DM1200, le nouveau capteur de courant Danisense

Danisense complète sa gamme de capteurs de courant de grande précision avec un nouveau modèle d’une étendue de mesure pleine échelle de 1200 A efficace et large trou primaire.

L’E-mobilité entraine beaucoup de changement dans la mesure et les essais des convertisseurs de puissance, les besoins combinés d’augmentation de la puissance et de la vitesse de commutation de fréquence imposent l’utilisation de capteurs de courant performants avec des étendues de mesure de plus en plus élevées. Avec le nouveau modèle DM1200, Danisense propose un capteur de courant de grande précision capable de mesurer des courants AC et DC jusqu’à 1200 A (RMS) et 1500A (DC).

Ces paramètres sont critiques pour mesurer avec précision le rendement d’un convertisseur. Dans les applications de laboratoire ou bancs d’essais il est fréquent d’installer ou désinstaller les équipements, d’où une perte de temps qui peut être significative. Grâce à sa large ouverture (diamètre de 45 mm) pour le passage du câble et le système de protection contre les surtensions ASPC (Advanced Sensor Protection Circuits) le capteur permet le démontage du câble primaire sans avoir à retirer les connecteurs de puissance. Les modes de fixation possibles, verticaux ou horizontaux offrent aussi plus de flexibilité.

L’augmentation de la fréquence de commutation d’un convertisseur permet d’améliorer sa performance globale mais produit des perturbations électro-magnétiques importantes. Avec son boîtier métallique de protection EMC et une large bande passante (300kHz) le DM1200 est une solution pertinente. De manière générale le DM1200 est le capteur de courant idéal pour les applications de tests et mesures demandant haute précision, flexibilité et forte protection aux perturbations électro-magnétiques.

Source : https://www.alliantech.com

Deux sessions de formation à la vibrométrie laser Polytec en avril et en octobre

Polytec France organise deux sessions de formation à la vibrométrie laser Polytec France organise dans ses locaux à Chatillon (92) deux sessions de formation pour vous faire découvrir la vibrométrie laser et/ou approfondir l’utilisation d’un vibromètre laser à balayage. Session 1 : 2, 3 avril 2019 – Session 2 : 16, 17 octobre 2019 Chaque session comprend deux modules indépendants mais complémentaires. Choisissez ainsi de participer au module de votre choix ou bien aux deux journées de formation. 

Module 1 : Prendre en main un vibromètre mono-point et réaliser des mesures correctes 

•Introduction à la mesure vibratoire laser mono-point 

•Rappeler les notions fondamentales de la physique des vibrations 

Module 2 : Connaitre les méthodes et astuces de la vibrométrie optique 

•Initiation à la mesure vibratoire laser plein champ 

•Découvrir ou renforcer ses connaissances dans les techniques avancées d’analyse de vibrations 

Source : https://www.polytec.com/fr/

Teratonics accélère le développement du CND 4.0 avec Socomore Ventures

Teratonics, une start-up de la Deep Tech basée à Paris-Saclay et spécialisée dans le contrôle non destructif (CND) et l’imagerie sans contact, associe Socomore Ventures à son capital par un investissement d’amorçage.

Fondée en 2017 par des chercheurs du Laboratoire de Chimie Physique (LCP) de l’Université Paris-Sud / CNRS, Teratonics exploite une technologie brevetée basée sur des impulsions Térahertz, qui permet d’effectuer des mesures dimensionnelles et de détecter des défauts dans des matériaux électriquement isolants. Ceux-ci incluent notamment les plastiques, les composites, leurs assemblages soudés ou collés, et les revêtements utilisés de plus en plus souvent dans les industries de l’automobile et de l’aéronautique, par exemple. Grâce au système de Teratonics, il est possible de réaliser un contrôle en ligne de 100% de la production afin d’en garantir la qualité.

Teratonics est une star montante du marché du CND. L’équipe fondatrice a été incubée par IncubAlliance en 2015 puis elle a été sélectionnée et accompagnée par l’accélérateur Wilco à partir de 2017. En 2018, l’entreprise a remporté le prix DeepTech4Good dans la catégorie Industrie 4.0 en tant que start-up européenne à haut potentiel.

En octobre 2018, Teratonics a conclu un accord avec Trexel pour la distribution de sa solution de CND dans le marché de l’injection plastique. Les fonds apportés par Socomore Ventures permettront d’accélérer la croissance et d’adresser un panel d’applications encore plus large.

