Airbus envoie le satellite électrique haute puissance SES-14 vers Kourou

Premier satellite tout électrique de la classe 4 tonnes, SES-14 a quitté aujourd’hui les salles blanches d’Airbus Defence and Space à Toulouse. Il va être transféré vers la Guyane française pour son lancement à bord d’un lanceur Ariane 5, depuis le Centre Spatial Guyanais (CSG) de Kourou en janvier 2018.

SES-14 est l’un des deux satellites tout électriques commandés à Airbus par SES, l’un des principaux opérateurs mondiaux de satellites de télécommunication. Il est basé sur la plateforme ultra-fiable Eurostar, dans sa version E3000e, qui utilise exclusivement la propulsion électrique pour atteindre son orbite finale, permettant ainsi d’embarquer une charge utile multi missions très puissante. 

Le satellite offrira une vaste couverture en bandes C et Ku de l’Amérique latine, des Caraïbes, de l’Amérique du Nord et de l’Atlantique Nord, ainsi qu’une couverture régionale à haut débit en bande Ku. Sa charge utile très haut débit HTS (High Throughput Satellite) est équipée d’un processeur numérique transparent (DTP) qui augmente sa flexibilité et permet de fournir aux clients de SES des solutions de largeur de bande sur mesure. 

« Nous attendons avec impatience le lancement du satellite tout électrique le plus puissant construit à ce jour. Grâce aux dernières innovations dont il est équipé, il embarque de quoi permettre à notre client SES d’assurer deux importantes missions avec un seul satellite, a déclaré Nicolas Chamussy, directeur général de Space Systems. Je salue l’ambition de la société SES en matière d’innovation, m’associe à son esprit pionnier et la remercie pour sa confiance dans nos satellites tout électriques et nos charges utiles processées. » 

SES-14 embarquera également la première mission scientifique de la NASA hébergée par un satellite commercial de télécommunication: l’instrument GOLD (Global-scale Observations of the Limb and Disk), qui mesurera les densités et les températures de la thermosphère et de l’ionosphère terrestres. La masse au lancement du satellite sera de 4 400 kg et sa puissance électrique de 16 kW. Conçu pour une durée de vie nominale en orbite de plus de 15 ans, il sera placé en orbite sur la position 47,5° Ouest. 

Douzième satellite réalisé par Airbus pour SES, SES-14 est le 48e satellite basé sur la plateforme ultra fiable Eurostar E3000 d’Airbus. Il est aussi le 2e en version tout électrique E3000e, qui a été mise en orbite pour la première fois avec succès en 2017. 

Photo : SES14 Artist view – Copyright Airbus

Source : https://www.airbus.com/defence.html

Compte-rendu du séminaire SPDM Nafems du 23 novembre 2017 à Paris

La simulation numérique bénéficie du développement de méthodes multidisciplinaires tout en étant stimulée par les besoins croissants de l’industrie. L’avènement récent de l’IoT (Internet des Objets), par exemple, va encore renforcer l’approche multi-physiques et couplée avec toujours l’exigence de réduction des coûts, des risques et des délais. Par ailleurs, l’exploitation des données massives (« big data analytics ») et la construction de nouveaux modèles (jumeaux numériques) doivent coopérer avec les outils classiques de CAE pour l’analyse comportementale ou la maintenance préventive. 

C’est tout le processus industriel, de la modélisation système aux procédés de fabrication qui en profite, à condition de bien gérer la trilogie « données brutes», « Information » et « connaissance », cette dernière étant le support ultime d’une conception cumulant les expériences. Ces entités, chacune avec leur spécificité d’acquisition, de traitement et d’évolution, requièrent une coopération d’outils que l’entreprise doit mettre en place de façon progressive sous le vocable SPDM. 

Après avoir traité des « Défis du SDM » en 2012, Nafems France a organisé le 23 novembre dernier un séminaire sur le thème du SPDM afin de faire le point sur les expérimentations récentes dans le monde et les retours d’expériences réussies avec en particulier les exposés très appréciés par l’audience de Faurecia Seating et Safran Landing Systems avec la mise en place du projet STRESSAPP. 

