Vers de nouvelles collaborations recherche-entreprise pour développer les batteries performantes de demain

Dans un contexte de transition vers le tout électrique, développer la prochaine génération de batteries représente un enjeu très important. Dans ce domaine, l’avenir appartient aux batteries tout solide dont les objectifs majeurs sont d’augmenter la densité d’énergie pour améliorer l’autonomie des véhicules. Ces objectifs sont aussi de permettre de réduire le temps de recharge tout en offrant une sécurité optimale.

Afin d’accélérer ces développements, deux collaborations stratégiques viennent d’être lancées entre l’entreprise Blue Solutions, filiale du groupe Bolloré, pionnière dans les batteries tout solide qu’elle fabrique à une échelle industrielle en France et au Canada, et des acteurs de la recherche académique à savoir le CNRS, Grenoble INP – l’Université Grenoble Alpes (UGA) et Nantes Université.

Atteindre 400 laboratoires dans les quatre années à venir

Pour Richard Bouveret, président de Blue Solutions, cette nouvelle étape de collaboration entre Blue Solutions et ces laboratoires de référence va encore davantage « faire progresser ensemble des sujets scientifiques ambitieux et fondamentaux sur les batteries solides. Il est essentiel d’accélérer la R&D entre les meilleurs talents du monde académique, et les chercheuses et les chercheurs de notre organisation qui connaissent les problématiques extrêmement complexes des interactions entre les nombreux matériaux qui composent une batterie et qui conditionnent sa performance. Ces laboratoires communs travaillant de concert avec nos 150 chercheurs en France au Canada et aux Etats-Unis, vont nous permettre de lever les derniers verrous scientifiques et de mettre sur le marché dès 2028 une nouvelle génération de batterie Lithium métal tout solide répondant aux performances exigées en particulier par les constructeurs automobiles ».

Antoine Petit, président-directeur général du CNRS, souligne quant à lui que « la création de ces deux laboratoires communs est le fruit d’une relation de confiance tissée dans le temps avec Blue Solutions et nos partenaires académiques tant à Grenoble qu’à Nantes. Ils illustrent complètement la politique du CNRS de développement des laboratoires communs, cette forme de collaboration pérenne entre le monde académique et le monde économique. Nous en comptabilisons plus de 225 en activité, avec des entreprises de toutes tailles. Notre ambition est d’en avoir 400 d’ici quatre ans afin de répondre aux besoins scientifiques exprimés par nos partenaires économiques. Ces nouveaux labcoms travailleront sur l’optimisation des batteries tout solide, un sujet majeur et prometteur, en particulier dans le secteur des transports. »

Une visualisation performante pour une interface Homme-Machine

Spécialiste de la visualisation de contenu 2D et 3D, 3DViewStation s’adapte rapidement aux exigences et à l’environnement de chaque client. La solution est disponible en version Desktop, WebViewer, VR et serveur de conversion.

Aujourd’hui, de nombreuses machines industrielles sont équipées d’écran de contrôle, parfois tactile. L’intégration de notre solution de visualisation 3DViewStation ouvre de nouvelles possibilités en affichant les modèles 3D, rendant l’interface plus attrayante et plus efficace.

3DViewstation est avant tout une solution de visualisation intuitive et simple à utiliser ; la solution se décline en plusieurs produits avec des API communes pour une intégration avancée. Dans un cas concret où une machine signale une erreur avec un code, voici comment 3DViewStation peut améliorer le processus d’identification et de résolution du problème.

Où est le problème ?

Un modèle 3D complet de la machine est affiché. En cas d’erreur, tous les composants sont affichés en transparence et le capteur défectueux est mis en surbrillance de manière claire. L’utilisateur peut zoomer pour mieux situer le problème.

Le capteur est-il défectueux ?

En cliquant sur la géométrie 3D, l’état du capteur peut à nouveau être testé en temps réel. L’utilisateur a accès en un clic à la chronologie ou à l’historique et peut vérifier la cause de l’échec. Après analyse, l’utilisateur a pu conclure que le matériel est défectueux. La prochaine étape consiste donc à le remplacer.

