La gamme « Presses LAB » PINETTE PEI existe en 3 versions : les séries C, P et PA. (La série C ayant le moins d’option et la série PA en comportant le plus).
Cette gamme de presse PINETTE PEI, propose des presses de laboratoire hydraulique comportant un large panel d’outils.
De la programmation de la température et de la pression, à l’implantation de logiciel de supervision
et d’acquisition de données, ces presses de laboratoire hydraulique peuvent exercer des forces
variantes entre 10 et 100 Tonnes. Les presses LAB comportent des plateaux chauffants électriques, qui en fonction des modèles, peuvent atteindre des températures maximales comprises entre 250° et 450 °C.
De plus, Les presses LAB sont personnalisables sur demande. La dimension des plateaux, la température maximale, les technologies de travail des composites visées, peuvent ainsi être choisies.

Qui utilisent Les presses de laboratoire PINETTE PEI ?

Les centres de R&D, les écoles d’ingénieurs et universités de tout pays, utilisent les presses de laboratoire PINETTE PEI pour la mise au point de nouvelles matières et nouveaux produits finis, la formation et la recherche.

Dans le cadre industriel, ces presses de laboratoire permettent L’optimisation du travail des techniciens sur les machines, l’essai de programmation des futures lignes de production ainsi que le formage de pièces composites et autres matériaux en petites ou moyennes séries.
Les presses de laboratoire PINETTE PEI, équipent actuellement de nombreux centres techniques des chimistes, des entreprises du secteur médical et grands groupes du secteur aéronautiques.

Pour plus d’information : Presses de laboratoire et unités de production petites séries (pinetteemidecau.eu)

Votre contact : jm.payebien@pinetteemidecau.com

Après la tenue conjointe et réussie de Global Industrie et Measurement World cette année à Lyon, en 2022, Measurement World s’imbriquera entièrement dans Global Industrie à Paris. Cet univers élargi réunit utilisateurs industriels, experts, universitaires, fabricants, prestataires, laboratoires internationaux et institutionnels, et valorise les savoir-faire technologiques français et européens en particulier ceux liés à l’instrumentation, à la métrologie et à l’analyse. Également tremplin de lancement des innovations et outil de veille, c’est une occasion unique de voir, toucher et comprendre l’étendue des solutions technologiques et tous les apports de la mesure (contrôle, optimisation, productivité, qualité, fiabilité, valorisation des données…), à destination de tous les secteurs industriels.

Place d’échanges et de rencontres entre l’industrie et la recherche

Pour cette édition, le CFM (Collège français de métrologie) organise le Symposium international GAS Analysis 2022, auquel assisteront 300 participants, issus des laboratoires de recherche en métrologie et des utilisateurs grands comptes du secteur de l’analyse des gaz.

Perçu comme le meilleur forum d’échange sur les dernières avancées de pointe et applications dans l’industrie, GAS Analysis attire experts, décideurs règlementaires, responsables techniques, laboratoires de recherche, fabricants et utilisateurs industriels. Le symposium sera orchestré sous trois axes d’applications principaux : Environnement, Énergie/BioGaz et Santé.

Constitué de conférences, de tutoriels, d’une zone d’exposition au sein du salon et d’événements sociaux de networking, le programme fera le point sur les dernières avancées en matière de métrologie des gaz, de transition énergétique, d’innovation industrielle et de qualité de l’air.

En parallèle, durant quatre jours, un programme de conférences techniques en accès libre, seront animées par EMVA (European Machine Vision Association), le LCIE Bureau Veritas et le CFM (Collège Français de Métrologie).

Les laboratoires de sciences de la vie regorgent d’outils astucieux, tels que les réactifs de microscopie, les matériels de culture cellulaire ou encore les sondes de biologie moléculaire. C’est là qu’intervient Idylle, fondée au sein de Quattrocento et soutenue par les Programme d’investissements d’avenir (PIA) pilotés par le Secrétariat général pour l’investissement (SGPI).

Après deux années de collaborations fructueuses, le CNRS entre au capital d’Idylle, qui bénéficiera du soutien financier de la Banque des Territoires, opérateur de l’Etat sur l’action « Sociétés Universitaires et de Recherche du PIA », afin d’accélérer l’émergence de cette nouvelle forme de valorisation des résultats de la recherche.