Uli Schmidhammer, fondateur et CEO de Teratonics déclare : « Nous sommes très fiers de l’engagement de Socomore Ventures auprès notre société. Leur investissement représente pour nous bien plus que du simple capital. Il nous donne en effet l’opportunité de développer des synergies intéressantes, notamment avec BABBCO, l’entité de contrôles non destructifs de Socomore. Nous sommes profondément convaincus que leur connaissance de l’industrie, ainsi que la qualité et l’étendue de leur réseau dans les marchés de la défense et de l’aérospatial boosteront significativement notre croissance.« 

Source : https://www.teratonics.com/

SystemX présente sa feuille de route pour la période 2019-2025

SystemX, unique IRT dédié à l’ingénierie numérique des systèmes du futur, amorce la phase 2019-2025 avec une nouvelle feuille de route qui s’articule autour d’une réorganisation de ses activités et d’une offre clarifiée, afin d’aligner ses axes de recherche stratégiques et compétences avec les enjeux en constante évolution des entreprises. Pour pérenniser son modèle économique, les objectifs visés par l’IRT sont triples : augmenter le nombre de transferts significatifs, proposer des innovations tout en créant rapidement de la valeur, et stimuler la production de connaissances amont nécessaires à la résolution des défis industriels.

Dans son projet jusqu’en 2025, l’IRT va continuer à accélérer la transformation numérique des industries et des services, au cœur d’une industrie en plein essor. Pour ce faire, l’IRT réorganise ses activités autour de quatre secteurs applicatifs prioritaires et de huit domaines de recherche scientifiques et techniques.

Les quatre principaux secteurs applicatifs sont Mobilité et Transport autonome, Industrie du futur, Défense et Sécurité, et Environnement et Développement Durable. L’institut pourra adresser de nouveaux secteurs ultérieurement, selon les problématiques rencontrées par les industriels. En parallèle, l’IRT a souhaité clarifier et élargir ses domaines d’expertise, afin d’accompagner les nouvelles attentes des partenaires sur l’ensemble des nouvelles technologies du numérique, tout en favorisant une meilleure gestion des compétences. Huit domaines scientifiques et techniques ont ainsi été définis : Science des données et IA ; Interaction homme-machine ; Calcul scientifique ; Optimisation ; Ingénierie système et conception logicielle ; Sûreté de fonctionnement des systèmes critiques ; Sécurité numérique et blockchain ; IoT et réseaux du futur. A chacun de ces domaines sont associés un ou plusieurs défis scientifiques à relever.

Une nouvelle offre comprenant trois modalités de partenariats

La nouvelle offre telle qu’elle a été définie par SystemX dans sa feuille de route 2019-2025 fait écho à ses trois principales missions : accélérer l’usage des technologies pour la création de valeur, renforcer les capacités R&D collaboratives des entreprises et stimuler la production de connaissances. Le premier volet baptisé « Boost » consiste à accompagner sur un temps court un partenaire industriel, souhaitant tester des solutions technologiques sur un cas d’usage spécifique et en comprendre l’intérêt pour ses lignes de métier. L’offre « Improve » contribue quant à elle à la montée en compétences des partenaires et vise à consolider des écosystèmes d’innovation à travers la conduite de projets R&D collaboratifs ayant pour objectif de lever des verrous scientifiques et technologiques. Enfin, le troisième volet, « Advance », vise à fédérer les compétences et l’excellence des partenaires académiques autour de défis scientifiques majeurs, au travers d’initiatives communes de recherche, de chaires industrielles ou de programmes doctoraux. Cette offre permet de stimuler la production de connaissances dans un domaine technologique donné.

Photo : L’IRT, en chiffres (décembre 2018)

Source : https://www.irt-systemx.fr/

Alliance entre Michelin et Faurecia pour créer un champion de l’hydrogène

Michelin, leader mondial des pneumatiques et de la mobilité durable, et Faurecia, leader technologique de l’industrie automobile, annoncent ce jour la signature d’un protocole d’accord (Memorandum Of Understanding) visant à créer une co-entreprise regroupant l’ensemble des activités dédiées à la pile à hydrogène de Michelin, incluant sa filiale Symbio, et de Faurecia. 

Symbio, « a Faurecia Michelin hydrogen company » sera détenue à parts égales entre Faurecia et Michelin. Cette co-entreprise française construite autour d’un écosystème unique développera, produira et commercialisera des systèmes de piles à hydrogène pour les véhicules légers, utilitaires et les poids lourds et d’autres domaines d’activité. 

Convaincus de l’importance de la technologie hydrogène dans la mobilité zéro émission de demain et de la nécessité de créer une véritable filière industrielle hydrogène française et européenne, Michelin et Faurecia ont pour ambition de créer un leader mondial des systèmes de piles à hydrogène, grâce aux apports des actifs existants des deux partenaires. La complémentarité de ces acteurs permettra à la co- entreprise de proposer immédiatement une gamme unique de systèmes de pile à hydrogène couvrant tous les cas d’usage. 

