Le portail www.mesures-et-tests.com s’adresse aux techniciens et responsables essais, métrologie, calculs, conception, modélisation et simulation. Il se destine également aux laboratoires publics et privés d’essais et de métrologie, aux prestataires d’essais et de mesures, aux bureaux d’études et de conception, aux services contrôle qualité et métrologie ainsi qu’aux directions Achats et Recherche & Développement (R&D). 

Véritable Marketplace des moyens de mesure, de contrôle, du test, de la modélisation et de la simulation numérique, www.mesures-et-tests.com rassemble au sein d’une seule et même plateforme de marché les fournisseurs de technologies et de solutions dans différents domaines : les instruments de mesure (température, humidité, vitesse), l’analyse acoustique et vibratoire, l’optique, le contrôle qualité, l’acquisition de données, les bancs d’essais physiques (climatiques, mécaniques…) et virtuels, les essais de fiabilité (Halt-Hass), les END et les CND, les logiciels de métrologie, de contrôle qualité, de modélisation et de simulation numérique, les machines et logiciel d’impression 3D, les capteurs, les moyens de mesure électronique et de compatibilité électromagnétique (CEM)… 

www.mesures-et-tests.com met également en avant les solutions en matière de services et de laboratoires d’essais et de métrologie ainsi que des bureaux d’études, de conception et de R&D.

Enfin, une newsletter permettra aux professionnels des essais industriels, de la mesure et du contrôle, de la métrologie et des logiciels de modélisation / simulation numérique, de se tenir informés gratuitement tous les quinze jours sur les dernières technologies et solutions dans leurs métiers. 

Rappelons que MRJ Presse privilégie une approche qualitative et concentre son offre sur des marchés « de niche », extrêmement spécialisés et à forte valeur ajoutée. Ainsi, depuis 1993, de nombreuses publications ont vu le jour dans le domaine de la maintenance industrielle, des services à la maintenance et du management de la qualité.

La crise sanitaire n’arrête pas Comsol, lequel a lancé la version 5.6 du logiciel Comsol Multiphysics. Cette nouvelle version propose plusieurs avancées. Des solveurs plus rapides et plus économes en mémoire pour les calculs multi-cœurs et en clusters, une gestion efficace des assemblages CAO et des modèles prédéfinis ; ces derniers servent à créer des applications. Par ailleurs, de nouvelles fonctionnalités graphiques (plans de coupe, rendu réaliste des matériaux, transparence partielle) offrent une meilleure visualisation des résultats de simulation.

Des solveurs plus rapides et plus efficaces en mémoire pour un large éventail d’applications

Dans la version 5.6, Comsol a amélioré les performances des solveurs. Une amélioration qui profite aux utilisateurs travaillant avec de grands modèles dépassant le million de degrés de liberté. « Ces améliorations de performance atteignent 30% et davantage lors des calculs en clusters, explique Jacob Ystrom, responsable des technologies numériques chez Comsol. Nous obtenons en effet des améliorations de l’ordre de 20 % à 50 % pour le temps CPU et la mémoire nécessaire. Pour la CFD, nous avons amélioré le pré-conditionneur vitesse-pression couplé ; nous avons également ajouté un tout nouveau pré-conditionneur qui dissocie les mises à jour de ces variables. Grâce à cela, les gains de temps CPU peuvent même dépasser 50 % pour les calculs d’écoulement dépendant du temps ».

Certaines classes d’analyse structurelle viscoélastique sont maintenant plus de 10 fois plus rapides. Une nouvelle formulation de la méthode des éléments de frontière permet de calculer des modèles acoustiques jusqu’à un ordre d’échelle de longueur de plus par rapport aux versions précédentes. Ce type d’analyse est utile pour la recherche et le développement dans le domaine de l’automobile et des sonars.

De nouveaux produits, parmi lesquels une solution pour les piles à combustible et les électrolyseurs

Quatre nouveaux produits étendent les possibilités de Comsol Multiphysics. Celles-ci portent notamment sur la modélisation des piles à combustible et des électrolyseurs, l’écoulement des polymères, les systèmes de contrôle et les propriétés des fluides. Plus précisément, Comsol a lancé les modules Polymer Flow, Liquid & Gas Properties, le produit LiveLink for Simulink et le module Fuel Cell & Electrolyzer. Ce dernier offre aux ingénieurs en technologie de l’hydrogène de nouvelles fonctionnalités pour étudier la conversion et le stockage de l’énergie électrique.

