Un outil repère dans la production

Dans une approche « industrie 4.0 », One-Too fait un pas de plus en déployant sa nouvelle clé dynamométrique Moment Alpha ARGOS. Plus besoin de passer par un boîtier interface type tablette, l’affichage est embarqué sur la poignée et l’échange de données s’effectue directement sur le réseau client. Cette particularité garantie une meilleure fluidité et efficacité.

Deux années de recherche et développement ont permis l’élaboration d’un outil précis, fiable et traçable.

Moment Alpha ARGOS vient une fois de plus confirmer les objectifs de One-Too, apporter des solutions connectées sur-mesure pour l’industrie de demain.

Projet à venir…

On garde le rythme avec le tournevis connectée. Fonction existante sur la clé dynamométrique Too-One, Ce mode tournevis va être optimisé en un seul outil mono fonction. Ce tournevis aura une plage de 0.1 à 6 N.m, ce qui plaira aux métiers de la petite précision.

Simulation et essais virtuels : Utac entre au capital d’AVSimulation

Utac, groupe leader international dans les domaines de la mobilité annonce la conclusion de l’opération d’entrée au capital d’AVSimulation (filiale de Sogeclair, fournisseur de solutions innovantes à forte valeur ajoutée pour une mobilité plus sobre et plus sûre) à hauteur de 15%. AVSimulation est une filiale commune de Renault Group, Dassault Systèmes et d’Oktal (Sogeclair).

Cette entrée au capital d’AVSimulation, fournisseur leader de solutions de simulation automobile a pour objectif de proposer aux clients dans le monde entier une offre complète de scénarios de simulation reprenant les principaux protocoles d’essais réglementaires et consuméristes (NCAP). L’intégration de ces scénarios d’essais d’Utac au sein de SCANeR est une première et un véritable avantage compétitif pour ses utilisateurs, car ces essais réalisés par simulation sont très précis.

Avec ces scénarios, les utilisateurs du logiciel SCANeR studio d’AVSimulation et notamment les constructeurs automobiles et les équipementiers vont pouvoir évaluer les performances de leurs systèmes dès la phase de conception et tout au long du cycle de développement. Cela va contribuer à réduire notablement les temps et les coûts de développement et de mise au point des futurs véhicules et systèmes. Grâce à son expertise et à son importante base de données d’essais réalisés depuis plus de huit ans sur ses pistes et installations, Utac a pu développer et valider des scénarios dont le réalisme et la précision ont été corrélés avec les résultats obtenus sur piste.

Répondre aux référentiels en vigueur sur quatre continents : Europe, Amérique, Asie et Océanie

SCANeR est une plateforme de simulation à 360° ouverte, modulaire et respectueuse des standards industriels. Ainsi, SCANeR studio permet de créer et d’exécuter sur station de travail ou sur simulateur de conduite des scénarios ultra-réalistes (trafic, terrain, dynamique véhicule…) et est intégré dans la plateforme collaborative 3DExperience de Dassault Systèmes. Ceci permet une traçabilité complète tout au long du cycle en V entre les exigences client, le produit et les tests de validation/vérification. De son côté, SCANeR explore permet de générer automatiquement de millions de scénarios pertinents faisant varier l’ensemble de paramètres impactant les systèmes sous test.

« Cette prise de participation dans le domaine de la simulation correspond en tous points à notre stratégie de développement du groupe, dans les domaines du software et de la digitalisation, a déclaré Laurent Benoit, président exécutif d’Utac. Nous voulons offrir à nos clients internationaux des outils et des surtout des solutions pour les aider et les accompagner dans toutes les phases de conception, de développement et de validation de leurs véhicules ou systèmes. Depuis deux ans déjà, nous collaborions avec les équipes d’AVSimulation à travers différents projets et sommes ravis d’être dorénavant réunis. »

Une étude révèle que les tests automatisés représentent toujours un défi important pour les entreprises

Keysight Technologies, fournisseur de solutions de conception et de validation, a publié les résultats d’une étude internationale, réalisée par Forrester. Cette étude a permis de sonder des décideurs en matière d’opérations de test afin de dresser un état des lieux des stratégies et des technologies de test.

