ADLink, société distribuée par Acquisys, lance MXE-5500, une nouvelle série de PC intégré sans ventilation

La série Matrix MXE-5500 est une gamme d’ordinateurs haute performance sans ventilation intégrant la 6e génération de processeurs Intel Core TM i7 / i5 / i3 et le chipset QM170 fournissant plus de puissance de calcul et des performances graphiques élevées avec une consommation d’énergie minimale.

La série MXE-5500 offre de nombreuses capacités d’entrées/sorties dans un système compact avec deux ports DisplayPort, un port DVI-I (prenant en charge signaux DVI et VGA), quatre interfaces réseau GbE avec contrôleurs Intel, quatre ports USB 2.0 et USB 3.0, seize entrées/sorties isolées et six ports COM dont quatre sont configurables par le BIOS entre RS-232/422/485.

De plus, avec double baie SATA 2,5″ remplaçable à chaud, un port CFast et un port M2.2280, la série MXE-5500 offre une grande polyvalence d’options de stockage pour un large éventail d’applications. Deux mini-slots PCIe et les prises USIM permettent au MXE-5500 de communiquer avec une grande variété de connexions sans fil, telles que BT 4.0/WiFi et 3G.

Source : https://www.acquisys.fr/

Des nouveaux robinets de mesure pour eau potable avec la technique à ultrasons

Au salon ISH 2019 qui s’est tenu mi-mars, KSB a présenté deux nouvelles gammes de robinets BOA-Control EKB et BOA-Control IMS EKB. Ces nouveaux robinets sont destinés aux applications d’alimentation en eau potable, aux installations de climatisation et aux circuits de refroidissement. Trois fonctions sont réunies en un seul robinet : le sectionnement, la régulation et les mesures, une conception qui permet d’exclure le montage de robinets et d’instruments de mesure supplémentaires, donc de réduire l’encombrement et les coûts.

La mesure de débit est réalisée par des ultrasons qui enregistrent le débit en mesurant la différence de temps de transit. Les valeurs mesurées peuvent être sauvegardées sur place à l’aide d’un boîtier de mesure mobile ou être transmises en permanence à un poste de contrôle via un boîtier de mesure stationnaire.

Deux capteurs montés sur le robinet permettent la mesure du débit par ultrasons ainsi que de la température. Contrairement à la mesure de la pression différentielle hydraulique, le robinet et le boîtier de mesure sont reliés par câbles électriques, ce qui permet d’éviter des fuites et de mesurer le débit pendant l’actionnement du volant, indépendamment de la position d’ouverture du robinet et de la pression différentielle.

Le couplage des capteurs peut être réalisé de deux manières. Dans le BOA-Control EKB destiné à la mesure mobile, les capteurs sont fixés sur le corps à l’aide d’un coupleur magnétique. Il est ainsi possible de mesurer le débit tour à tour sur un nombre quelconque de robinets, à l’aide d’un ordinateur de mesure Boatronic MS et d’un kit de capteurs.

Source : https://www.ksb.com/ksb-fr/

Arts et Métiers rénove la soufflerie du laboratoire DynFluid pour en faire un leader académique

Michaël Pereira a été nommé responsable du site Aérodynamique du laboratoire Dynfluid – Campus Arts et Métiers de Paris en janvier dernier. Ce jeune physicien de 27 ans a pour mission d’ancrer un équipement construit en 1952 dans l’industrie 4.0. Une nouvelle dynamique qui implique de renforcer la recherche dans les domaines de la transition énergétique et des transports, pour lesquels les compétences de la soufflerie sont reconnues, tout en développant les moyens de métrologie et en s’ouvrant à d’autres thématiques comme les drones et la physique du sport.

La complémentarité des compétences (théoriques, numériques et expérimentales) réunies autour de la soufflerie permet au laboratoire DynFluid d’intervenir sur toute la chaîne de recherche et d’innovation, et de répondre aux défis industriels actuels. La soufflerie est mobilisée pour des travaux sur l’automobile, l’aviation, les immeubles de grande hauteur, les éoliennes, les capteurs solaires, … Elle travaille en étroite collaboration avec des industriels comme PSA, Renault, Dassault, ou encore Safran.