Favoriser les échanges entre laboratoires

Idylle favorise les échanges entre laboratoires en identifiant les meilleures communautés concepteurs/utilisateurs d’outils de recherche innovants. Son offre consiste à accompagner une équipe dans la transformation de sa technologie en produit de recherche robuste et fiable. Elle met en œuvre toutes les opérations de design, production, logistique et ventes du laboratoire fournisseur vers le laboratoire client.

« Nos différentes actions, du programme Rise pour la création de start-up au transfert de brevets, permettaient déjà la diffusion vers le marché des technologies issues de nos laboratoires, mais seulement pour des innovations adressant un marché suffisamment vaste pour intéresser les industriels et investisseurs. Avec Idylle, nous ouvrons aujourd’hui un nouveau champ de valorisation au CNRS, des scientifiques vers et pour les scientifiques. Nous faciliterons ainsi la diffusion rapide et l’utilisation de nouveaux outils de recherche pour les sciences biologiques », se félicite Antoine Petit, président-directeur général du CNRS.

« Notre association avec le CNRS nous offre un cadre de collaboration privilégiée, plus facile et rapide, avec les chercheuses et chercheurs. Ensemble, nous voulons leur donner les moyens de faire circuler plus efficacement le fruit de leur recherche, et générer ainsi de nouvelles idées et collaborations. À grande échelle, ce modèle permet d’accélérer la recherche en créant une véritable économie circulaire de la connaissance ! », ajoute Mathieu Grisolia, directeur général d’Idylle.

Allier le numérique à l’industrie pour créer la mobilité du futur

Avec cette acquisition, EFI Automotive se place en pointe de l’innovation dans son secteur et met en œuvre sa stratégie de mutation avec une ambition claire : devenir un partenaire de référence pour les solutions de la mobilité durable et intelligente.

Le choix d’Akeoplus a été une évidence, tant il correspond à l’évolution dans laquelle s’engage EFI Automotive. En effet, grâce à ses compétences dans le digital (Intelligence Artificielle, IIoT (Industrial Internet of Things)) l’automatisation (robotique mobile, collaborative et conventionnelle) et la sécurité industrielle (des données, des produits et des personnes), Akeoplus s’est positionné, ces dernières années, comme un partenaire clé de l’usine 4.0
en France, ce qui lui a permis de répondre aux problématiques spécifiques de clients tels que Stellantis (PSA), Thalès, Spie, Georges PERNOUD, MGF Grimaldi… Or, les bouleversements du secteur automobile placent le numérique et l’Intelligence Artificielle au cœur de la mobilité du futur.

Béatrice Schmidt, PDG d’EFI Automotive, déclare : « Conscient des défis lancés par la transformation du secteur automobile, le groupe EFI Automotive a l’ambition de proposer à ses clients des solutions innovantes et déterminantes dans la création de valeurs. L’acquisition d’Akeoplus – une première pour notre groupe va nous permettre, non seulement de d’accélérer le développement de nos plateformes de produits et nouveaux services pour le secteur de l’automobile, et plus généralement pour celui de la Mobilité, mais aussi d’explorer d’autres marchés et d’intégrer de nouvelles compétences. Il s’agit pour EFI Automotive d’écrire un nouveau chapitre de son histoire.»

Pour Stéphane Morel, fondateur d’Akeoplus : « L’acquisition d’Akeoplus est un accélérateur d’innovation pour EFI Automotive et un accélérateur industriel pour Akeoplus. Rejoindre le groupe EFI Automotive va permettre à Akeoplus de bénéficier de la solidité d’un industriel international et de ses capacités d’investissement au service de la croissance »

A noter qu’Akeoplus conservera toute la diversité de ses secteurs d’intervention. En effet, au-delà de l’Automobile, et de la Mobilité, la société accompagne également la digitalisation des secteurs de la Santé et la Pharmacie, de l’Aérospatial, de l’Agro-Alimentaire, de l’industrie manufacturière et de l’Énergie.

Une stratégie d’innovation dans un secteur automobile en pleine révolution

Le secteur automobile connaît ces dernières années un bouleversement technologique et d’usage sans précédent : arrêt des moteurs thermiques (en 2035 pour l’Europe) et généralisation de l’électrique, connectivité, autonomie, partage, nouvelles formes de mobilité… Pierre angulaire de cette transformation, le numérique impacte tous les aspects de ce secteur, depuis la conception de véhicules qui incluent sécurité, confort et enjeux environnementaux, en passant par la production, jusqu’à l’expérience utilisateur sur la route.