Sous la présidence de M. Gilles Besombes de Valeo Systèmes Thermiques, la journée a réuni plus de 70 participants, industriels, représentants du monde académiques et des offreurs, consultants qui ont pu ainsi trouver des éléments de réponse sur les questions fondamentales qu’ils se posent aujourd’hui : Que demande-t- on au SPDM ? Quel est l’impact de la complexité des modèles, industriels ou de recherche ? Pour quels niveaux d’exigence en capitalisation, traçabilité, réutilisation ? Quels outils choisir? Quelles solutions pour une collaboration interdisciplinaire et peut être surtout quelle démarche progressive adopter? 

Selon Mark Norris, consultant SPDM et l’un des animateurs du NAFEMS SDM Workgroup, le SDM est apparu il y a une quinzaine d’années sous l’impulsion des pionniers comme BMW et Audi qui gère aujourd’hui plus de deux millions de jeux de données, 100 millions d’objets et plusieurs milliers de simulations par jour. Mais des OEM et équipementiers d’autres secteurs peuvent également se targuer de réussite dans la mise en œuvre de solutions dans différents secteurs comme l’aéronautique, le nucléaire ou l’industrie pétrolière. 

Nous en sommes déjà à la 4e génération de SDM avec les solutions de types plateformes configurables (2012-SDM 2.0), la gestion du prototypage virtuel, l’arrivée de standards reconnus (MoSSEC, STEP AP209 édition 2, VDA 4969, Lothar, etc.) et les solutions en open source. Malgré cela, la diffusion actuelle des outils de SDM est encore marginale et estimée à 1 ou 2% de la population des utilisateurs de la simulation (750.000 dans le monde). Les freins à la mise en œuvre sont connus : ils sont culturels et organisationnels et relèvent d’une multitude de logiciels à intégrer, de la maîtrise des objets à considérer ou encore de la cohabitation avec le PLM/PDM, etc. 

Un SDM ne se gère et ne s’exploite pas comme un PLM. Gageons que la prochaine Conférence Européenne SPDM 2018 (Munich, 28 et 29 novembre) apportera encore son lot de réflexion et de progrès afin d’aider les industriels à surmonter ces écueils. 

Selon Gilles Besombes, un SPDM idéal permettrait une exploration profonde et intelligente des données brutes, simulation ou essais, informations agrégées par tableurs et rapports, connaissances accumulées sous forme de méta-modèles, méthodes, procédures, etc., ainsi qu’une exploitation intelligente de ces entités par des requêtes et une IHM de haut niveau. Mais cela nécessite une claire compréhension de ces objets manipulés, de leur classification et de leurs différentes modélisations afin de répondre aux défis d’une aide à la conception de nouvelle génération. 

Source : https://www.nafems.org/2017/france/

Lancement du multimètre TRMS thermique Flir DM166 avec fonction IGMTM

Flir annonce la sortie du multimètre thermique Flir DM166 avec mesure guidée par infrarouge (IGMTM), la combinaison la plus abordable du secteur entre un multimètre numérique et une caméra thermique. Le DM166 comporte une résolution thermique de 80 x 60, un large éventail de fonctions de test sur le multimètre, et la possibilité de l’utiliser aussi bien sur les applications haute et basse tension.

Conçu pour accélérer les réparations des applications comme la distribution électrique, les systèmes électromécaniques, les systèmes de climatisation et de chauffage et les dispositifs électroniques, le Flir DM166 comporte un capteur thermique Flir Lepton qui guide visuellement les utilisateurs jusqu’à l’emplacement précis d’un problème. Grâce à ses nombreuses fonctionnalités, le multimètre aide les utilisateurs à identifier plus rapidement les problèmes, puis à réparer les systèmes électromécaniques et de distribution électrique complexes de façon plus efficace et performante.

L’imagerie thermique est une méthode de mesure de la température sans contact. Elle permet à l’utilisateur d’analyser de façon plus sûre les composants système en surchauffe. Doté d’une conception robuste et testée contre les chutes, ainsi que d’une homologation de sécurité, le Flir DM166 répond aux besoins des professionnels de l’électricité et des systèmes de chauffage/ventilation et peut s’utiliser sur site, y compris pour les applications les plus difficiles. 

