Malgré un environnement économique incertain, PTC enregistre un bon deuxième trimestre avec une marge opérationnelle de 20% et un chiffre d’affaires de 315 millions de dollars. Ce chiffre d’affaires est en hausse de 4% par rapport au même trimestre de l’année précédente.

Ce chiffre d’affaires se situe au milieu de la fourchette de prévisions. Les ventes de licences sont en hausse de 7% en glissement annuel (9% à taux de change constant). Comme au premier trimestre, PTC enregistre une bonne performance dans le domaine du SLM (Service Lifecycle Management) particulièrement autour de l’offre Servigistics. Le Japon et la région Asie Pacifique ont enregistré de bons résultats, en revanche, pour les zones Europe et Amériques le contexte macro-économique a pesé sur les performances.

Par rapport au premier trimestre 2013, on notera une amélioration des performances de PTC sur les ventes de solutions de CAO et de PLM même si, l’environnement macro-économique et la croissance internationale ralentie, continuent d’avoir une incidence sur le taux de signatures de contrats d’envergure.

Enfin, au cours de ce deuxième trimestre, la signature de contrats significatifs s’est révélée constante, et l’activité Services a reflété le maintien d’une forte activité de mise en oeuvre des solutions d’entreprise, en revanche les ventes de licences seules sont restées en berne. Au cours du 2ème trimestre, PTC a noué ou renforcé des partenariats commerciaux avec des entreprises prestigieuses comme Airbus, Astrium, Cummins, MAN Truck and Bus, la NASA, NEC, Thales et l’Armée Américaine.

Source : https://fr.ptc.com

La nouvelle version de MotionDesk, l’outil de visualisation testé et éprouvé de dSPACE, est plus rapide, plus pratique et peut être utilisée pour développer et tester les systèmes mécatroniques intelligents les plus avancés – en particulier pour les systèmes d’aide à la conduite (ADAS) de pointe.

Les systèmes d’aide à la conduite doivent être testés pour la plupart des situations complexes auxquelles ils sont destinés. Dans la réalité, la reproduction de ces conditions reste dans tous les cas difficile ou onéreuse. La simulation dans un monde virtuel permet le test systématique des fonctionnalités du système dans des scénarios complexes et dans des situations exactement reproductibles.
Les systèmes modernes d’aide à la conduite reçoivent des données déterminantes provenant de caméras installées dans le véhicule.

Quand les tests Hardware-in-the-Loop (HIL) sont effectués pour ces systèmes d’aide à la conduite basés sur caméras, les caméras exigent une simulation visuelle réaliste de l’environnement du véhicule. La visualisation doit être suffisamment réaliste afin que les caméras reconnaissent correctement les objets.

Guidage optimisé de l’utilisateur

Le nouveau MotionDesk présente une utilisation plus intuitive. Toutes les opérations importantes, comme par exemple la création de scènes en 3D, peuvent être effectuées avec cet outil, bien souvent par simple glisser-déplacer des objets d’une bibliothèque 3D intégrée.

Grâce à la nouvelle librairie d’objets 3D étendue, les utilisateurs peuvent définir des scènes de façon rapide et efficace en sélectionnant et en positionnant simplement ces objets 3D. Un navigateur avec recherche par mots clés aide les utilisateurs à trouver facilement les objets dans la bibliothèque. Le nouvel Editeur de scènes 3D de MotionDesk accélère et augmente l’efficacité du développement de scènes en 3D. Une fois l’objet 3D trouvé, l’utilisateur n’a plus qu’à le déplacer dans la scène où il s’intègre immédiatement à l’emplacement voulu.

Source : https://www.dspace.com/fr

« Tout ce que je simule dans le logiciel, je l’obtiens tel quel sur la guitare ». C’est par ces mots qu’Aristides Poort, un ingénieur passionné de rock résume son rêve : celui de créer la guitare parfaite. Un rêve devenu réalité grâce à plusieurs facteurs : la pugnacité de son concepteur, l’aide apportée par l’université technique de Delft (Pays-Bas) et un outil précieux, le logiciel PTC Creo Parametric. Un savoureux mélange de culture, de design et d’ingénierie qui a permis de mettre au point un instrument hors du commun et d’entrer dans la légende.

Concevoir la guitare au son parfait, avec un « sustain » plus long, nécessite avant tout de repenser l’instrument. Tout d’abord, il a fallu pour Aristides Poort se libérer d’une contrainte inhérente au matériau habituellement utilisé dans la fabrication d’une guitare : le bois et sa structure fibreuse qui détermine le sustain. Ces fibres présentent en effet des limites pour atteindre les propriétés phoniques idéales. Aristides a ainsi mis au point avec l’université de Delft un matériau totalement inédit. Baptisé Arium, ce matériau sans fibre permet au son de se propager plus librement.