Pour rappel :

• 1,5 million de véhicules électriques ou hybrides ont été vendus dans le monde sur les quatre premiers mois de 2021, soit 2,6 fois plus qu’à la même période de 2020
• 100 000 emplois seraient menacés en France par l’arrêt du moteur thermique
• 45% des véhicules disposeront d’une technologie embarquée leur permettant d’entrer en connexion avec tout ce qui les entoure (autres véhicules, infrastructures, piétons, cloud…) d’ici 2030
• 60% des nouveaux véhicules atteindront le niveau 3 de l’aide à la conduite active dans moins de 10 ans

EFI Automotive, 85 ans d’innovation au service de la Mobilité

Aujourd’hui partenaire des grands constructeurs automobiles mondiaux, l’entreprise a sans cesse évolué pour répondre aux exigences du marché. Fondé en 1936, par Johanny Thollin, sous le nom de Compagnie Industrielle des fils et câbles électriques, EFI Automotive est un groupe industriel familial français qui a vu se succéder 4 générations d’entrepreneurs à la direction de l’entreprise. Dans les années 50, elle inventa, par exemple, le faisceau d’allumage Bougicord. Pour accompagner ses clients, le groupe s’est développé à l’international et s’est tourné vers les capteurs et actionneurs, de la mécanique à l’électronique et des systèmes à plus forte valeur ajoutée. La société poursuit cette logique en travaillant aujourd’hui à la mobilité du futur, intelligente et durable, avec le souci constant de pérenniser l’emploi industriel en France.

A propos d’EFI Automotive

EFI Automotive est un équipementier automobile français qui conçoit, produit et commercialise des équipements électriques et électroniques utilisés dans le monde entier.
Le groupe EFI Automotive, dont le siège est situé à Beynost, près de Lyon, emploie 1 700 salariés dans le monde (France, Turquie, USA, Chine), dont 800 collaborateurs sur deux sites français. Il a réalisé ces dernières années un C.A. moyen de 200 millions d’euros. Parmi ses clients, on compte les principaux constructeurs automobiles mondiaux (Volkswagen, Ford, ZF, Stellantis, General Motors…) et équipementiers (ZF, Schaeffler…). L’entreprise dispose d’une importante force de frappeR&D, avec250 ingénieurs et techniciens. En 2014, EFI Automotive a créé, Axandus, premier accélérateur industriel privé de start-up BtoB. EFI Automotive est dirigé par Béatrice Schmidt, arrière-petite-fille du fondateur, diplômée de l’EDHEC, elle a rejoint le groupe en 2014, forte de plus de 15 années d’expérience acquise auprès d’acteurs majeurs du secteur industriel.

https://www.efiautomotive.com/

A Propos d’Akeoplus

Créé en 2006, Akeoplus est une société d’ingénierie industrielle, spécialisée dans l’étude, la conception et la réalisation de solutions technologiques : IIoT/IA, automatisation/robotique et sécurisation industrielle (des données, des produits, des hommes). Basée dans la plaine de l’Ain, son équipe de 20 collaborateurs assure un service global en apportant des expertises et des solutions permettant d’améliorer les processus de production, les produits et services de ses clients. Akeoplus est lauréate du programme R&D Booster (projet Moovit financé par la Région Auvergne-Rhône-Alpes) pour lequel elle collabore avec Inria (Institut national de recherche en sciences et technologies du numérique), ainsi que du Concours d’innovation – i-Nov financé par Bpifrance (projet Transformers).

https://www.akeoplus.com/

Le 9 décembre prochain, Nafems France organisera par webex un séminaire portant pour la première fois sur le jumeau numérique. De nombreux acteurs industriels reviendront ainsi sur les avantages du jumeaux numériques au niveau de la conception et feront part de quelques précieux retours d’expérience (encore rares dans ce domaine, en particulier pour des raisons de confidentialité).

Des jumeaux numériques devenus omniprésents

Les jumeaux numériques sont à la base de nombreux projets d’amélioration de la conception-production-exploitation de systèmes complexes et cyber-physiques. Ils doivent permettre de mieux gérer leur évolution dans le temps et l’espace et les interactions avec l’environnement, prédire les dérives et optimiser le fonctionnement dans un contexte de continuité numérique.

Leurs applications potentielles sont multiples au croisement des modèles multi-physiques et des données de terrain avec des comportements des systèmes souvent difficiles à mettre en équation. Ils ont un impact important sur la modélisation et la simulation des systèmes à tous les niveaux méthodologiques, processus et organisation, et vont apporter dans les entreprises une grande valeur ajoutée à l’utilisation de la simulation traditionnelle.