La pièce détachée est-elle disponible ?

De nombreuses machines sont aujourd’hui connectées à l’intranet et parfois à Internet. Grâce aux métadonnées stockées dans le modèle 3D, il est désormais possible de vérifier rapidement si le capteur est en stock ou le commander.

Toute l’information au bout des doigts

Toute la documentation relative à la résolution d’un problème peut être visualiser dans 3DViewStation : des instructions au format PDF ou des modèles 3D avec des vues explosées ou des animations de montage et de démontage par étape.

À l’ère de l’industrie 4.0 et de l’IoT, il est également possible d’exploiter une solution centralisée surveillant et contrôlant plusieurs machines simultanément. Les techniciens peuvent être alertés directement sur leurs smartphones en bénéficiant de graphismes 3D rapides et intelligents.

EN SAVOIR PLUS

Jean-Louis Bougrenet de la Tocnaye, d’IMT Atlantique, lauréat du Grand Prix IMT-Académie des sciences

Le 22 novembre dernier, l’Académie des sciences a remis lors d’une cérémonie qui s’est déroulée  sous la coupole de l’Institut de France à Paris, l’ensemble des prix et médailles qu’elle a attribués cette année. Cet événement a notamment récompensé les travaux de recherche de Jean-Louis de Bougrenet de la Tocnaye, directeur du département Optique d’IMT Atlantique.

Spécialiste du traitement optique de l’information et de la diffraction, le professeur Jean-Louis Bougrenet de la Tocnaye consacre désormais son activité de recherche à la vision humaine et à l’ingénierie des matériaux et composants intelligents. Ses travaux portent sur une nouvelle génération de prothèses et assistants visuels cybernétiques, à partir de lentilles de contact instrumentées et appliqués à la restauration visuelle et au développement de dispositifs de vision augmentée bioembarqués.

Supercalculateurs : Atos et IQM s’associent dans la simulation quantique

Atos et IQM annoncent aujourd’hui la signature d’un partenariat visant à fournir des technologies et des capacités d’informatique quantique de bout en bout, dans le cadre de la stratégie de calcul hybride du groupe. Alors que le marché se tourne vers des applications réelles de calcul quantique, ce partenariat verra l’intégration du processeur quantique (QPU) d’IQM dans la QLM d’Atos et, plus largement, dans la plateforme de développement d’applications quantiques d’Atos.

Cette proposition unique sur le marché permet aux clients de programmer de manière fluide leurs applications d’informatique quantique et de les exécuter dans l’environnement QLM en émulant parfaitement toutes les caractéristiques du matériel quantique cible (topologie, jeu de portes, modèle de bruit). Ce faisant, les clients peuvent ensuite exécuter directement ces applications sur le hardware quantique d’IQM, sans avoir à les modifier.

La stratégie exascale d’Atos utilisera les technologies d’intelligence artificielle et d’’informatique quantique comme accélérateurs des flux de travail HPC traditionnels, afin de réduire le temps de résolution et l’empreinte énergétique. À cette fin, les supercalculateurs utiliseront la plateforme de développement d’applications quantiques QLM d’Atos comme passerelle vers les ressources de calcul quantique (matériel émulé ou réel) dans les flux de travail de calcul hybride. Avec une capacité d’émulation allant jusqu’à 41 Qubits, l’environnement de programmation d’applications QLM d’Atos aidera ses clients à développer des applications hybrides, en utilisant les trois paradigmes du calcul quantique (les systèmes à portes, à recuit ou analogique), en association avec le QPU d’IQM qui offre 20 Qubits aujourd’hui et jusqu’à 50 Qubits engagés d’ici 2023.

Fournir les meilleurs résultats possibles

En 2020, IQM a été sélectionné pour intégrer Scaler, le programme d’accélération d’Atos dédié à l’open innovation pour les start-up et les PME. Scaler a lancé la coopération entre l’équipe de R&D quantique d’Atos et les laboratoires d’IQM pour coupler étroitement le QLM d’Atos et la gamme de QPU d’IQM, afin de fournir les meilleurs résultats possibles à leurs clients communs.