La première étape franchie, encore fallait-il pour concevoir la guitare parfaite, pouvoir la fabriquer pour lui donner vie. C’est là que PTC Creo Parametric entre en jeu. L’intérêt de cette solution logicielle étant de simuler un maximum de paramètres au plus près de la réalité dans le but d’optimiser à la fois le temps et les coûts de conception, mais également les phases de test et les étapes de la production, allant du moulage de la matière au produit fini.

La phase de production a consisté à fabriquer un seul et même moule en aluminium pour la caisse et le manche. Ce moule est essentiel pour parvenir à produire la guitare en une seule pièce de manière à obtenir la meilleure résonance et une ergonomie parfaite. Celle-ci a d’ailleurs été optimisée grâce aux nombreux avis de guitaristes professionnels. Les modifications de chacun étaient automatiquement apportées au paramétrage du logiciel qui recalculait directement l’échelle et l’angle de la guitare. Ainsi, Aristides Poort, avec l’aide de l’ingénieur et designer industriel Nout van Heumen, a développé un prototype avec PTC Creo, grâce auquel les phases de tests et de modifications de la structure même de l’instrument, qui exigeaient du temps et des efforts considérables, ne prennent désormais que quelques minutes avec PTC Creo Parametrics.

Le logiciel de simulation permet de visualiser la future guitare à partir du modèle, dans n’importe quelle position, et d’ajouter une infinité de paramètres à l’instrument ; le système calcule immédiatement les nouvelles données et leurs incidences sur l’ergonomie et le son. Il n’y a aucune différence entre le modèle informatique et la vraie guitare. Les paramètres ont, en tout point, été pris en compte. Un véritable atout pour les guitaristes auquel s’ajoutent des gains de temps significatifs en production.

Musicalement, qui de mieux que l’un des membres du groupe néerlandais Delain pour tester l’Aristides 010 ? Timo Somers semble apprécier tout particulièrement le revêtement mate de la guitare, permettant une prise parfaite de l’instrument. Mais le guitariste est aussi et surtout stupéfait par le dynamisme de la guitare, passant instantanément d’un morceau calme au son suave à des solos hard-rock, rappelant un peu à sa manière le passage rapide du rêve d’Aristides Poort à la réalité.

Source : https://www.aristidesinstruments.com/

Dans le cadre de sa mission d’accompagnement de la filière construction face aux nouveaux défis de la construction durable, le Centre Scientifique et Technique du Bâtiment (CSTB) a inauguré fin mars Vulcain, grand équipement de recherche pour la résistance au feu des structures innovantes. Cette nouvelle plateforme de recherche dédiée à la sécurité incendie, sur le site du CSTB Marne-la-Vallée, ouvre de nouvelles perspectives scientifiques et techniques pour les acteurs de l’innovation, à l’échelle internationale.

Les nouveaux enjeux techniques, économiques et environnementaux du bâtiment inscrivent la filière dans un contexte inédit de fortes mutations et d’exigences accrues : urgence de la rénovation du parc bâti, amélioration des performances énergétiques dans le neuf comme dans l’existant, renforcement des besoins de compétitivité des entreprises françaises.

Cette nouvelle donne impose une adaptation profonde des acteurs, dans la manière de construire et dans le développement d’innovations toujours plus performantes, ce qui impacte directement la sécurité des ouvrages. La sécurité incendie est au coeur des priorités scientifiques et techniques du CSTB pour faire progresser les bâtiments durables, intégrés dans le quartier et la ville.

Pour accompagner la filière dans cette dynamique et fort de son expertise en matière de maîtrise des risques, le CSTB, avec le soutien de l’Etat et de la Région ÃŽle-de-France, a développé Vulcain, une plateforme de recherche, d’essais et d’expérimentations, dont les spécificités en font un grand équipement unique à l’échelle internationale.

Des réponses adaptées au besoin de sécurité incendie renforcé

Vulcain, grand équipement de recherche pour la résistance au feu des structures innovantes, a pour ambition d’améliorer, par l’innovation, la sécurité incendie de tous les ouvrages construits : bâtiments, sites industriels, infrastructures de transports, etc.

Pour cela, il rassemble des caractéristiques et des spécificités techniques uniques, lui permettant d’aller au-delà des solutions d’essais et de simulations classiques. Vulcain a été conçu à partir d’une approche couplée essais en dimension réelle et simulation. Des dimensions exceptionnelles permettent de tester des ouvrages modulaires et le cas échéant de grande hauteur, en représentant les assemblages à l’échelle 1.