« Il existe un important marché émergent dans l’économie de l’hydrogène, mais aussi dans la compréhension et l’optimisation des procédés d’électrolyse existants, souligne Henrik Ekstrom, responsable technique des produits en électrochimie chez Comsol. Avec ce nouveau produit, nous pouvons fournir aux utilisateurs des secteurs de l’automobile, des énergies renouvelables, des technologies hydrogène et des procédés électrochimiques, des outils de modélisation et de simulation de pointe ».

Le cycle de vie d’un produit ou d’une installation industrielle doit être considéré dans sa globalité, de la phase de conception jusqu’au stade opérationnel. Les exigences imposées en termes de fiabilité sont de plus en plus fortes et le « time to market » associé de plus en plus court. C’est ce qui a conduit METRAVIB à développer puis à proposer des méthodes adaptées pour accompagner ses clients afin de valider et garantir la fiabilité de leurs produits ou de leurs installations à chaque phase de leur cycle de vie.

Jean-Yves DISSON, expert en dynamique des structures et en analyse de la fatigue des structures chez METRAVIB, présente dans ce livre blanc un condensé de plus de 15 années de pratique et de recherche sur la fatigue vibratoire et la surveillance  des structures. Après avoir rappelé brièvement ce que sont la fiabilité et la fatigue mécanique, il décrit les méthodes adaptées au stade de la conception, de la validation et de l’exploitation du produit. Sur ce dernier point en particulier, il détaille la méthode de monitoring de l’usage du produit, permettant d’en déterminer son état de santé, domaine dans lequel METRAVIB se focalise tout particulièrement sur le développement d’outils innovants faisant notamment appel à des méthodes de machine learning. Les bénéfices d’une telle démarche sont multiples : connaissance des usages réels permettant un dimensionnement robuste, basé sur les usages réels, une mise sous contrôle du risque en exploitation, l’identification et anticipation précoce des défaillances, l’adaptation de l’effort de maintenance.

Jean-Yves vous présentera ses travaux et répondra à vos questions lors d’un prochain webinaire proposé par METRAVIB sur ce thème. Restez connectés sur www.metravib-design.com pour valider votre inscription !

Pour télécharger notre livre blanc, suivi ce lien.

Fruit d’une collaboration entre le CEA et 3DPlus, le laboratoire commun ALB3DO s’appuie sur la technologie de détecteur « Caliste ». Objectif d’ALB3DO : réaliser à court terme un démonstrateur de caméra gamma portable de très haute performance (avec un premier prototype disponible dès 2022). Le laboratoire commun conduira également des recherches pour développer de nouveaux détecteurs X et gamma à très haute densité de pixels.

Objectifs des travaux du laboratoire commun ALB3DO et de la technologie Caliste

Les travaux portent sur deux domaines très différents. Le premier concerne le contrôle des rayonnements dans le domaine nucléaire. Le démonstrateur permettra de localiser et identifier des sources radioactives, en mesurant leurs niveaux d’énergie. Ces données seront ainsi visibles en temps réel sur un écran. Elles répondant à divers besoins de la filière nucléaire, comme la surveillance de fuites radioactives, la gestion des déchets radioactifs ou encore le démantèlement. « Il s’agit d’une avancée technologique importante pour la sécurité des personnes, indique-t-on au sein du CEA. Celle-ci permet en effet d’améliorer les pratiques des services de radioprotection. Elle renforcera aussi la protection des intervenants exposés aux rayonnements ionisants dans les centrales nucléaires ».

Autre domaine d’application, l’astronomie. Le laboratoire commun ALB3DO vise à développer de nouveaux spectro-imageurs de haute performance. Ces systèmes s’appuient sur les technologies d’intégration les plus innovantes de 3DPlus.

Démarrage du laboratoire ALB3DO en fin d’année

ALB3DO se situe sur le centre CEA Paris-Saclay et au sein de la société 3DPlus à Buc (Essonne). Le laboratoire commun accueillera ces prochains jours des physiciens, ingénieurs, techniciens, doctorants et stagiaires. Parmi eux, cinq seront salariés (le recrutement est en cours). D’ici cinq ans, cette activité devrait impliquer une trentaine de salariés.

