Le groupe Hexagon fait l’acquisition de l’éditeur de logiciels ETQ

Hexagon AB a annoncé le 25 février dernier l’acquisition d’ETQ, un fournisseur leader de logiciels de gestion de la conformité, de l’environnement, de la santé et de la sécurité (EHS) et de systèmes de gestion de la qualité (QMS) en mode SaaS.

La solution QMS d’ETQ, ETQ Reliance, fournit l’épine dorsale des données pour automatiser la collecte et la livraison des données de contrôle de la qualité de fabrication, des rapports de non-conformité, des commentaires des clients et plus encore, offrant une vue d’entreprise de la gestion de la qualité tout au long du cycle de vie du produit.

Vaste portefeuille d’applications

Les nombreuses fonctionnalités permettent aux utilisateurs d’adapter la solution à leurs besoins spécifiques et d’optimiser les processus commerciaux essentiels pour atteindre leurs objectifs en matière de qualité, de sécurité et d’environnement.

Pour Ola Rollén, président et CEO d’Hexagon, « l’intégration des données de nos systèmes de métrologie avec Reliance conduit à des niveaux d’autonomie croissants. Ceux-ci améliorent en effet la capacité d’un client à mettre à profit les données de qualité et de processus. ETQ permet également la connectivité des données et des processus de qualité à travers les chaînes d’approvisionnement, en réunissant les fournisseurs et les clients dans un seul système. »

Ansys aide LG Electronics à accélérer sa transition numérique

Ansys annonce sa collaboration avec LG Electronics afin de l’aider à accélérer sa transition numérique et atteindre ses objectifs de développement durable. Ainsi, LG Electronics intégrera des simulations de R&D basées sur l’ingénierie assistée par ordinateur (IAO) dès les premières étapes du développement afin d’améliorer l’ingénierie et les performances des produits tout en réduisant le temps de développement, les besoins en prototypes physiques et les coûts.

Accompagner LG Electronics dans des secteurs en pleine mutation digitale

Les logiciels Ansys aideront LG Electronics à optimiser le développement de ses technologies dans des secteurs clés en pleine mutation digitale, tels que la santé, les capteurs, les équipements et les matériaux. L’entreprise pourra, par exemple, développer un modèle virtuel de ses compresseurs (pièces centrales des appareils électroménagers) en mêlant simulations 1D et 3D afin de visualiser toutes les caractéristiques dynamiques du composant et faire émerger de nouvelles conceptions. La simulation permettra à LG Electronics de prédire les performances des produits avec une précision de l’ordre de 95 % afin de définir les meilleures conceptions et rationaliser le développement de produits en matière de ressources, de délais et de coûts.

« Grâce au soutien proactif d’Ansys, nous pouvons simplifier les flux de travail et développer des innovations de pointe plus rapidement que prévu, déclare Daehwa Jeong, Vice-Président exécutif et responsable du l’institut de recherche en production d’ingénierie PRI chez LG Electronics. Nous sommes confiants dans nos perspectives de croissance communes et impatients de voir les développements à venir. Nous avons également à cœur de réduire notre empreinte carbone et de poursuivre notre transition digitale»

« Avec ses solutions d’IAO et de simulation avancée, qui intègrent notamment l’intelligence artificielle/le machine learning (IA/ML), le calcul haute performance (HPC), les jumeaux numériques, l’optique et les verticaux du secteur médical, Ansys aidera LG Electronics à optimiser le développement de ses produits tout en soutenant la durabilité et la transformation numérique, ajoute Prith Banerjee, Chief Technology Officer chez Ansys. Qu’elle soit de nature créative, stratégique ou technologique, toute collaboration entre LG Electronics et Ansys est inspirée, pertinente et gagnante pour les deux entreprises. »

La Cofrend organise sa prochaine Journée technique régionale sur les END et les composites

Le 24 mars prochain, à Saint-Malo, la Cofrend organise sa prochaine Journée technique régionale sur les END et les composites. Cette journée technique se consacrera aux contrôles sur les composites. Elle couvrira ainsi à la fois des sujets généralistes et plus spécifiques aux méthodes et techniques appliquées aux composites : capteurs intégrés, méthodes d’imagerie (Terahertz, émission acoustique non linéaire), SHM, Kissing Bond… 

Au programme : des retours d’expérience, aéronautique et autres industries ainsi qu’un tour d’horizon sur les challenges des matériaux, composites du futur, biocomposites, etc. Lors des pauses café, un espace dédié aux exposants permettra aux participants de découvrir les dernières innovations et matériels disponibles actuellement.