La seule soufflerie à circuit fermé de cette envergure à Paris

La soufflerie du campus de Paris des Arts et Métiers est une soufflerie fermée, équipée d’un ventilateur d’un diamètre de 3 mètres, piloté par un variateur et un moteur de 120 kW. L’écoulement dans la veine d’essai principale peut atteindre 40 mètres par seconde. « Nous sommes riches de savoirs et de savoir-faire, ce qui nous confère une image d’excellence dans le monde industriel et la communauté scientifique », déclare Michaël Pereira.

La soufflerie est rattachée à l’équipe ETE de DynFluid, un laboratoire en cotutelle Arts et Métiers / Conservatoire National des Arts et Métiers. Il mène des travaux de recherche allant de l’hydrodynamique, à l’aérodynamique en passant par l’acoustique, avec des applications dans de nombreux secteurs (aéronautique, aérospatial, automobile, naval, bâtiment, sport, santé, turbomachine, etc.). Il développe des méthodes numériques originales pour simuler des écoulements (le plus souvent en régime compressible) et des phénomènes aéroacoustiques, ou analyser leurs instabilités et met en œuvre ces méthodes dans le cadre de programmes de recherche nationaux ou internationaux. Les travaux du laboratoire contribuent à améliorer les performances des avions, fusées, véhicules terrestres et installations industrielles, avec pour objectif de préserver l’environnement par la diminution de la consommation d’énergie ou de l’émission des gaz à effet de serre et la réduction des nuisances sonores.

En 2022, la soufflerie aérodynamique fêtera ses 70 ans. Elle dispose d’une collection unique de maquettes d’éoliennes, d’avions ou encore de voitures (dont celle de la Citroën DS originale). « Je suis sensible à cette histoire et je souhaite que nous nous inscrivions dans la continuité de cette démarche d’innovation en participant à la nouvelle révolution industrielle », ajoute Michaël Pereira. 

Photo : Michaël Pereira devant la soufflerie aérodynamique du laboratoire DynFluid ©Arts et Métiers

Source : https://artsetmetiers.fr/

Eikosim lancera officiellement le 16 mai à Massy Eikotwin Digital Twin, son nouveau logiciel

EikoSim, start-up spécialisée dans l’édition de logiciels d’aide à la simulation numérique soutenue par la SATT Paris-Saclay, organise le 16 mai au Mercure de Massy une soirée pour le lancement d’EikoTwin Digital Twin, son nouveau logiciel de traitement d’images à destination des bureaux d’études des grands comptes de l’industrie mécanique.

Un an s’est écoulé depuis le lancement de EikoTwin DIC, le premier logiciel de traitement d’images développé par la société EikoSim. Permettant de récupérer des informations d’essais sur prototype afin « d’augmenter » la simulation des données d’essais, ce logiciel a très vite rencontré son public comme en témoignent les très bons résultats affichés par la start-up en 2018 en termes de chiffre d’affaires et de développement. « A l’issue de cette première année, nous nous réjouissons en effet de pouvoir compter parmi nos clients utilisateurs de grands comptes tels que Saint Gobain, Safran ou encore Ariane Group », indique Florent Mathieu, président d’EikoSim.

Fort de cette dynamique positive, EikoSim franchit une nouvelle étape en ce début d’année 2019 en annonçant le lancement de EikoTwin Digital Twin, son nouveau logiciel destiné non plus seulement aux laboratoires d’essais mais aussi et surtout aux bureaux d’études. L’objectif de ce nouveau logiciel : optimiser la simulation grâce au développement d’un jumeau numérique, lieu des opérations de correction des modèles de simulation. « Par rapport à EikoTwin DIC, ce nouvel outil se distingue par deux principaux apports en termes de fonctionnalités : il permet non seulement, à partir de la visualisation des erreurs de simulation, de corriger la mise en données des modèles, mais aussi de recaler de manière automatique ces modèles de simulation en fonction des données d’essais pour corriger les différentes hypothèses de départ », explique Florent Mathieu.

