviennent ainsi des acteurs intelligents capables d’anticiper des problèmes techniques (portes, climatisation, pression…), de les signaler et même de coopérer avec les opérateurs en leur parlant directement !

Une structure ouverte

Bombardier Transport, Prosyst et l’université de Valenciennes et du Hainaut-Cambrésis ont fait le choix de mettre à disposition le personnel du laboratoire, à destination de tous les acteurs du secteur du transport (ferroviaire, routier, aérien, maritime) qui travaillent dans les domaines de l’intelligence distribuée, des systèmes embarqués et de l’intelligence artificielle. Cette vision originale permet aux acteurs de définir eux-mêmes les sujets à traiter au fil de l’eau avec de nouveaux partenaires, et ce, de manière complètement autonome, ce qui est impossible à opérer lors d’appels à projet traditionnels. Il est en outre ouvert à toute collaboration avec des partenaires extérieurs.

Plusieurs brevets déposés

Ce laboratoire commun est l’aboutissement d’une précédente collaboration s’appuyant sur le fonds unique interministériel (FUI) initiée par ses trois membres fondateurs : Surfer (Surveillance ferroviaire active) – un système de diagnostic et de détection des pannes embarqué dont la vocation est de développer une maintenance prévisionnelle des portes d’un train et ainsi augmenter la disponibilité du matériel. Surferlab se place donc sur la trajectoire initiée par le projet FUI Surfer avec pour ambition de généraliser celui-ci afin de l’appliquer à d’autres modes de transport et d’opérer à l’échelle de la flotte, pas seulement au niveau du train seul et sur tout type d’équipement. Cette trajectoire s’appuie sur des solutions industrialisées par Bombardier, dans le cadre de Surfer, qui sont actuellement embarquées dans des trains. L’industriel a également intégré dans son offre de service certains éléments de la solution Surfer afin d’offrir un service original, différencié de la concurrence et qui correspond à un besoin actuel fort de la part des grands opérateurs.

Photo : L’inauguration s’est faite en présence de Xavier Bertrand avec à gauche Laurent Bouyer, président de Bombardier Transport et Abdelhakim Artba, président de l’université de Valenciennes et du Hainaut-Cambrésis, et à droite Abdallah Asse, président de Prosyst

Antycip Simulation livre deux salles de réalité virtuelle à l’équipementier Hutchinson

Antycip Simulation, intégrateur de solutions de réalité virtuelle, de salles immersives 3D et leader européen de logiciels de simulation, a récemment installé pour le centre de R&D de l’équipementier Hutchinson deux salles immersives de réalité virtuelle (VR).

Installé à Châlette-sur-Loing (Loiret), Hutchinson fabrique aujourd’hui une large gamme de solutions pour l’automobile, l’industrie, mais aussi l’aéronautique et l’aérospatial, allant des produits d’étanchéité comme les joints de voiture, aux systèmes de contrôle des bruits et des vibrations. 

Afin de développer son activité de prototypage, Hutchinson a fait appel à Antycip Simulation pour l’installation d’une salle immersive cubique de quatre faces (Cave : Cave Automatic Virtual Environment) permettant de travailler dans un environnement virtuel et de manipuler des objets 3D. L’opérateur équipé d’un joystick et de lunettes 3D peut ainsi entrer dans un espace virtuel grâce à des caméras infra-rouge de tracking, tourner autour d’un modèle 3D, le déplacer, interagir avec l’objet afin de l’étudier sous tous les angles.

Un mur d’image 4K, relief et interactif

La seconde salle installée par Antycip Simulation est équipée d’un mur d’image 4K (taille 4 mètres de base par 2 mètres de haut) ultra-haute définition alimenté par un projecteur Christie tri-DLP Mirage (réf. 4K25) d’une résolution 4K (4096 × 2160 pixels) à 120 Hz pour des démonstrations en relief. En plus d’offrir une incroyable qualité d’image, l’écran est interactif et permet notamment de déplacer et agrandir les modèles 3D par un simple contact de sa surface. Antycip Simulation a rendu tactile cet imposant écran en verre tout en conservant la qualité des images fournies par le projecteur à haute fréquence d’affichage.

Cette salle haut de gamme dispose également de caméras infra-rouge de tracking pour détecter les mouvements du joystick permettant de manipuler les objets 3D. Possédant tous les atouts d’une salle de projection privée, elle peut accueillir une vingtaine de personnes installées confortablement dans des fauteuils pour assister à des présentations en relief.

Source : https://www.antycipsimulation.com/

Flir lance trois nouveaux outils de T&M intégrant l’imagerie thermique

Reposant sur le capteur Lepton, les multimètres numériques Flir DM166 et DM285 ainsi que la pince de mesure CM275 sont munis d’un écran intégré indiquant les points de chaleur occasionnés par les défauts électriques, permettant ainsi aux professionnels de repérer plus rapidement les problèmes, de manière plus sécurisée. 