Ce rapport publié sous le titre Conquer Testing Complexities with Automation and Artificial Intelligence (AI) indique que l’automatisation gagne du terrain et que 75% des entreprises utilisent une combinaison de tests automatisés et manuels. Toutefois, seules 11% d’entre elles ont adopté une stratégie reposant entièrement sur l’automatisation. Le nombre de tests augmente lorsque la complexité augmente (77%) et sans l’automatisation, le développement des produits ralentit.

Selon Jeff Harris, vice-président, Portfolio and Global Marketing chez Keysight Technologies, « l’étude nous enseigne que les entreprises se sentent obligées de faire plus d’automatisation des tests, et cela particulièrement lorsqu’on les interroge sur l’avenir. Les stratégies manuelles ou partiellement automatisées ne permettent pas de répondre aux besoins actuels des entreprises, et faute de stratégie d’automatisation basée sur l’IA, ces dernières auront du mal à surmonter la complexité des tests. En outre, nous prévoyons que la pandémie de Covid-19 joue un rôle dans l’adoption du développement à distance et du séquençage automatisé des tests. Nous nous attendons également à une hausse du recours aux jumeaux numériques, car les équipes de développement s’efforcent de continuer à collaborer à distance. Chez Keysight, nous intégrons cette automatisation de l’intelligence à travers le flux de travail dans l’ensemble de notre portefeuille de produits logiciels pour répondre à ces besoins et faire progresser l’automatisation des tests et de la validation. »

De nombreux défis techniques à relever

Parmi les principaux défis techniques résultant de la complexité des tests, figurent la longueur des cycles, la détection précise des bugs et des problèmes, puis leur résolution. Ces problèmes ont un impact direct sur les performances de l’entreprise et sur le processus de développement des produits. Les personnes interrogées les ont ainsi classés par ordre d’importance :

  • 51% – Le risque de faille de sécurité
  • 48% – La hausse des dépenses
  • 42% – Le ralentissement de la mise sur le marché
  • 36% – Les produit défectueux
  • 34% – La perte de revenus

Néanmoins, les entreprises constatent que les stratégies de test manuelles ou partiellement automatisées ne suffisent pas à faire face à la complexité croissante des produits. Par conséquent, 45% des entreprises envisagent d’utiliser une approche entièrement automatisée au cours des trois prochaines années, soit une croissance de 409%. Plus de la moitié (52%) ont déclaré qu’elles s’intéressent à l’IA pour intégrer des séries de tests complexes, soit une croissance de 325%.

En passant à des stratégies de tests automatisés intelligents, les organisations espèrent en tirer des avantages. Parmi les améliorations opérationnelles attendues par les répondants, figurent l’augmentation de la productivité (59%), la capacité à simuler la fonction ou la performance d’un produit (54%) et l’automatisation ou la simulation de la correction des bugs pour gagner du temps sur les cycles de correction et de re-test (53%). Les répercussions commerciales attendues incluent une meilleure qualité des produits, ce qui accroît la satisfaction des clients (59%), la capacité de réduire les délais de commercialisation (50%) et des cycles de développement de produits plus agiles (50%).

De meilleurs indicateurs de réussite devenu le principal impact commercial

L’enquête révèle également que les améliorations techniques et opérationnelles qui figurent en tête des attentes des entreprises en matière d’IA sont la hausse de la productivité et la capacité à simuler le fonctionnement, les performances des produits et l’automatisation ainsi que la simulation de la correction des bugs.

Toutefois, la possibilité de mettre en place de meilleurs indicateurs de réussite est le principal impact commercial attendu des entreprises lorsqu’elle réalisent des investissements dans de nouvelles technologies de test telles que Automating Intelligence de Keysight, offrant aux clients un produit de meilleure qualité, la capacité de réduire le délai de mise sur le marché des produits, ainsi que des cycles de développement de produits plus agiles.

Dans le cadre de cette étude, Forrester a interrogé en ligne 406 décideurs en matière d’opérations de test dans des entreprises d’Europe, d’Amérique du Nord, d’Asie, afin d’évaluer les capacités de test actuelles et de connaître leur avis sur l’investissement dans l’automatisation (y compris l’IA). Les questions fournies aux participants portaient sur les environnements de test actuels de leurs organisations, les investissements futurs, les défis et les résultats attendus de l’automatisation des tests.