Cette relation de long-terme a également favorisé plusieurs programmes de recherche en Europe, dont le plus récent entre IQM, le Leibniz Rechenzentrum (LRZ) et Atos, dans le but d’accélérer les supercalculateurs en utilisant des technologies hybrides de calcul scalaire/quantique, dans le cadre du projet Q-Exa.

Emmanuel Le Roux, SVP, directeur Monde HPC, IA et Quantique d’Atos a déclaré : « Nous sommes heureux de renforcer notre relation avec IQM afin de proposer à nos clients les meilleures technologies de calcul quantique de leur catégorie pour préparer l’avenir. Le groupe Atos est convaincu que les plateformes hybrides sont la pierre angulaire de toutes les futures simulations numériques, notamment avec l’accélération du quantique. Avec ce partenariat, Atos deviendra un intégrateur à valeur ajoutée de confiance d’IQM, avec la capacité non seulement de commercialiser et d’installer les QPU d’IQM chez les clients, mais aussi de les intégrer dans un environnement de calcul hybride plus complexe. Cela s’inscrit dans notre stratégie de calcul hybride vers l’exascale, dévoilée en février 2022 avec l’ annonce de notre nouveau supercalculateur BullSequana XH3000. »

Le Cetim annonce la création de Lama, un laboratoire commun dédié à la maîtrise des assemblages

Le Cetim, institut technologique labellisé Carnot, a annoncé mi-novembre la création du Laboratoire de maîtrise des assemblages (Lama). Ce laboratoire commun a pour but de renforcer les synergies existantes depuis quelques années entre les académiques et le Cetim et de conduire des projets de R&D dédiés aux assemblages mécaniques, au collage et aux assemblages « hybrides collage/mécanique ». Il prévoit la collaboration dans des programmes de recherche communs, la mise en place d’équipe de recherche commune, le partage de moyens et de services.

Professeur à l’Institut national des sciences appliquées de Toulouse (Insa), Alain Dadié occupera la fonction de responsable du laboratoire.

« Pour le Cetim il est fondamental de renforcer l’impact de sa R&D sur le tissu industriel et sur les PMI. Nous avons organisé un processus collaboratif et un continuum entre nos équipes et les acteurs du monde académique. Nous assurons ainsi une parfaite assimilation des résultats de recherche et les mettons en œuvre dans nos propres travaux », déclare Fabien Lefebvre, conseiller scientifique du Cetim.

Renforcer l’impact de sa R&D sur le tissu industriel et les PMI

Lama est le dixième laboratoire commun qui consolide les liens du Cetim avec la recherche académique afin de mettre à la disposition des entreprises des outils concrets permettant d’appliquer les résultats de travaux scientifiques avancés…

« Le choix de confier aux laboratoires scientifiques les activités de recherche  »plus amont » permet de concentrer les compétences et les moyens sur les travaux de recherche appliqués et expérimentaux et d’optimiser le transfert au profit des industriels. Ces collaborations participent également au ressourcement scientifique de nos équipes », ajoute Fabien Lefebvre.

L’IRT Jules Verne inaugure son nouveau siège, dix ans après sa création

Dans un contexte de forts enjeux pour l’industrie manufacturière, l’Institut de recherche technologique (IRT) Jules Verne a inauguré le 17 novembre Nautilus, son nouveau siège social de 7 000 m2, dont 4 000 de surfaces technologiques. Un bâtiment à la pointe dédié à l’innovation technologique dans le domaine des technologies de fabrication.

Le 5 mars 2012, initiée par le pôle EMC2, la Fondation de coopération scientifique IRT Jules Verne naissait par décret et devenait le premier institut de recherche technologique à démarrer son aventure. L’IRT Jules Verne se positionnait dès lors sur le manufacturing1 et œuvrait pour la compétitivité des usines des grandes filières industrielles françaises.