Source : https://www.flir.fr/

Temps-fréquence : trois chercheurs récompensés par le Prix LNE de la Recherche

Le LNE a récompensé, le 6 décembre dernier, trois chercheurs du LNE-SYRTE pour leurs travaux sur le temps-fréquence. Jocelyne Guéna, Daniele Rovera et Michel Abgrall ont reçu des mains de Thomas Grenon, directeur général du LNE, le Prix LNE de la Recherche qui récompense les chercheurs contribuant à la réussite et à la réputation scientifique du LNE ainsi que du Réseau national de la métrologie française (RNMF) qu’il pilote.

Afin de réaliser le temps atomique international (TAI) et le temps universel coordonné (UTC), qui sont les échelles de temps sur lesquelles repose notre société, il est nécessaire de disposer d’étalons de fréquence d’une précision extrême. Jocelyne Guéna, Daniele Rovera et Michel Abgrall travaillent depuis plusieurs années à la réalisation et à l’utilisation de ces étalons primaires de temps et de fréquence. Ils ont notamment mis en œuvre un ensemble unique de fontaines atomiques et développé des méthodes et des moyens qui conduisent, depuis plus de dix ans, à une disponibilité exceptionnelle des étalons Temps-fréquence à une exactitude optimale.

Ils ont également développé une nouvelle méthode de réalisation d’UTC(OP), réalisation physique d’UTC de l’Observatoire de Paris et base du temps légal français, établie à partir d’un maser à hydrogène piloté à l’aide d’une ou plusieurs fontaines atomiques. Cette réalisation est l’une des meilleures au monde et ne diffère d’UTC que de quelques nanosecondes ! Pour Thomas Grenon, « le LNE est fier de récompenser trois chercheurs qui permettent à la France, et au LNE-SYRTE en particulier, de contribuer de façon majeure à la réalisation de la seconde ainsi qu’à sa dissémination.» 

Source : https://www.lne.fr

Comsol 5.3a étoffe sa gamme d’outils de modélisation multiphysique

Comsol vient sortir la dernière version des produits Comsol Multiphysics et Comsol Server. La version 5.3a offre aux spécialistes en simulation des outils de modélisation de pointe et des performances solveurs accrues. Les utilisateurs de toutes les industries et concernés par toutes les physiques bénéficieront de nouvelles méthodes et de temps de calcul réduits, allant des modèles de matériaux en alliage à mémoire de forme (SMA) à une méthode révolutionnaire pour les simulations de plasma couplé capacitivement (CCP) et une méthode hybride éléments de frontière-éléments finis (BEM-FEM) pour l’acoustique et l’interaction acoustique. 

« Nos clients recherchent un cycle de développement de produits très efficace. Grâce aux capacités de modélisation multiphysique de nos logiciels, ils peuvent créer des produits innovants plus rapidement et à moindre coût, plus que jamais auparavant. Cette version est le fruit d’un grand effort tourné vers la qualité et d’avancées majeures dans de nouvelles méthodes de modélisation puissantes, d’une vitesse accrue et d’améliorations pilotées par les retours des utilisateurs », déclare Svante Littmarck, président et CEO de Comsol, Inc.

Comsol 5.3a propose des simulations acoustiques basées sur la méthode des éléments de frontière. « L’ajout récent de la méthode des éléments de frontière dans Comsol Multiphysics nous permettra de traiter de grands modèles de rayonnement acoustique, tels que l’environnement sonore pour les voitures électriques, commente Martin Olsen, ingénieur chez Harman Lifestyle Audio. Nous sommes satisfaits de la gamme complète de méthodes disponibles dans Comsol, des FEM au BEM, en passant par le lancer de rayon. La possibilité de coupler BEM et FEM crée un environnement de simulation très souple pour l’industrie audio automobile. » Les acousticiens disposeront de capacités de modélisation sans précédent en étant capables d’analyser toute la gamme des fréquences acoustiques, des plus basses aux ultrasons, en plus de tous les couplages multiphysiques disponibles dans le logiciel.