Tous les outils électriques de test et de mesure Flir les plus récents proposent des fonctions permettant aux professionnels de procéder rapidement et efficacement aux tests et dépannages des systèmes électriques et électromécaniques, mais également des systèmes de chauffage, de ventilation et de climatisation. Ces produits à imagerie thermique sont équipés d’un écran intégré qui offre la possibilité de visualiser les défauts tout en mettant en évidence les anomalies de température. Même en présence d’amas de fils, de panneaux complexes ou de bobines de condenseur obstruées, la technologie IGM guide l’utilisateur vers le problème potentiel. Il peut ainsi travailler plus rapidement sans prendre de risques. 

Composition des nouveaux produits  

Le modèle Flir DM285 à 18 fonctions est capable d’effectuer des mesures à des températures pouvant atteindre 400 degrés Celsius. En plus de la technologie IGM, le DM285 propose un stockage embarqué pour les mesures et les images, ainsi qu’une connectivité sans fil facilitant le processus d’inspection et simplifiant la collecte, le partage et le reporting de données. 

Le CM275 est la toute dernière pince de mesure CA/CC 600 A de Flir ; celle-ci est équipée de la technologie IGM ainsi que de nombreuses fonctions de mesure. Elle offre également des mâchoires étroites, une lampe de travail intégrée et un écran 40 % plus grand que celui du modèle précédent. Enfin, l’outil tout-en-un alliant multimètre numérique et caméra thermique, le Flir DM166 offre de nombreuses fonctions de test et la flexibilité nécessaire aux applications haute et basse tensions. 

Source : https://www.flir.fr/

Alliance entre ESI Group et Assystem Technologies dans l’industrie 4.0

Lors de l’événement « Usine du Futur » organisé le 12 octobre au musée Aéroscopia à Toulouse, Patrick Longuet, vice-président Aerospace d’Assystem Technologies, et Éric Daubourg, directeur général délégué d’ESI France, ont signé une Lettre d’Intention qui concrétise les projets engagés depuis dix-huit mois entre les deux entreprises pour promouvoir « l’Usine du Futur » auprès des industriels.

À travers cet accord, ESI et Assystem Technologies unissent leurs forces et savoir-faire pour permettre également aux ETI et PME d’engager une transformation « industrie 4.0 » qui restait jusqu’à présent l’apanage des grands groupes industriels. Pour les ETI et PME, l’intégration de solutions et technologies « industrie 4.0 » leur permettront d’être plus mobiles, plus flexibles, plus compétitives et plus smart. L’Usine du Futur passe par une intégration réussie des technologies et des solutions dans le métier client qui confère de réels gains de productivité, de compétitivité, de performance et crée de nouveaux business models.

Forts de leur complémentarité, ESI Group et Assystem Technologies ont signé un accord qui vise à promouvoir l’utilisation d’outils numériques pour la conception et la simulation des usines ainsi que les process de fabrication, et à concevoir une offre combinée pour les ETI et PME.

Pour Assystem Technologies, ce nouvel accord vient compléter celui signé en juin dernier avec Schneider Electric, lors du Salon du Bourget, sur les solutions « production orientée données ». ESI, en tant que partenaire des principaux donneurs d’ordres du secteur aéronautique dans le cadre du programme « Usine Aéronautique du Futur », salue cette alliance qui marque son engagement à accompagner le déploiement de ses solutions de Smart Virtual Prototyping avec la conduite du changement nécessaire à la transformation numérique en cours dans l’ensemble des industries. 

Photo : Eric Daubourg (à gauche) et Patrick Longuet (à droite) 

Source : https://www.esi-group.com/fr

Igus compare différents paliers lisses pour fortes charges grâce à un nouveau banc d’essai en extérieur

Igus vient de mettre en service dans son laboratoire de tests un nouveau banc d’essai destiné aux fortes charges auxquelles sont soumis les paliers, par exemple dans le secteur agricole ou celui des machines de construction. Un chargeur frontal y est en mouvement 24 heures sur 24, à l’extérieur et donc face aux intempéries. Cet essai permet de comparer différentes solutions à paliers afin de trouver le produit convenant le mieux à une application fortes charges donnée.

Le spécialiste des plastiques en mouvement igus teste tous ses produits sur 2 750 m2. Les tests effectués vont des mouvements dans tous les sens sur les chaînes porte-câbles et les câbles chainflex aux mouvements linéaires, oscillants et rotatifs sur les différents types de paliers. igus vient d’installer un nouveau banc d’essai avec un chargeur frontal qui est dédié aux fortes charges dans les applications du secteur agricole et des machines de construction. Différentes combinaisons de paliers lisses et d’arbres y font l’objet de tests en conditions réelles, en extérieur, pour ces domaines d’utilisation. Il est aussi possible de procéder à une comparaison directe entre paliers polymères et métalliques en parallèle par exemple.