Pour présenter officiellement son nouveau logiciel, EikoSim organise donc une grande soirée de lancement le jeudi 16 mai au Mercure de Massy. Au programme de la soirée : un temps de retour sur les succès de l’année écoulée, le témoignage d’un client utilisateur d’EikoTwin, une démo de présentation du jumeau numérique EikoTwin Digital Twin, et le témoignage d’un early adopter sur ses attentes vis-à-vis de cette nouvelle étape. L’occasion pour les industriels présents, qu’ils soient déjà clients ou appelés à le devenir dans les mois à venir, de tout savoir sur le dernier né d’une start-up à l’avenir prometteur. Un rendez-vous à ne pas manquer !

Source : https://eikosim.com/

Une nouvelle solution à découvrir dans l’acquisition de données

VTI Instruments, filiale du groupe Ametek, vient de compléter sa gamme de produits d’acquisition de données avec le RX0424. Conçu pour fonctionner dans des conditions extrêmes, le RX0424 est une solution adaptée à la mesure des forces d’accélération telles que la détection de mouvements statiques et dynamiques ou vibrations, sur le terrain. L’interface web permet la configuration et l’affichage des données, simplifiant l’utilisation et la mise en œuvre.

Les convertisseurs analogiques-numériques 24 bits indépendants, associés à une conception méticuleuse du chemin du signal, fournissent une précision exceptionnelle à des vitesses d’acquisition de données programmables jusqu’à 204,8 Ke par seconde. Les plages d’entrées multiples sont combinées avec les ADC indépendants pour fournir des mesures reproductibles avec une haute résolution en s’assurant que tous les événements de vibration, grands ou petits, peuvent être capturés avec précision. Les diagnostics autotest intégrés améliorent la confiance dans les tests avec l’accès aux températures internes, à la mémoire et à l’auto-étalonnage de bout en bout en boucle fermée.

Source : https://www.acquisys.fr/

Kyocera et LO3 Energy présentent une centrale électrique virtuelle alimentée par la blockchain

Le groupe Kyocera et l’entreprise LO Energy Inc. installée à New York ont annoncé le lancement le 4 avril d’un projet commun afin de tester la faisabilité d’une centrale électrique virtuelle ou VPP, de l’anglais « Virtual Power Plant », alimentée par la blockchain, et utilisant un réseau peer-to-peer1 avec un algorithme de consensus.

Le test a débuté le 28 février 2019 dans les bureaux de Kyocera à Yokohama Nakayama, préfecture de Kanagawa, Japon. Une VPP de petite taille y a été installée, fonctionnant à partir de modules solaires photovoltaïques (PV) et de batteries de l’entreprise. L’énergie va être contrôlée par la technologie de registre distribué de LO3 Energy, afin de suivre et de gérer le flux d’énergie. La technologie de blockchain de LO3 est utilisée pour vérifier et enregistrer des transactions, permettant au consommateur de « partager » l’énergie qu’ils produisent via leur propre panneau solaire grâce à un microgrid, ce qui peut réduire la charge sur le réseau électrique principal.

Présentation du projet test de VPP

Les systèmes générateurs d’énergie solaire et les batteries de stockage Kyocera seront installés dans les bureaux de Yokohama Nakayama, afin de simuler les échanges entre des consommateurs d’énergie individuels. Les sociétés vont continuer à développer leur technologie de VPP en exploitant les données de capteurs IoT, afin d’augmenter la précision des sources d’énergie distribuée, utilisées par les gestionnaires de réseau de transport et de distribution simulés dans le projet.