Source : https://www.comsol.com/product-download

Visiativ lève 15,1 M€ pour accélérer son développement dans le cadre de son plan stratégique

L’augmentation de capital a fait l’objet d’une demande globale de 51,3 M€, représentant une sursouscription de 3,4 fois par rapport au montant proposé. Visiativ dispose désormais de fonds propres renforcés et de ressources financières nouvelles pour accélérer la réalisation de son plan stratégique Next100. Le groupe entend ainsi doubler une nouvelle fois de taille avec un objectif de 200 M€ de chiffre d’affaires à horizon 2020, tout en affichant une progression de sa rentabilité.

Dans le sillage des deux dernières années, marquées par une dizaine d’acquisitions, Visiativ entend continuer à mener une politique de croissance externe active, tant dans l’activité Intégration que dans l’activité Edition. Cette politique d’acquisitions ciblées sera réalisée dans des conditions économiques performantes, à l’image des dernières opérations de rapprochement réalisées.

En Intégration, déjà leader européen sur Solidworks, Visiativ souhaite poursuivre l’internationalisation de son pôle à travers des acquisitions en Europe, à l’image de l’acquisition récente de la société suisse c+e forum, et contribuer à la consolidation du marché sur 3DExperience, en France et en Europe.

Dans l’activité Edition, Visiativ souhaite enrichir la partie applicative de sa plateforme Moovapps afin de proposer une offre enrichie aux entreprises de taille intermédiaire confrontées au défi de la digitalisation. Pour Laurent Fiard, PDG de Visiativ, « nous avons désormais des objectifs clairs, une feuille de route stratégique précise et les moyens financiers nécessaires à la réalisation de la prochaine étape de notre développement matérialisé par le plan Next100. Le vif succès rencontré par cette opération témoigne de l’adhésion de la communauté financière à notre projet et renforce notre détermination à le mettre en œuvre avec efficacité. »   

Source : https://www.visiativ.com/

Astelab 2018 – Appel à communications

L’Association pour le développement des sciences et techniques de l’environnement (ASTE) organise les 5 et 6 juillet 2018, en partenariat avec EDF R&D et sur le site d’EDF Lab à Palaiseau (Essonne) un colloque sur le thème de « l’innovation au service de la prise en compte de l’environnement mécanique des systèmes ».

Depuis longtemps l’ASTE s’est attachée à défendre l’idée de la personnalisation des spécifications
des systèmes en environnement mécanique tant pour leur conception que pour leur qualification. La Commission Méca-Clim a accompagné la rédaction des six normes Afnor NF X 50144, en cours de finalisation pour l’une d’entre elles. Cependant, la recherche ne s’arrête pas là et ce colloque a pour objet de présenter les innovations qui vont faire progresser le processus de personnalisation des essais en environnement mécanique, tant au niveau de sa caractérisation, de l’élaboration des spécifications d’essais que de la simulation et des essais.

Les thèmes abordés lors de ce colloque sont les suivants : les « Nouveaux capteurs, capteurs sans fils, capteurs multi physiques », la « Préparation d’essais, traitement de données, stockage de résultats et échanges de données », la « Présentation de simulations, « Simulation Data Life Management », simulations multi physiques », les « Nouveaux moyens d’essais, essais combinés » et, enfin, la « Comparaison calcul essais, recalage de modèles, dialogue et ses calculs ».

Un salon en accès libre sera organisé parallèlement au colloque. Il réunira les fabricants de capteurs et de moyens d’essais ainsi que les développeurs 
de solutions.

Soumission et calendrier

Le contenu des conférences devra avoir un caractère novateur, technologique et/ou économique. 
Les exposés retenus privilégieront les témoignages industriels et scientifiques issus des expériences d’utilisateurs et de fabricants en évitant les aspects commerciaux. Les conférenciers pourront présenter leur sujet soit en anglais soit en français. Les intervenants bénéficieront de l’exemption des frais d’inscription.