Alliance technologique entre le Cetim et le CEA pour démultiplier l’offre industrielle française dans l’hydrogène

Afin d’accélérer le déploiement de la chaine de valeur hydrogène en France, le CEA et le Cetim ont décidé d’allier leurs compétences, expertises et moyens pour une durée de cinq ans. Pour assurer la production d’hydrogène, sa distribution et son utilisation dans de multiples applications, il est en effet nécessaire d’adapter les produits et notamment les équipements fluidiques ; les tuyaux, réservoirs, compresseurs, pompes, détendeurs, réservoirs de toutes tailles, de tous matériaux et pour tous les environnements.

C’est pourquoi, à la demande des industriels du secteur, le Cetim se dote notamment d’un centre d’ingénierie et d’essais des matériaux, HyMEET (Hydrogen Material and Equipement Engineering and Testing Center), qui constitue le premier élément d’un plan ambitieux déployé sur les quatre prochaines années. Il s’agit de doter la mécanique française des moyens et des compétences pour assurer la maîtrise technologique des changements qu’impose l’utilisation de l’hydrogène sous ses formes gazeuse et liquide.

L’influence de l’hydrogène sur la tenue mécanique des aciers, bien que connue depuis plus d’un siècle, n’est pas encore maîtrisée tant en termes de mécanismes que de manière quantitative et prédictive. Dans le but d’améliorer ces aspects, le CEA a quant à lui développé de son côté des compétences au sein d’une plateforme spécifique, utilisant des moyens expérimentaux dédiés (essais mécaniques sous haute pression d’hydrogène, perméation d’hydrogène, éclatement de disques/tubes…) associés à des moyens de caractérisations microstructurales, de dosage de l’hydrogène dans les matériaux et de modélisation. Forts de ces compétences, le CEA a développé une expertise depuis plus de quinze ans au travers de projets institutionnels et industriels et de collaborations aussi bien au niveau national qu’international.

Interactions H2-matériaux : une nécessaire complémentarité entre les deux acteurs

Ainsi, en cumulant ces nombreuses années d’expérience au sein des équipes hydrogène et matériaux du CEA aux grandes capacités d’essais du Cetim, l’alliance propose d’offrir des solutions pour étudier finement le comportement des matériaux en présence d’hydrogène, qu’ils soient métalliques, polymères ou composites.

Leur caractérisation en environnement hydrogène via des protocoles dédiés sera l’un des piliers de ce début de collaboration qu’il s’agisse du comportement des alliages, des assemblages ou des soudures. Ces données sont des éléments essentiels pour assurer la durabilité et la fiabilité des composants et systèmes fonctionnant sous hydrogène.

Les deux parties envisagent parallèlement de lancer un volet numérique pour faciliter la compréhension des mécanismes de diffusion et d’impact dans les matériaux. Dans la dégradation des propriétés mécaniques des matériaux soumis à ce type d’environnement, plusieurs paramètres sont à prendre en compte. Qu’ils soient d’ordre métallurgique, physico-chimique, électrochimique, etc., de nombreuses difficultés associées à la prédiction et la prévention de l’endommagement sont donc rencontrées et rendent très difficiles l’identification des paramètres critiques sans cette approche innovante couplant outils numériques et développement de bancs dédiés.

« En associant nos expertises de pointe, dans le domaine des matériaux et de l’étanchéité, nous ouvrons ensemble la voie au développement d’une filière française de production de composants et systèmes hydrogène, indispensable pour compléter la chaine de valeur autour des développements d’électrolyseurs et de piles à combustible », précise Daniel Richet, directeur général du Cetim..

« Ensemble, nos deux organisations prolongent leur mission commune de soutien à la compétitivité de l’industrie française, ajoute François Legalland, directeur du CEA-Liten. Par l’offre inédite ainsi créée, nous avons trouvé le moyen d’accélérer et de déployer plus rapidement les futurs tests et essais nécessaires à la mise en place d’une filière au cœur de la mobilité propre à grande autonomie et du développement d’industries à faible émission de carbone ».

Le CNRS lance une nouvelle interface de recherche et d’innovation sur l’uranium

Le CNRS, l’université de Lorraine, et Orano, opérateur international dans le domaine du nucléaire, unissent leurs expertises en créant le laboratoire commun Cregu, nouvelle interface de recherche sur l’uranium à Nancy. L’objectif est de développer, ensemble, des approches et des procédés plus performants pour la découverte et l’exploitation de nouvelles ressources en uranium, matière première du nucléaire.