C’est aujourd’hui, à bord du bâtiment Nautilus, que l’IRT Jules Verne peut désormais faire face à la croissance de ses activités R&D et de ses effectifs. D’ici 2025, ce sont 165 chercheurs et collaborateurs travaillant sur les technologies dédiées au manufacturing qui seront rassemblés dans ce bâtiment de 3 000 m2 de surfaces tertiaires et de 4 000 m2 de halles techniques.

Situé au cœur du pôle industriel et d’innovation Jules Verne, un des premiers campus de recherche et d’innovation en France dédié au manufacturing, à proximité de l’aéroport de Nantes, ce nouveau bâtiment permet de favoriser le travail collaboratif entre les équipes de l’IRT et de ses partenaires sur les projets R&D tout en disposant d’un environnement industriel de pointe.

L’ambition de devenir une vitrine de l’écosystème du manufacturing

En une décennie, l’IRT Jules Verne est devenu une référence de la recherche technologique dans le domaine du manufacturing. Acteur clef au service de plusieurs filières en pointe telles que l’aéronautique, le naval et l’éolien, l’institut a démontré sa capacité à fournir des innovations et des solutions technologiques aux entreprises dans les domaines des procédés composites et métalliques, de la robotique et la cobotique, de la modélisation et de la simulation des process, et du contrôle et de la surveillance des procédés.

L’institut de recherche entend désormais accélérer sa contribution au développement d’une industrie durable et écoresponsable avec des services de recherche & de développement répondant aux enjeux des entreprises manufacturières en matière notamment de décarbonation, de digitalisation et de souveraineté technologique.

L’IRT Jules Verne travaille sur des projets R&D nationaux et européens avec une vocation forte : renforcer la compétitivité des usines en France. Avec ce nouveau siège qu’est Nautilus, l’IRT s’affirme désormais comme l’une des pierres angulaires du pôle industriel d’innovation Jules Verne qui vise à regrouper sur un lieu unique un ensemble important de forces vives, d’entreprises, de centres de recherche et d’établissements de formation.

Il s’ancre dans le projet d’ensemble porté par la Région des Pays de la Loire et de Nantes Métropole visant à faire du territoire une référence nationale et internationale dédiée au manufacturing. Cette ambition collective a déjà donné naissance aux Technocampus Composites et Océan sur la zone de l’aéroport de Nantes et s’appuie également sur un véritable réseau de plateformes à l’échelle régionale.

JTR de la Cofrend le 8 décembre sur l’automatisation des CND

Le 8 décembre, la Cofrend organise à Thionville-Yutz une journée technique consacrée à l’automatisation des CND dans l’industrie. Il s’agit d’un « vaste sujet pour les entreprises tournées vers le futur et qui souhaitent « digitaliser » leurs procédés de production, justifie-t-on au sein de la Cofrend. Que ce soit en cours de fabrication ou au parachèvement, l’automatisation des contrôles n’est pas évidente à intégrer dans le processus et l’on peut- être très rapidement confronté à de nombreux problèmes et obstacles : lors de développement de système robotisé, dans les endroits difficiles d’accès, ou encore dans le domaine du contrôle en ligne ».

Ainsi se pose la question de savoir si l’on peut aujourd’hui disposer d’un processus de contrôle entièrement automatisé depuis la réalisation jusqu’à l’interprétation et la décision finale. C’est pourquoi le Comité Est de la Cofrend a décidé d’organiser cette « JTR », laquelle se déroulera en deux parties : d’une part, la matinée dédiée aux exposés d’experts dans le domaine et d’une mini exposition le temps des pauses et du déjeuner. D’autre part, l’après-midi quant à lui consacré à la visite de deux sites. Il s’agit des plateformes recherche et développement du groupe Institut de soudure, à Yutz, et du site de Saarstahl à Hayange, leader dans la production de rails.