Des tests sous fortes charges pour prouver la résistance

Le banc d’essai actuel soumet les paliers à des pressions de surface comprises entre 22 et 29,5 MPa selon la position dans la cinématique (29,5 MPa correspondent à une charge d’environ 1,2 tonne sur un palier d’un diamètre et d’une longueur de 20 millimètres). Pour déterminer la combinaison palier-arbre optimale ou pour trouver le tribo-polymère iglidur le mieux adapté, la charge à soulever peut évoluer et passer d’actuellement 250 kilogrammes à 500 kilogrammes. La fréquence de mouvement est de quatre cycles par minute, la vitesse en résultant dépend de l’angle d’oscillation du logement. Le test dure environ deux semaines. Des tests visuels quotidiens veillent à ce que le chargeur frontal ne soit pas endommagé en raison d’un problème sur un palier.

Le mouvement sur le banc d’essai peut être suivi en direct à l’adresse www.igus.fr/testchargeurfrontal

Source : https://www.igus.eu/wpck/18340/frontloader_webcam_test

Tridimeo : la 200e start-up issue des laboratoires du CEA

À l’occasion de sa journée annuelle dédiée à la création d’entreprise, le CEA a remis à la société Tridimeo, le trophée de la 200e startup essaimée de ses laboratoires. La jeune entreprise a bénéficié de l’ensemble du dispositif d’accompagnement mis en place par le CEA. Nouvellement créée, Tridimeo propose des solutions de vision 3D industrielle de nouvelle génération, sur la base de développements du CEA list. Ces solutions permettent d’automatiser des processus d’inspection qualité ou de guidage robotique complexes.

Tridimeo vise à répondre à l’enjeu des coûts engendrés par la non-qualité dans les usines, mais aussi à celui de l’automatisation d’opérations de manutention pénibles et répétitives. Les solutions développées par la jeune entreprise sont doublement innovantes : elles délivrent, non seulement, des images 3D avec une précision submillimétrique tout en fonctionnant à une cadence élevée, mais elles permettent aussi de monitorer la couleur des produits ou de détecter les rebuts dans la production. Des applications qui intéressent d’ores et déjà le secteur de la construction automobile et celui de la production de biens de consommation courante.

Les co-fondateurs de Tridimeo ont bénéficié, comme toutes les startups essaimées du CEA, de l’ensemble du dispositif d’accompagnement mis en place par l’organisme pour accélérer les projets de création d’entreprise : incubation du projet, accès à des équipes de recherche et à un portefeuille de technologies matures, très innovantes et protégées par des brevets, mise à disposition de compétences en propriété intellectuelle, études de marché, prêt d’honneur et prise de parts fondateurs.

Le transfert des connaissances vers l’industrie constitue depuis toujours le cœur de la mission du CEA. Ce savoir-faire unique a permis à l’organisme de figurer en tête du classement Reuters/Clarivate 2017 des 25 institutions de recherche publiques les plus innovantes en Europe, et d’occuper la deuxième place mondiale. 

Photo : À gauche, David Partouche, dirigeant de la société, à droite Rémi Michel, directeur R&D © Incuballiance – l’incubateur technologique du campus Paris-Saclay 

Source : https://www.cea.fr/

EDF prépare les prochaines étapes des essais d’ensemble de l’EPR de Flamanville

L’EPR de Flamanville avance conformément au planning annoncé en septembre 2015. Les essais d’ensemble, qui permettent de vérifier et de tester le fonctionnement de tous les circuits de l’EPR, ont débuté au 1er trimestre 2017 et se poursuivront jusqu’au chargement du combustible et au démarrage du réacteur à la fin du 4ème trimestre 2018.

Après avoir terminé les opérations dites de « chasse en cuve » au cours de l’été 2017, les équipes préparent désormais deux nouvelles phases, dans le cadre des essais d’ensemble. Il s’agit d’une part des essais dits à froid qui débuteront lors de la deuxième quinzaine de décembre 2017, et des essais « à chaud » qui débuteront en juillet 2018. Lors de la phase des essais « à froid », de nombreuses opérations seront réalisées dont le test de l’étanchéité du circuit primaire du réacteur à une pression de plus de 240 bars (supérieure à la pression de ce circuit lorsqu’il est en exploitation).

Une fois ces opérations réalisées, EDF procèdera aux essais « à chaud » afin de démontrer le bon fonctionnement de l’installation. Ces essais consisteront à tester les matériels dans des conditions de température et de pression similaires aux conditions d’exploitation. Plus de 1 000 ingénieurs et techniciens d’EDF et de partenaires industriels sont mobilisés pour réaliser les essais d’ensemble.

EDF confirme la feuille de route du projet Flamanville 3 établie en septembre 2015 avec le chargement du combustible et le démarrage du réacteur à la fin du quatrième trimestre 2018. Le groupe confirme également le coût du projet fixé à 10,5 Md€.

Photo : EDF

Source : https://www.edf.fr