Objectifs du séminaire

Le séminaire tentera de traiter des problématiques suivantes étroitement liées à l’utilisation de jumeaux numériques. Il traitera d’une part des premiers retours de mise en œuvre de projets pilotes, challenges de la construction dès la conception initiale (architecture système) ou exposés de problématiques particulières.

D’autre part, un focus sera donné sur l’évolution des besoins d’intégration et de continuité numérique entre la DMU, le PLM et les données de description comportementale, mais aussi sur le développement autour de plateformes futures bases de déploiement des Jumeaux Numériques et des standards. Enfin, le séminaire mettra en lumière l’amélioration de la prédiction et fiabilité de la simulation quasi temps réel dans un contexte d’accès à des données massives ou limitées ?

>> Accéder au programme

>> S’inscrire

InfleXsys a conclu cette année 2021 en levant 1 M€ pour soutenir le développement de Simesys, joint-venture qu’elle a créée en 2020 avec son partenaire Holis Consulting, pour accompagner la digitalisation du marché de la maintenance et de l’inspection d’infrastructures industrielles.

L’entreprise de services du numérique spécialisée dans le développement d’applications mobiles professionnelles sur-mesure et d’interfaces pour des objets connectés à destination des PME et des grands-comptes, poursuit une croissance maîtrisée en développant des services complémentaires à son métier d’origine et en se positionnant sur de nouveaux marchés.

Un chiffre d’affaires multiplié par 3 en 5 ans pour atteindre 3 M€

En octobre 2016,  InfleXsys présentait ses perspectives à cinq ans : tripler son chiffre d’affaires et doubler son effectif tout en conservant l’esprit de l’entreprise s’appuyant sur un management humaniste et participatif, centré sur la qualité de vie au travail des collaborateurs, la responsabilisation des plus jeunes, le partage et la transmission des compétences.

Sans déroger à cette ligne de conduite, en privilégiant une gestion saine et équilibrée de l’entreprise tout en pérennisant les emplois, InfleXsys confirme aujourd’hui ces ambitions : son chiffre d’affaires est passé de 1 M€ en 2015 à 3 M€ en 2021, sans être impacté par la situation sanitaire. L’effectif a plus que doublé, passant de 26 collaborateurs en 2015 à 55 actuellement, répartis dans cinq départements (direction générale, R&D, gestion de projets, design, commercial & marketing).

Cette progression repose notamment sur des services complémentaires à son offre de développement à façon afin de répondre aux besoins de ces nouveaux clients : des ateliers de cadrages s’appuyant sur l’approche Design Thinking, la Tierce Maintenance Applicative (audit de fonctionnement, correction des anomalies de comportement apparaissant à l’issue de la période de garantie, évolutions de l’application) et l’audit d’applications mobiles existantes. Cette dernière répondant ainsi aux problématiques d’engagement utilisateurs, de maintenabilité, de maîtrise du code, d’évolution ou de sécurité exposés par de nombreux prospects disposant déjà d’une application mobile.

La première journée technique consacrée au thème « Usine du Futur – Industrie 4.0 » aura lieu à Paris le 24 novembre, de 8h15 à 18h15, à la Maison de la RATP (Espace du Centenaire). Ce thème, l’industrie 4.0, est particulièrement important pour les adhérents de l’Exera, association des Exploitants d’équipements de mesures, régulation et automatismes.

S’agissant des interventions, outre un exposé introductif portant sur les attentes des membres de la commission technique « Entreprise Industrielle du Futur » de l’Exera, un accent tout particulier a été placé sur les retours d’expérience et sur les nouvelles possibilités qu’offre la numérisation des sites industriels.

Une journée technique ouverte à tous

Au cours des pauses, les participants pourront aller à la rencontre des exposants regroupés dans les stands destinés à faciliter les échanges directs. Il est important de noter que comme il est de tradition pour les journées techniques de l’Exera, la journée est ouverte non seulement aux adhérents de l’association mais également aux non-adhérents.

Le groupe LNE développe son activité de certification en Grande-Bretagne en créant une nouvelle filiale au Royaume-Uni : LNE-GMED UK. Ce futur organisme de certification pour les dispositifs médicaux, les produits de la construction, les instruments de mesure et les produits émettant des émissions sonores à l’extérieur des bâtiments a pour objectif de pérenniser l’accès au marché britannique des clients du LNE et de GMED tout en accélérant le développement du groupe LNE.