Dans un objectif d’adaptation permanente aux enjeux industriels et scientifiques, le CNRS, l’Université de Lorraine et Orano ont choisi de créer un laboratoire commun (LabCom), capitalisant sur plus de quarante années de collaboration scientifique. Baptisé Cregu, et positionné au cœur de l’écosystème nancéien de recherche et de formation, il s’appuiera sur l’expertise du laboratoire GeoRessources (CNRS/Université Lorraine). Un véritable atout puisqu’il pourra ainsi disposer de son savoir-faire historique, mais également de ses collections d’échantillons, de ses données, et de ses plateformes analytiques parmi les plus performantes du pays.

Bâtir une stratégie de développement commune

«Pour Orano producteur d’uranium et industriel responsable, le développement de nouvelles thématiques de recherche sur l’uranium en lien avec ses activités est essentiel. Mutuellement bénéfique pour ses trois partenaires, le LabCom Cregu va étendre les thématiques partagées au-delà de la géologie en y intégrant les technologies numériques ou l’hydrométallurgie et bâtir une stratégie de développement commune », explique Nicolas Maes, président d’Orano Mining.

Les travaux du Cregu seront structurés en cinq axes de recherches, visant à améliorer la connaissance des gisements d’uranium, afin d’augmenter les probabilités de découvertes, de développer de nouveaux outils de caractérisation et de modélisation, et d’optimiser les procédés industriels de traitement des ressources minérales issues du sous-sol et du recyclage. Pour atteindre ses objectifs, il s’appuiera sur une équipe de près de trente personnes, rattachés aux différents partenaires que sont le CNRS, l’Université de Lorraine et Orano. Il aura également pour vocation de devenir un outil de formation par la recherche, notamment grâce à l’implication de nombreux étudiantes et étudiants en master et doctorat.

dB Vib E-Lab, nouvelle filiale dB Vib Consulting !

En 2011, dB Vib Consulting inaugurait son laboratoire d’essais aux vibrations et n’a cessé de développer ses capacités d’essais pour répondre aux besoins croissants des industriels en matière d’essais environnementaux (vibrations, thermique, pression…).

En effet, outre la réalisation de tests, les industriels ont des besoins plus larges tels que l’assistance à la définition des spécifications d’essais ou la conception et réalisation des outillages d’essais. Aujourd’hui, dB Vib Consulting qui s’attache à répondre à l’ensemble de ces besoins, donne son envol à cette activité en créant sa filiale dB Vib E-Lab. Cette création permettra un recentrage sur les processus métiers des activités de laboratoire, et la mise en place d’un système de management qualité intégré et entièrement dédié pour répondre aux exigences de l’ISO 17025.

Pour en savoir plus sur nos capacités d’essais, veuillez cliquer ici.

Tests et mesure hautes fréquences : partenariat entre Trescal et le fabricant suisse AnaPico

Trescal vient de conclure un partenariat avec AnaPico, fabricant Suisse d’instruments de test et de mesure hautes fréquences. Ce rapprochement permet de réaliser la vérification et le correctif du matériel AnaPico chez Trescal France dont le système de management de la qualité répond à l’ensemble des exigences de l’ISO/IEC 17025. La durée d’immobilisation des appareils et les coûts de transfert se voient ainsi réduits.

Accord entre Trescal et AnaPico : une première entre un fabricant et un expert en services d’étalonnage

Trescal a investi dans des étalons et mis en place les procédures de vérification nécessaires. En complément, l’agence de Trescal Toulouse a déployé le logiciel AnaPico de diagnostic et d’ajustage des générateurs haute fréquence comme les APSIN, APULN, APSYN, APMS, et formé ses techniciens à l’outil.

Directeur technique chez Trescal France, Thierry Feuvrier souligne que « cet accord est une première entre un fabricant et un expert en services d’étalonnage. Il témoigne de l’expertise de Trescal dans le domaine de la vérification des analyseurs de bruit de phase et des générateurs hautes fréquences. La caution Trescal est un gage de qualité pour nos clients qui profiteront de nos investissements importants réalisés, en particulier dans la mesure du bruit de phase ».

Partenariat entre le Cerib et Eurailtest pour améliorer la sécurité incendie des infrastructures et véhicules ferroviaires

Gilles Bernardeau, directeur général du Cerib, et Franck Poisson, administrateur d’Eurailtest, ont signé le 30 juin un contrat de partenariat. Objectif ? Proposer aux industriels et entreprises du domaine ferroviaire une expertise globale de la sécurité incendie. Celle-ci fonctionnera via un guichet unique réaction et résistance au feu.