Programme et modalités d’inscription

Plus d’informations

Avec l’acquisition de Dimelco, Asgard renforce son offre dans le domaine des moyens d’essai vibratoire

Depuis plus de vingt ans, AJ Service, implantée à Vélizy (Yvelines), est spécialisée dans la vente en France de moyens d’essai en vibration, ainsi que dans les services associés en assurant l’installation, la formation et la maintenance des équipements auprès de ses clients. Elle propose des produits à haute valeur ajoutée et de haute qualité destinés aux tests sur des composants, des assemblages ou des structures en phase de développement au sein des services de R&D. Ces mêmes produits sont également utilisés pour assurer les tests qualité dans les phases de production intermédiaires comme finales.

La clientèle d’AJ Service est composée de grands groupes industriels, de laboratoires d’essais et de PME/PMI des industries aérospatiales et de la défense, de l’automobile, et des transports ferroviaires et maritimes. La mise en commun des services et des produits de Dimelco et de AJ Service permettra au groupe d’améliorer sa réponse aux attentes de ses clients en renforçant son offre produit destinée au test qualité et de tenue à des environnements sévères.

Large couverture d’applications industrielles

Le groupe Asgard avec ses filiales AOIP, Dimelco et Sofimae, intervient dans de nombreux domaines d’activité comme l’énergie, l’automobile, le nucléaire, la défense, l’aérospatiale, le transport, les télécoms, l’industrie, les laboratoires et l’éducation.

AOIP est un acteur reconnu dans la mesure, dont les équipements et les solutions sont utilisés par plus de 40 000 clients d’une soixantaine de pays couvrant tous les secteurs de l’industrie et des laboratoires. Elle conçoit, développe et vend des équipements d’instrumentation (calibration, ohmmètres et systèmes d’acquisition de données), des systèmes de navigation et des démarreurs moteurs.

Dimelco est un distributeur spécialisé présent sur tout le territoire français, proposant des équipements de test et mesure multimarques à usage industriel et des solutions d’instrumentation et de process. Sofimae, fusionnée avec Semelec depuis son acquisition en 2018, et avec DPG en 2020, est une société de métrologie qui propose une offre de service, toutes marques, de vérification, d’étalonnage, de maintenance et de gestion de parc réalisée sur site ou dans ses laboratoires. Sofimae possède trois accréditations Cofrac (température, temps – fréquence et électricité – magnétisme).

« Supervisez vos essais à distance »

Grâce à cette technologie, nos clients peuvent suivre leurs essais à distance, mais également vérifier le montage de leur matériel ou encore avoir un retour immédiat sur les résultats des qualifications. Le contact visuel et audio en temps réel donne à nos clients la possibilité de transmettre des précisions utiles sur leur équipement, évitant ainsi de nombreux échanges par mail. Ces lunettes connectées peuvent simplifier considérablement le planning de nos clients, puisqu’ils ne sont plus tenus de se déplacer sur notre site. Ils peuvent réaliser leurs qualifications plus rapidement. En période de pandémie, ces lunettes sont un atout pour continuer à qualifier les équipements de nos clients, sans retard de calendrier.

https://youtu.be/yhet9VUTiLc

Une solution développée pour les métiers d’inspection du groupe Apave

Le groupe Apave, maison-mère de Sopemea, s’est doté de cette solution pour réaliser des supervisions terrain à distance. Depuis 2019, Philippe Denaes, chef de projet au sein de l’équipe Innovation, a développé et adapté la technologie RealWear et la plateforme SightCall aux métiers d’inspection du groupe Apave, avec la collaboration de notre partenaire LUNAAR. La solution est très accessible : le client télécharge le logiciel SightCall qui le relie directement au technicien portant les lunettes connectées, via un QR code. La vidéo apparaît alors en direct sur l’écran du client, qui dispose de plusieurs fonctionnalités : zoomer, pointer un élément avec sa souris, allumer un flash sur les lunettes, faire des photos ou encore enregistrer l’essai.