Pour les véhicules électriques, la technologie de la pile à combustible est complémentaire à la technologie batterie, en particulier pour les cas d’usage nécessitant une forte intensité d’utilisation et une plus grande autonomie. Elle vient d’ailleurs d’être retenue par l’Union Européenne comme l’un des six Projets Importants d’Intérêt Européen Commun. Michelin apportera à cette co-entreprise les activités de Symbio, filiale du groupe depuis le 1er février 2019, équipementier de systèmes de pile à hydrogène associés à une gamme de services digitaux – ainsi que des activités de recherche & développement et de production. 

Faurecia apportera son expertise technologique dans la pile à combustible, développée grâce au partenariat stratégique noué avec le CEA, son savoir-faire industriel et ses relations stratégiques avec les constructeurs automobiles. Faurecia poursuivra en parallèle et en partenariat avec Stelia Aerospace Composite, le développement de réservoirs d’hydrogène à haute pression. Ces travaux bénéficieront également à la co-entreprise. Par ailleurs, la coopération entre Michelin et Engie, groupe mondial de l’énergie et des services, dans le développement de l’écosystème hydrogène et en particulier en matière de mobilité hydrogène, profiteront à la co-entreprise. 

Photo : Cet accord entre Michelin et Faurecia a été signé ce jour en présence de la Secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Economie et des Finances, Mme Agnès Pannier-Runacher

Source : https://www.michelin.com/

Le Congrès Simulation de la SIA de retour les 3 et 4 avril !

Le congrès sera l’occasion de faire le point sur les tendances et les nouveautés méthodologiques de la simulation numérique. Il sera organisé sur deux journées, les 3 et 4 avril prochains à l’Estaca (à Montigny-le-Bretonneux).

Le marché automobile est connu pour être très concurrentiel ce qui amène les industriels à fortement innover aussi bien pour élargir l’offre produit que pour optimiser les coûts et réduire les délais de développement. Ces évolutions rapides et de grande ampleur ont bien entendu des conséquences sur les méthodes de l’ingénierie pour la conception et la fabrication. L’accélération digitale se déploie dans la majorité des entreprises et particulièrement celles de l’automobile.

Dans ce contexte, la simulation numérique est un des moyens les plus efficaces pour soutenir l’activité des ingénieries et répondre à ces nouveaux défis. La simulation numérique se renforce sur ses filières historiques et incorpore des méthodes innovantes. Quels sont les nouveaux besoins de l’industrie automobile et par quelles méthodologies de simulation numérique, l’ingénierie pourra répondre aux enjeux qui se présentent sous 3 axes principaux : « Développer des véhicules de demain : électrifiés, autonomes et connectés », « Maitriser les émissions : homologation en conditions réelles » et « Combiner essais physiques et modèles numériques ».

Source : https://www.sia.fr/evenements/

SGS ouvre un nouveau laboratoire dédié aux analyses et tests de produits électriques et électroniques

Le laboratoire SGS France de Oignies (Pas-de-Calais) accueille un tout nouvel espace pour les analyses et tests de produits électriques et électroniques : luminaires, électroménager, appareils électroportatifs… Situé à 15 minutes de l’agglomération lilloise, il offre aux clients de la grande distribution et industriels de la région proximité, réactivité et flexibilité. 

L’objectif de cette nouvelle installation est de garantir aux consommateurs la sécurité des produits, prévenir ou signaler les éventuels défauts de construction et ainsi assurer aux acteurs du commerce et e-commerce un retour client qualitatif et positif. « Nous avons fait le choix d’ouvrir ce nouveau laboratoire pour être au plus près de nos clients. Cette proximité nous permet d’aller faire les prélèvements directement chez eux, un gain de temps précieux », explique Jean-Pierre Rosserot, directeur technique Électrique & électronique chez SGS France.

Défauts de construction, mésusage du produit, problème de lisibilité de la notice d’utilisation… tout est passé au crible par les experts SGS France pour améliorer l’expérience client et la qualité perçue du consommateur. « Nous aidons également la grande distribution à mieux qualifier les avis laissés en ligne par les consommateurs. Selon leurs exigences en termes de notation produits (3* et 4*) nous réalisons des analyses pour vérifier la pertinence de la notation et qualifier l’insatisfaction… Et apporter des axes d’amélioration, comme par exemple revoir le type de composants utilisés ou l’assemblage réalisé. Notre démarche s’inscrit totalement dans le Projet de loi européen sur la transparence et classement des avis en ligne qui a été relancé en janvier », poursuit Jean-Pierre Rosserot. 