Suite au Brexit, les produits faisant l’objet du marquage CE dans le marché communautaire, doivent désormais se conformer à la réglementation britannique pour être commercialisés en Grande-Bretagne. Cette réglementation prévoit l’apposition d’un marquage UKCA (UK Conformity Assessed) attestant de la conformité des produits. Lorsque l’évaluation de la conformité d’un produit est réalisée par un organisme de certification, ce dernier doit être reconnu par les autorités locales, afin de bénéficier du statut de « UK Approved Body » (UKAB). Ce statut ne peut être accordé qu’à des organismes implantés sur le sol britannique.

Un organisme de certification à vocation internationale

Pour accompagner les industriels, dont la Grande-Bretagne représente un marché significatif, le LNE, via sa filiale GMED, se mobilise pour obtenir le statut de « UK Approved Body », à travers une entité dénommée LNE-GMED UK, implantée à proximité de Londres. Cette nouvelle filiale au sein du groupe LNE s’appuiera sur les équipes de GMED et du LNE et développera également de manière significative ses propres forces de production locales. Les industriels pourront ainsi s’appuyer sur le niveau d’exigence et d’excellence qui font la renommée du groupe LNE.

La création de LNE-GMED UK permet de renforcer le positionnement du LNE et de GMED en tant qu’organisme de certification à vocation internationale. David Francis prend ainsi la tête de cette filiale au Royaume-Uni en tant que General Manager. Ingénieur de formation avec plus de vingt ans d’expérience dans le domaine des dispositifs médicaux, de l’ingénierie électromécanique, de l’aérospatiale, de l’avionique et de la défense, il mettra son expertise au service du déploiement de cette nouvelle filiale au bénéfice des industriels désireux de mettre leurs produits sur le marché britannique.

Le 7 novembre dernier, les skippers de la Transat Jacques Vabre ont pris la mer direction La Martinique. Dans ce contexte, cette vidéo montre la collaboration Altair & Gsea Design, bureau d’études et concepteur du bateau l’Occitane. Celle-ci se focalise sur la conception de structure composite innovante, performante et fiable et sur leur leitmotiv d’avoir toujours un coup d’avance.

Cette collaboration n’a eu de cesse de se renforcer depuis 2015. D’abord lancée autour de la conception et la modélisation des composites (optistruct), elle se poursuit autour des analyses de choc hydro-dynamique ou slamming (radioss) en passant par la modélisation de différents systèmes mécaniques permettant d’extraire les efforts subis tout au long du processus de développement (motion solve). 

Martin Sion, président de Safran Electronics & Defense, a inauguré fin octobre à Châteauneuf-sur-Isère au sein du parc d’activités de Rovaltain, le nouveau centre de Recherche & Développement (R&D) en présence de plusieurs élus locaux et de la région Auvergne-Rhône-Alpes et des autorités locales.

Ce nouvel établissement de 4 580 m², au dernier standard de l’éco-responsabilité, accueille les activités de R&D pour relever les défis des nouvelles technologies d’électronique hautement intégrées. Plus de 120 personnes, dont près de trois quarts d’ingénieurs et onze experts, disposent de laboratoires occupant un tiers de la surface du site, dont plus de 580 m² de salles blanches. Ces ingénieurs et chercheurs travaillent sur les commandes d’actionnements électriques et les technologies d’intégration et d’assemblage d’électronique en milieux sévères, considérées comme stratégiques.

Un centre de R&D pour innover et répondre aux besoins de puces, de solutions et de systèmes embarqués

Safran Electronics & Defense dispose à Valence de moyens importants pour préparer l’avenir dans la micro-électronique et sur les grandes familles des électroniques hautement intégrées : les capteurs intelligents, les puces évoluées, les macro-modules SiP (System-in-Package) pour l’avion plus électrique, le spatial et la défense. Safran Electronics & Defense est partie prenante du projet SiP Corail de développement des capacités industrielles souveraines en SiP afin de répondre aux besoins européens. Ce projet s’inscrit dans le cadre du soutien aux filières électroniques du volet Compétitivité du plan France Relance.

« L’inauguration de ce centre d’excellence électronique est une étape majeure pour Safran. Ce centre de R&D va nous permettre d’innover et de répondre aux besoins de puces, de solutions et de systèmes embarqués toujours plus intelligents, et contribuer à garantir un haut niveau de satisfaction pour nos clients avionneurs et de défense », a déclaré Martin Sion.