Si vous souhaitez plus d’informations sur cette solution à distance, n’hésitez pas à contacter notre service commercial : commercial@sopemea.fr ou par téléphone au : +33 (0)1 45 37 64 46

Antoine Petit reconduit à la tête du CNRS pour un second mandat

Antoine Petit a été nommé pour un second mandat à la tête du CNRS lors du conseil des ministres du 9 février dernier. Celui-ci souhaite mettre « La recherche fondamentale au service de la société » qui est, pour lui, la raison d’être du CNRS. Une attention particulière sera apportée aux grands défis sociaux, au monde économique, et à l’aide à la compréhension et à la décision. Le CNRS doit s’appuyer pour cela sur trois leviers dont il est le seul à bénéficier à un tel niveau et qui font sa force : un potentiel d’interdisciplinarité unique, un réseau de partenariats académiques exceptionnel et un ensemble remarquable de coopérations internationales. Chacun de ces leviers doit être soigneusement entretenu et même renforcé.

Quelques données biographiques

Né le 18 juin 1960 à Levallois-Perret, Antoine Petit est professeur des universités de classe exceptionnelle. Agrégé de mathématiques en 1982, il soutient une thèse en informatique à l’université Paris-Diderot en 1985. D’abord assistant-agrégé à l’université d’Orléans, puis maître de conférences à l’université Paris-Sud, il est détaché au CNRS en 1991 comme chargé de recherche au Laboratoire de recherche en informatique (CNRS/Université Paris-Sud). En 1994, il est nommé professeur des universités à l’Ecole normale supérieure de Cachan (devenue aujourd’hui ENS Paris-Saclay). L’année suivante, il en devient le directeur du département Informatique. Antoine Petit est spécialiste de méthodes formelles pour la spécification et la vérification de systèmes parallèles en temps réel.

En novembre 2001, il rejoint le ministère en charge de la Recherche comme directeur adjoint à la direction de la Recherche, responsable du secteur des Mathématiques et des Sciences et technologies de l’information et de la communication. Cette même année, il est élu membre du Comité national de la recherche scientifique (section Sciences et technologies de l’information). Début 2004, Antoine Petit revient au CNRS, comme directeur scientifique du département Sciences et technologies de l’information et de la communication, puis directeur inter-régional pour la région Sud-Ouest.

En août 2006, il rejoint Inria, l’Institut national de recherche en informatique et en automatique, où il dirige le centre de recherche Paris-Rocquencourt, avant d’être nommé directeur général adjoint de l’organisme en septembre 2010 puis président-directeur général en octobre 2014. De 2017 à 1018, Antoine Petit a été président non exécutif de l’IHEST, l’Institut des hautes études pour la science et la technologie. Il est chevalier de la Légion d’honneur, officier de l’ordre national du Mérite et docteur honoris causa de l’université du Chili.

Le site Alstom de Tarbes s’équipe d’une installation robotisée unique au monde pour les tests d’étanchéité

Poursuivant sa modernisation et son programme d’Usine 4.0, le site Alstom de Tarbes s’est doté d’une nouvelle installation automatisée très novatrice, conçue par la société Elkar (de Mauléon-Soule, dans les Pyrénées-Atlantiques), afin de tester l’étanchéité des coffres de traction.

L’installation robotisée d’étanchéité est un produit unique au monde sur ce procédé. Elle a été conçue pour répondre à la demande spécifique impulsée par le site Alstom de Tarbes. Elle s’inscrit dans la stratégie « Alstom in Motion 2025 », axée autour d’une croissance soutenue, de l’innovation verte et digitale, et de l’efficacité opérationnelle.

Implantée en fin de ligne de fabrication, la plateforme rotative de 6,5 mètres de diamètre impose par sa taille. Derrière une porte automatique, le robot constitué de six axes manie plusieurs outils : des buses d’eau, un souffleur pour le séchage, une caméra, un télémètre, etc. Le processus reste contrôlé par un opérateur : l’objectif des tests est d’assurer l’étanchéité du coffre monté et ainsi de confirmer qu’il respecte bien les critères établis dans le contrat. Le robot permet d’identifier facilement d’éventuelles fuites d’eau à l’intérieur des coffres, grâce à l’ajout d’un traceur UV dans l’eau.