Le laboratoire SGS France de Rouen devient le premier en France à déployer la méthode internationale baptisée Edana NWSP360.0. Car face à l’absence de réglementation pour la recherche des substances chimiques dans les produits d’hygiène absorbants, certains acteurs ont décidé d’agir. C’est le cas de l’association l’Edana. Entourée d’experts, dont le laboratoire de Rouen du Groupe SGS France, celle-ci a créé un groupe de travail.

Edana NWSP360.0 : une méthode robuste

Ensemble, ils ont mis au point une méthode robuste. Celle-ci tient compte des critères d’utilisation réalistes et tous les éléments de praticité, de répétabilité et de reproductibilité (échantillon homogène, méthode réplicable à toute taille de produit…). « Cette méthode offre le procédé le plus abouti à ce jour en termes de recherche de substances, explique Vincent Bernus, directeur de la division Hygiène, SGS France. Avec ce nouveau protocole et des conditions plus réalistes, ce sont bien les consommateurs que nous souhaitons rassurer, et pas uniquement les industriels et les autorités ».

Et Cédric Schoorens, expert technique chez SGS France, d’ajouter : « Nous espérons continuer de trouver des synergies dans les différentes approches (e.g. travaux de l’Anses). Nous souhaitons également rassembler nos efforts afin d’améliorer la surveillance des substances indésirables, pour le bien des consommateurs ».

Pour rappel, le laboratoire SGS de Rouen est déjà reconnu comme une référence internationale pour les tests et les mesures de performance des produits d’hygiène jetables et absorbants.

SGS France nomme Patrick Teixeira au poste de Business Manager de la division Industrie

Diplômé d’HEC – CESA, Patrick Teixeira, 52 ans, a rejoint SGS France en octobre dernier. À la tête du Pôle Industrie au sein du groupe, il pilote désormais la stratégie commerciale afin de diversifier l’activité, notamment dans l’énergie. Au total, il encadre une équipe de 500 collaborateurs.

« Mes missions seront d’accompagner les acteurs du nucléaire dans la croissance de leur activité, précise Patrick Teixeira. Et ce aussi bien dans le prolongement de la durée de vie des installations existantes que dans la construction des nouveaux EPR. Mon deuxième défi : accompagner la diversification de nos métiers et de nos marchés, notamment autour de l’énergie comme l’éolien et l’hydrogène ». Patrick Teixeira travaille depuis une trentaine d’années dans l’industrie, notamment chez Bureau Veritas et Assystem.

DAM Group accompagne les constructeurs et sous-traitants de la filière, vers une montée en production et une industrialisation de masse de leurs produits. 

Créée en 1987, l’entreprise a capitalisé son savoir sur les métiers de la mécanique, de l’étude des fluides, de l’électronique et de la gestion de données pour livrer à ses clients des solutions clés en main et strictement adaptées à leurs besoins. 

DAM Group propose une offre complète de solutions de test et mesure sur l’ensemble de la chaîne de valeur de l’hydrogène :

• contrôle d’étanchéité des plaques bipolaires (PEM/SOFC) et des MEA
• moyens de caractérisation et de conditionnement du stack
• test haute pression du système hydrogène intégré

Résolument tourné vers des problématiques de standardisation et de réduction des coûts, le Groupe a pris un tournant et s’investit depuis plusieurs mois dans la conception et la fabrication de produits « série » annexes au système pile à combustible comme par exemple une vanne by-pass embarquée dans le véhicule ou encore un CVM (Cell Voltage Monitoring) universel. 

Plongez au cœur du savoir-faire de cette PME, en vidéo !

Bart Verrecas, responsable du développement des activités automobiles de test chez Siemens PLM Software, explique comment le logiciel PLM de Siemens permet aux départements NVH d’effectuer des tests qui mettent en correspondance le comportement du groupe motopropulseur complet NVH avec d’autres attributs en interaction. Cela permet aux clients de choisir la meilleure stratégie de contrôle du moteur pour leur flotte et ainsi d’offrir la meilleure expérience de conduite possible.