De plus, les entreprises vont pouvoir examiner leurs résultats de contrôle énergétique grâce au savoir-faire de LO3 Energy, et à ses technologies de blockchain qui ont fait leurs preuves dans le monde entier. La plateforme peer-to-peer de LO3 Energy permet de contrôler la production et la disponibilité d’énergie parmi les utilisateurs connectés, ce qui facilite la création d’un environnement-test efficace. À travers cet essai, les entreprises vont développer de nouvelles manières d’étendre la performance des réseaux de distribution et de transmission d’énergie existants à tout le Japon, puis au monde entier.


Source : https://www.lo3energy.com/

Alstom inaugure une nouvelle voie d’essais

Deux ans après le début des travaux, cette inauguration marque une nouvelle étape pour le développement de l’industrie ferroviaire française grâce au travail conjugué de l’État, des collectivités locales, de SNCF Réseau et d’Alstom. Le 6 février 2017, une convention de financement pour la modernisation de la voie d’essais sur le site d’Alstom à Belfort avait été signée par toutes les parties prenantes, regroupées pour l’occasion autour de ce projet commun.

Cette modernisation de la voie d’essais 51 symbolise la volonté des partenaires de valoriser l’emploi et la filière ferroviaire française. Au-delà de l’aménagement technique, le projet permettra le développement des activités d’Alstom. Il apportera également une réponse à l’engagement pris par les collectivités visant à faire du site un centre européen de la maintenance du matériel roulant.

Trait d’union entre le bâtiment de maintenance des matériels roulants et le réseau ferré national, la voie 51 offre ainsi de nouvelles perspectives à Alstom. Les travaux de modernisation de la voie d’essais permettent notamment un accès direct des locomotives et des TGV sur le site industriel et la réalisation d’essais techniques à 60 km/h.

Ces travaux ont consisté à électrifier la voie d’essais de 850 mètres, qui sera pilotée à compter de juin 2019 par le Poste d’Aiguillage Informatisé de Belfort (en cours de construction), et à mettre aux normes la voie pour des circulations des trains à 60 km/h. Montant de l’investissement : 1 027 200 €.

Source : https://www.alstom.com

Le CSTB inaugure Jules Verne, une soufflerie climatique unique au monde

Modernisée et agrandie, l’infrastructure de recherche internationale a été inaugurée le 29 mars dernier à Nantes par François de Rugy, ministre de la Transition écologique et solidaire. La soufflerie Jules Verne est le seul équipement au monde permettant de soumettre et analyser le comportement et la stabilité des ouvrages et systèmes, face à des phénomènes climatiques de différentes intensités, des plus légers aux plus extrêmes.

D’un montant de 8,5M€, cette infrastructure scientifique et technique de pointe est unique par ses équipements innovants et son offre pluridisciplinaire. Elle permet de tester en un même lieu les ouvrages et équipements à toutes les échelles, tout en couplant démarche numérique et expérimentale, pour garantir une finesse de résultats. Le CSTB peut ainsi accompagner les acteurs de différents secteurs industriels dans leurs projets – construction et aménagement urbain, transports, énergies nouvelles, etc.

Un équipement de pointe unique au monde

Après un an de travaux, l’équipement s’étend désormais sur 6 000 m² et comporte cinq veines d’études et d’expérimentation : une nouvelle veine aéroacoustique et deux veines rénovées, atmosphérique et aérodynamique, auxquelles s’ajoutent les veines thermique et aéraulique. Il intègre également une instrumentation scientifique et technique de pointe dédiée au secteur de l’automobile et des transports, permettant de tester des véhicules jusqu’à 14 tonnes, et des automobiles hybrides ou tout électrique.

« Nous sommes heureux d’avoir pu, grâce au soutien de la ville et Métropole de Nantes, de la Région Pays de la Loire et des fonds Feder, engager ce vaste programme de modernisation de la soufflerie Jules Verne, qui nous permet aujourd’hui d’apporter aux acteurs des réponses adaptées aux nouveaux défis scientifiques et techniques, en lien avec les transitions environnementale et numérique », a souligné Étienne Crépon, le président du CSTB.

Source : https://www.cstb.fr