Ansys propulse le premier vol de l’avion de course électrique Air Race E avec la simulation numérique

La Nordic Air Racing Team, membre officielle de l’Air Race E (coupe du monde de Formule E de course aérienne), vient de réussir le premier vol mondial d’un avion de course entièrement électrique – conçu et développé à l’aide des solutions de simulation d’Ansys (NASDAQ : ANSS). En tant que partenaire officiel de l’Air Race E pour les logiciels de simulation, Ansys permet aux équipes de relever des principaux défis techniques liés au vol d’un avion de course 100 % électrique.

L’Air Race E, qui est le premier et unique championnat mondial de courses d’avions électriques, constitue un levier clé dans l’accélération du développement des propulsions hybrides et électriques pour les applications aérospatiales. À l’heure où les entreprises du monde entier se mobilisent pour réduire leurs émissions de carbone, en particulier celles liées à la mobilité, ces avancées technologiques représentent un enjeu crucial pour tous les acteurs de l’industrie aéronautique.

Démontrer la navigabilité de l’aéronef grâce à l’utilisation de la simulation

Avant le début officiel de l’Air Race E en 2023, chaque équipe concurrente doit être en mesure de démontrer la navigabilité de son aéronef. Grâce à l’utilisation des logiciels de simulation, l’accès à de nombreuses formations en ligne via la plateforme Ansys Learning Hub, ainsi qu’une étroite collaboration avec les experts techniques d’Ansys, l’équipe Nordic Air Racing est parvenue à réduire de 40 % le délai global du projet.

« Ce premier vol d’un avion de course électrique Air Race E piloté est un moment historique pour l’industrie aéronautique et une étape majeure dans l’électrification des aéronefs, déclare Jeff Zaltman, PDG d’Air Race E. Il s’agit de l’aboutissement de plusieurs mois de planification, de développement de concepts, de tests et de fabrication par les ingénieurs, et rien de tout cela n’aurait été possible sans le soutien et l’expertise d’Ansys et de nos partenaires visionnaires. Toute l’équipe d’Air Race E est extrêmement fière de participer à la révolution de la mobilité électrique et nous sommes reconnaissants à Ansys pour son rôle dans cette étape décisive. ».

Transformer un avion de course thermique en électrique

Les ingénieurs de l’équipe Nordic Air Racing ont utilisé les solutions de simulation multiphysique d’Ansys pour transformer un avion de course thermique en remplaçant le moteur à piston par un groupe motopropulseur électrique. La simulation a également été utilisée pour concevoir le compartiment du moteur à l’aide de matériaux composites, modifier le nez de l’avion, optimiser le centre de gravité, le système de refroidissement par air et l’aérodynamique.

« Les simulations Ansys nous ont donné une confiance totale dans notre avion et ont raccourci le délai de notre premier vol d’essai, explique Sathvik Rao, ingénieur au sein de la Nordic Air Racing Team. J’ai été surpris de voir comment le logiciel Ansys peut intégrer chaque exigence de paramètre pour un système aussi complexe que notre batterie. Sans la simulation dans les premières étapes du développement, notre équipe aurait dû réaliser environ 250 heures supplémentaires de travail expérimental autour de la dissipation et de la propagation de la chaleur du bloc-batterie. »

L’Institut Polytechnique de Paris, le CNRS et Thales créent le laboratoire commun Heracles3 sur les lasers intenses

L’Institut Polytechnique de Paris (IP Paris), le CNRS et Thales ont signé début février un partenariat pour la création d’un laboratoire commun. Son nom ? Heracles3, un laboratoire dédié à la recherche et au développement des lasers intenses.

Le nouveau laboratoire commun Heracles3 (Hautes énergies pour la recherche en accélération laser d’électrons et sources secondaires à Saclay) ambitionne de développer des technologies à la pointe de l’innovation. Celles-ci se fondent sur des lasers intenses, avec un potentiel d’applications majeures, aussi bien industrielles, médicales que scientifiques. Ce partenariat entre Thales, le CNRS et l’Institut Polytechnique de Paris (IP Paris) s’appuie ainsi sur un riche historique de collaboration entre les trois acteurs.