Pour toutes informations complémentaires et inscriptions, suivre ce lien : JTR 08/12 Thionville

Acquisition : Bowen met la main sur Novimet et se renforce dans les radars « métiers »

Dans le cadre de son développement vers la réalisation de produits radiofréquence complexes, Bowen acquiert la société Novimet. Cette société est experte dans le domaine des radars météorologiques, notamment dans les traitements pour la détection et la quantification précise des hydrométéores dans les couvertures nuageuses. Créée en 2013 sur la base de brevets de recherche du CNRS déposés par son fondateur Jacques Testud, polytechnicien chercheur ancien chef du service Météorologique du Latmos-CNRS, Novimet fournit et installe dans le monde entier des radars d’observation et de prévisions météorologiques.

Les traitements doubles polarisations associés à des algorithmes experts de quantification précises et géolocalisées des précipitations font de Novimet une référence mondiale. Par cette acquisition, Bowen complète sa gamme de solutions radars « métiers » à très forte valeur technologique: Radar Passifs, Radars de Détection, Radars de Défense et enfin Radar Météo dans les bandes L, X et W.

Devenir le leader des radars méteo en France

Bowen devient ainsi le leader des radars méteo en France et consolide ses solutions dans les traitements avancés utilisant de l’intelligence artificielle (IA). Le groupe installé aux Ulis travaille en collaboration avec les grands laboratoires français pour proposer de nouvelles générations de radars « métiers » surface-air et surface mer, ou embarqués sur aéronefs, navires, missiles et satellites avec des offres multitraitements qui permettront de combiner observation, surveillance et détection.

Wika certifié selon la norme nucléaire ISO 19443

Wika a été certifié par TÜV SÜD conformément à la nouvelle norme de gestion de la qualité ISO 19443:2018 pour les projets nucléaires civils.

En tant que fabricant d’instruments de mesure avec une large gamme de produits et de solutions nucléaires pour la mesure de pression, de température et de niveau, Wika est la première entreprise en Allemagne, et la quatrième dans le monde, à obtenir cette certification de qualité.

Grâce à ses process conformes à la norme ISO 19443, les audits des clients pour la qualification en tant que fournisseur de l’industrie nucléaire peuvent être considérablement réduits.

Laurent Mulley rejoint l’Executive Board du groupe Endress+Hauser

Avec le départ à la retraite de Nikolaus Krüger, Chief Sales Officer, Laurent Mulley prendra la tête des activités de ventes et de services au niveau mondial d’Endress+Hauser. Nikolaus Krüger, Chief Sales Officer, prendra sa retraite à l’âge de 63 ans à la fin de l’année. Il sera remplacé à compter du 1er janvier prochain par Laurent Mulley, 54 ans, à ce jour directeur général d’Endress+Hauser France, spécialiste de l’instrumentation de mesure.

Nikolaus Krüger, mécanicien industriel de formation, a commencé sa carrière chez Endress+Hauser Allemagne en 1988. Au cours de sa carrière, il a acquis des compétences complémentaires en marketing et vente et a suivi avec succès des formations en gestion en Allemagne et à l’étranger. Il a rejoint la holding de Reinach en 1999 et a pris la responsabilité du marketing. Depuis 2008, il est membre de l’Executive Board responsable des activités de ventes et de services au niveau mondial.

Une succession en interne

Laurent Mulley reprendra la charge des activités de ventes et de services au niveau mondial en janvier 2023, soit plus de 6 000 collaborateurs sous sa responsabilité. À ce titre, il rend compte au Chief Operating Officer, le Dr Andreas Mayr. « Laurent Mulley possède une vaste expérience professionnelle, une forte orientation commerciale et connaît parfaitement l’univers d’Endress+Hauser, a déclaré le Dr Andreas Mayr. En tant que Chief Sales Officer, il donnera de nouvelles impulsions tout en assurant la continuité. »

Laurent Mulley est diplômé en physique, ainsi qu’en marketing et en vente. Il a également suivi les programmes MBA de l’ICN Business School Nancy et de l’EM Strasbourg tout en assumant ses responsabilités professionnelles. Il a rejoint Endress+Hauser France en 2012 et en a pris la direction générale en 2016, développant avec succès le centre de vente.