Le Centre d’essais au feu (CEF) du Cerib, et ses trente-cinq spécialistes, est un acteur international de premier plan de l’ingénierie de la sécurité incendie. Son laboratoire de résistance au feu est accrédité par le Cofrac selon la norme NF EN ISO 17025 (portée disponible sur www. cofrac.fr) et agréé par le ministère de l’Intérieur.

Eurailtest est une organisation indépendante, créée pour proposer les services et l’expertise des laboratoires des deux opérateurs de chemin de fer historiques (RATP et SNCF). Le Laboratoire Essais et Mesures de la RATP (LEM), membre du GIE Eurailtest, est accrédité par le Cofrac notamment pour ses activités de réaction au feu.

Un guichet unique pour le comportement au feu

Cette collaboration entre un laboratoire de réaction au feu (LEM de la RATP) et un laboratoire de résistance du feu (CEF du Cerib), dans le cadre d’une offre portée par Eurailtest, permet à l’ensemble des acteurs du secteur ferroviaire d’évaluer et certifier le comportement au feu de leurs produits.

Par ce partenariat, les moyens d’essais au feu des deux laboratoires deviennent complémentaires, avec une offre globale capable de couvrir toutes les exigences en matière de sécurité incendie au sens des normes NF EN 45 545.

Cette collaboration permet de proposer, à travers un guichet unique, des prestations complètes, assemblées, au plus près des besoins des entreprises et des industriels du secteur ferroviaire. Cette nouvelle offre globale commercialisée par Eurailtest renforce son positionnement sur le marché du comportement au feu et de l’Ingénierie de la Sécurité Incendie (ISI).

Exemples de réalisations

Les niveaux d’exigences de résistance au feu dépendent de la catégorie d’exploitation, de la catégorie de conception et de leurs emplacements dans le véhicule et sont régis par le Règlement (UE) n° 1302/2014 de la Commission du 18 novembre 2014 (Spécifications techniques d’interopérabilité – STI).

Parmi les exemples de réalisations communes, citons les éléments de compartimentage des véhicules ferroviaires, tels que les cloisons séparant une cabine « conducteur » et un espace voyageur, les boîtiers électroniques à usage ferroviaire, les portes, les locaux techniques, les planchers intermédiaires, etc.

L&T Technology Services ouvre un centre de conception technique en France

L&T Technology Services, l’une des principales entreprises mondiales de services d’ingénierie, a inauguré son centre de conception technique de Toulouse. Objectif ? Répondre aux besoins des secteurs mondiaux de l’aérospatial et de la défense en matière de transformation numérique et de technologies de nouvelle génération.

Le nouveau centre de conception technique de LTTS sera dédié au développement de solutions de pointe. Il travaillera avec les principaux équipementiers de la région en tant que partenaire d’ingénierie.

Le centre proposera des solutions clé en main pour la conception et la fabrication, grâce à une expertise en ingénierie numérique, en ingénierie des systèmes et en conception avionique. LTTS prévoit d’embaucher plus de 100 ingénieurs au cours des deux prochaines années pour le centre.

Faire du nouveau centre de Toulouse une référence en matière de solutions durables

LTTS continuera d’investir pour développer le nouveau centre de Toulouse et en faire une référence sur les solutions durables de nouvelle génération, telles que les systèmes avioniques et les solutions numériques permettant aux compagnies aériennes d’offrir les meilleures performances opérationnelles et la meilleure expérience à leurs clients. Le centre incubera également des solutions d’ingénierie dans d’autres domaines, comme les solutions numériques pour les usines, la production et la distribution d’hydrogène, afin de répondre aux besoins du marché intérieur.

LTTS est un partenaire stratégique d’Airbus en Inde depuis plus de dix ans, fournissant des services d’ingénierie dans des domaines tels que la conception technique, l’avionique et le numérique, ce qui lui a valu d’être sélectionné comme ingénieur, ingénieur manufacturier et fournisseur de services d’ingénierie client de référence pour Airbus. LTTS étend aujourd’hui ce partenariat en s’implantant à Toulouse, où son nouveau centre fournira des services d’ingénierie clé en main pour Airbus et sa chaine d’approvisionnement.