Les lasers de puissance un axe majeur de la recherche d’IP Paris

Les lasers de puissance sont l’un des axes majeurs de la recherche d’IP Paris, tant pour la recherche fondamentale sur les plasmas, l’astrophysique de laboratoire ou encore l’exploration du vide, que pour des applications sociétales comme le contrôle non destructif pour l’industrie ou, dans le domaine médical, l’imagerie et le traitement de tumeurs. Le CNRS est leader dans le domaine de la physique des plasmas. Parmi ses orientations prioritaires figure la mise en opération d’installations de niveau mondial en lumière extrême sur le sol français. L’exploitation de ce type d’installation ouvre de nouvelles perspectives en physique des interactions laser/matière à ultra haute intensité notamment la génération de nouvelles sources de particules, l’accélération de particules et d’électrons ou encore l’électronique quantique dynamique.

La création d’Heracles3 va permettre de pérenniser et de renforcer les actions en cours, et également d’en démarrer de nouvelles, centrées sur la valorisation des technologies laser pour les applications. Heracles3 pourra aussi inscrire une partie de ses activités au sein du Centre interdisciplinaire d’études pour la défense et la sécurité (CIEDS) d’IP Paris, mais également dans le futur centre interdisciplinaire sur l’ingénierie biomédicale.

Un laboratoire construit autour de trois axes

Le laboratoire se construit autour de trois axes liés aux caractéristiques physiques des lasers intenses et des verrous technologiques qui leur sont propres : Axe 1 – Très haute puissance crête (10 PW) grâce à l’Infrastructure de recherche Apollon ; Axe 2 – Haute puissance crête (> 10 TW) et moyenne (100 W) à haute cadence de répétition (100 Hz) au sein du Centre d’accélération laser plasma au LOA ;  Axe 3 – Très haute puissance moyenne (> 500 W) sur le projet XCAN.

Ainsi, les activités de R&D de ces trois axes permettront, en développant des briques technologiques innovantes, d’accroître et fiabiliser les performances des sources lasers, notamment en termes de puissance, d’intensité et de répétabilité. Certains champs d’application comme l’accélération d’électrons, avec une nouvelle classe d’accélérateurs, ou encore l’imagerie médicale à très haute résolution et le contrôle non destructif de soudures de très fortes épaisseurs, seront explorés.

CND : SGS lance une campagne massive de recrutements pour l’industrie nucléaire

Afin de maintenir la sûreté nucléaire des installations, les experts SGS ont pour mission de vérifier l’état de préservation des soudures, de s’assurer qu’elles ne se soient pas dégradées avec le temps. Selon la nature de l’opération, ces interventions sur site s’échelonnent de 3 à 8 semaines.

« Sachant qu’un arrêt mobilise entre 30 et 80 personnes sur un site en fonction de la nature de l’intervention, et que la durée de notre contrat est prolongée (de 6 à 8 ans et demi), il est nécessaire d’étendre nos ressources internes, précise Patrick Teixeira, directeur SGS France Division Industries. C’est pour cela que nous lançons une vaste campagne de recrutement ».

Au sein de la Business Unit Industries & Environment, les candidats rejoindront une équipe pluridisciplinaire regroupant plusieurs spécialistes dans les méthodes CND / END. Ils auront pour mission d’assurer les prestations techniques de contrôles/essais non destructifs sur les chantiers et de s’occuper de la mise en œuvre et de la rédaction de rapports techniques chez les clients.

Deux types de profils principalement recherchés

SGS France recherche à la fois des profils expérimentés et débutants. Les premiers devront justifier d’une solide expérience dans le contrôle non destructif (maîtrise des normes liées aux END/CND). Ils doivent également disposer de la certification EN ISO9712 CIFM sur une technique volumique (UT2 ou RT2) et/ou une technique surfacique (PT2 ou MT2).  

Quant aux profils débutants, ils doivent montrer l’envie d’apprendre et d’évoluer dans un environnement technique d’expertise, curieux de découvrir le monde de l’énergie décarbonée. SGS assurera ainsi les formations et les certifications.

Pour candidater, rendez-vous sur : https://bit.ly/3LisvF9