L’équipe d’Oignies peut également s’appuyer sur l’expertise du laboratoire d’essais historiquement situé à Aix-en-Provence pour toute analyse complémentaire : tests de performance, essais chimiques… « Devant le succès rencontré au vu des demandes entrantes, nous prévoyons d’ores et déjà l’agrandissement du laboratoire et le renforcement de l’équipe en 2020 ».

Source : https://www.sgsgroup.fr/

Lancement des Comsol Days 2019 à Grenoble et à Paris

Leader des solutions logicielles pour la simulation et les applications de simulation multiphysiques, Comsol orginsera les jeudis 21 mars à Grenoble et 4 avril à Paris pour deux journées gratuites entièrement dédiées à la simulation numérique multiphysique.

Ces journées ont pour objectifs de permettre aux participants de mieux cerner les enjeux de la simulation au travers d’exemples concrets, et de découvrir les dessous de Comsol Multiphysics.

Au programme :

  • Introduction à Comsol Multiphysics, au Model Builder et découverte des nouveautés de la version 5.4 du logiciel Comsol Multiphysics

  • Introduction à l’Application Builder, à Comsol Server et à Comsol Compiler

  • Mise en place d’un modèle et création d’une application

  • Présentations utilisateurs

  • Mini cours pour gagner en efficacité sur : les matériaux avancés, la modélisation en CFD, le

    maillage et les géométries mobiles, l’optimisation topologique

    Les pauses et le déjeuner seront l’occasion d’échanger avec les spécialistes Comsol et la communauté d’utilisateurs. Les participants sont invités à présenter leurs travaux sous Comsol Multiphysics via un poster ou à oral.

    Détail du programme et inscription :

Source : https://www.comsol.fr/

Naval Group et l’École Centrale de Nantes impriment la première pale creuse au monde

Naval Group et l’École Centrale de Nantes ont imprimé le premier démonstrateur de pale creuse d’hélice en fabrication additive métallique dans le cadre du projet européen H2020 Ramsses (Realisation and Demonstration of Advanced Material Solutions for Sustainable and Efficient Ships). Financé par la Commission européenne, ce programme collaboratif est dédié à la réduction de l’impact environnemental des navires civils. Centrale Nantes et Naval Group conduisent, au sein de ce projet, la réalisation de démonstrateurs de propulseurs innovants pour améliorer les capacités opérationnelles des navires.

Afin d’améliorer le rendement de la propulsion des navires, Centrale Nantes et Naval Group ont recours au procédé de fabrication additive permettant de concevoir des pièces de grandes dimensions (hélice de 6 mètres de diamètre) qui jusqu’alors, étaient irréalisables avec les technologies traditionnelles de production. La maîtrise du procédé Waam (Wire Arc for Additive Manufacturing, procédé d’impression par dépôt de fil métallique) ouvre la voie à la réalisation de propulseurs à géométrie plus complexe.

Des gains industriels et opérationnels

Le démonstrateur de pale creuse réalisé en inox à l’échelle 1/3 et représentatif d’un propulseur de porte-conteneurs a demandé moins d’une centaine d’heures d’impression pour une masse d’environ 300 kg. Cette véritable prouesse technique que les équipes réalisent actuellement permet d’envisager un gain de masse de plus de 40 % par rapport à un procédé classique.

Sirehna, spin-off de Centrale Nantes et filiale de Naval Group, pilote le design de la pale dans l’optique d’améliorer l’efficacité énergétique et de réduire l’impact environnemental des propulseurs. Les travaux de Sirehna ont permis une optimisation globale de la pale en termes de rendement et d’endurance, mais également une réduction significative du bruit rayonné et des vibrations. La diminution de l’empreinte environnementale liée à la propulsion, démontrée dans le cas d’étude du projet H2020 Ramsses, est un enjeu pour tout type de navire, et particulièrement pour les gros porteurs.

Naval Group et Sirehna ont pu compter sur les moyens techniques exceptionnels et les larges connaissances qu’offre l’École Centrale de Nantes. Leur expertise en génération de trajectoire et en fabrication additive sont nécessaires à la réalisation de la pale. Cette collaboration de longue date s’est accentuée dans le domaine avec la création d’un laboratoire commun, le JMLT2, en 2016. Elle se traduit par la maîtrise de la chaîne numérique complète de la conception à la fabrication en passant par le dimensionnement mécanique et hydrodynamique, et permettra d’aboutir à la réalisation d’une hélice complète.

Source : https://www.ec-nantes.fr/