Toutes les intentions de communications sont à adresser à l’ASTE (pperrin@aste.asso.fr ou au 01 61 38 96 32), avant le 31 décembre 2017 sous la forme d’un résumé. Elles seront soumises à l’approbation du comité de programme qui statuera au plus tard le 28 février 2018.            

Source : https://www.aste.asso.fr/

Deux nouvelles acquisitions pour Trescal en Espagne et au Canada

Trescal, spécialiste mondial des services de métrologie, annonce l’acquisition de Calibración de analizadores de gas SL. (Calgas), un prestataire de services de métrologie basé à Madrid (Espagne) et de Industrial Systech Ltd (ISL) implanté à Toronto (Canada). Ces acquisitions ont été réalisées avec le soutien de l’actionnaire majoritaire de Trescal, Ardian, la société d’investissement privé indépendante.

Créé en 2003, Calgas fournit la gamme la plus complète de service d’étalonnages accrédités par l’ENAC pour les analyseurs de gaz ainsi que pour la débitmétrie gazeuse. Calgas qui emploie 10 personnes et génère un chiffre d’affaires de 600K€ est très actif dans les secteurs du Test, Inspection et Certification (TIC), de la pétrochimie, et de l’agroalimentaire. C’est la quatrième acquisition en Espagne depuis 2014 qui permet d’étendre la portée technique d’accréditation de Trescal aux analyseurs de gaz.

Créé en 1991, ISL est un laboratoire de métrologie, basé à Toronto, accrédité par ANAB et spécialisé dans les domaines de la température, en particulier du traitement thermique selon la norme AMS 2750E pour l’industrie aéronautique et de la pression. ISL fabrique et commercialise également des sondes thermocouples sur mesure. ISL qui emploie 3 personnes et réalise un chiffre d’affaires d’1MCAD est très actif dans les secteurs de l’aéronautique, de l’automobile et de l’énergie. C’est la 3ème acquisition au Canada depuis 2016.

Guillaume Caroit, directeur général délégué du groupe Trescal : « Ces acquisitions démontrent notre engagement envers l’expertise technique et notre volonté constante d’élargir notre offre comme aujourd’hui avec l’étalonnage des analyseurs de gaz ». Il s’agit des 26ème et 27ème acquisitions depuis le rachat de Trescal par Ardian en juillet 2013. 

Source : https://www.trescal.com/

Alliance stratégique entre Bureau Veritas et Avitas Systems dans le domaine de l’inspection de nouvelle génération

Bureau Veritas, l’un des leaders mondiaux des essais, de l’inspection et de la certification, et Avitas Systems, entreprise de GE Ventures, ont signé une alliance stratégique portant sur le lancement de services d’inspection basés sur l’analyse prédictive de données, applicables à tous les secteurs industriels. Ce partenariat vise à fournir aux clients des services d’inspection avancés et intégrés à l’échelle mondiale.

Dans le cadre de ce partenariat, Bureau Veritas va perfectionner ses services d’inspection indépendants, grâce à la plateforme Cloud d’Avitas Systems qui combine collecte automatique de données et techniques d’intelligence artificielle, afin de proposer aux propriétaires d’actifs une gestion des risques industriels d’excellence en continu.

Avitas Systems fournira des technologies, comprenant des capteurs, drones et autres systèmes robotiques, associées à des analyses de données basées sur l’apprentissage profond. Ces analyses permettront d’identifier automatiquement les défaillances d’un actif et de délivrer des résultats via une interface en ligne, avec les données et rapports accessibles aux utilisateurs. Avec ces nouvelles technologies, les inspecteurs pourront limiter les interventions répétitives ou dans des conditions à haut risque, et améliorer la sécurité et l’efficacité globale des inspections.

Bureau Veritas apportera son expertise pointue des actifs industriels, à l’échelle mondiale, notamment dans l’inspection visuelle et le contrôle non destructif, pour créer une large gamme de services perfectionnés et de modèles d’évaluation de l’intégrité, basés sur les technologies d’Avitas Systems. Concentrée principalement sur les actifs industriels du secteur de l’énergie (renouvelable comprise), cette offre commune sera progressivement étendue à d’autres types d’actifs industriels.

Source : https://www.bureauveritas.fr/