Doté d’une métrologie adaptée, Vulcain offre aux acteurs de l’innovation, en France comme à l’international, des avancées majeures sur le plan scientifique d’une part : désormais, il sera possible de considérer des problématiques liées à l’intégration de la sécurité incendie dès la conception générale des ouvrages, et en particulier pour les constructions à haute performance énergétique, tant en neuf qu’en rénovation. Sur les plans environnemental et économique d’autre part : les structures des bâtiments pourront être optimisées pour limiter leur empreinte environnementale et améliorer leurs performances économiques, afin de contribuer à la compétitivité des entreprises.

Source : https://www.cstb.fr/

Micro-Epsilon a développé une toute nouvelle technologie de fabrication pour capteurs à courants de Foucault. Grâce à la « Embedded Coil Technology » (ECT) (technologie de bobine intégrée), la configuration du capteur est intégrée dans un matériau support non-organique de façon stable en termes de température et de forme. La technologie ECT remplace les bobines de capteurs traditionnelles.

Des composants électroniques peuvent être placés directement sur le matériau support. Micro-Epsilon a développé cette technologie pour les applications spécifiques client dont le cahier des charges comportait des exigences strictes en terme de stabilité en température et à long terme, sans oublier non plus une excellente reproductibilité. Cette technologie, éprouvée depuis des années dans des applications OEM, est désormais utilisée dans les capteurs à courants de Foucault standards.

Les capteurs ECT sont conçus pour faire face aux conditions d’utilisation les plus rudes. Ils se prêtent à une utilisation en continu à des températures allant jusqu’à 180 °C, la version à câble haute température pouvant même supporter une température allant jusqu’à 350 °C. Les nouveaux capteurs sont proposés en combinaison avec le contrôleur eddyNCDT DT3300.

Source : https://www.micro-epsilon.fr

Modélisation et simulation des assemblages : état de l’art, solutions et avancées

Le 30 mai 2013, à l’Hôtel Novotel de Noisy le Grand

Sujet exposé : Idéalisation des assemblages vissés et des soudures continues pour l’analyse MEF en éléments coques des structures de véhicules lourds soumis à des charges statiques et de fatigue.
Conférenciers : Didier TURLIER – LOHR Industrie
Responsable du service Calcul et Simulation Numérique
Président du séminaire

Sujet exposé : Etude expérimentale et modélisation du comportement d’assemblages
Conférenciers : Jean Louis ROBERT – Université Blaise Pascal, Clermont Ferrand
Professeur des Universités, Enseignant-chercheur à l’IUT Montluçon et à Polytech et Directeur adjoint du pôle AIP-PRIMECA Auvergne
Keynote speaker

Sujet exposé : Approche couplée essais-calculs pour l’analyse du comportement des assemblages boulonnés en composites stratifiés.
Conférenciers : Frédéric LACHAUD – Institut Supérieur de l’Aéronautique et de l’Espace
Professeur HDR, Membre du Groupe Matériaux et Structures Composites de l’Institut Clément Ader
Keynote speaker

Sujet exposé : De la simulation prédictive au dimensionnement des assemblages : la démarche du Cetim au service de la Mécanique
Conférenciers : Christophe BRIANCON – CETIM

Sujet exposé : Stratégie multi-modèles pour le dimensionnement des assemblages boulonnés
Conférenciers : Pierre-Alain BOUCARD – ENS Cachan, Dpt Génie Mécanique, LMT et Christian PALECZNY – SNECMA

Sujet exposé : Fonctionnalités et apports de la simulation du sertissage par roulage dans l’industrie automobile
Conférenciers : Daniel SCHLATTER et Clara BOUCQ – PSA Peugeot Citroën

Sujet exposé : Comparaison de liaisons structurales performantes par serrage, matage ou collage. Application aux tubes centraux en fibres de carbone des satellites
Conférenciers : R. VIALE – THALES ALENIA SPACE et M. COQUILLARD – A3C Alpes Conception Composites & Collages

Sujet exposé : Enrichissement fonctionnel de maquettes numériques purement géométriques pour la transformation automatique de liaisons boulonnées
Conférenciers : Lionel FINE – EADS Innovation Works et Jean Pierre LEON – INPG

Sujet exposé : Prise en compte de la friction et de la viscoélasticité pour la conception de liaisons aéronautiques. Méthodes numériques et validations expérimentales.
Conférenciers : Etienne BALMES – SD TOOLS et Gaël CHEVALIER – SUPMECA

Sujet exposé : Modélisation des vis du système de fermeture d’un emballage
Conférenciers : Gilles MARCHAUD – AREVA TN international

Sujet exposé : Gestion du calcul de fixations : fixation manquantes, grande quantité de cas de charges
Conférenciers : Nicolas GEHIN – INGELIANCE

Sujet exposé : Modélisation des liaisons boulonnées des interfaces lanceur de grand diamètre
Conférenciers : Laurence ROZENBERG – CNES

Sujet exposé : Solutions apportées par la simulation numérique du soudage pour la prédiction des contraintes et déformations résiduelles
Conférenciers : Olivier ASSERIN et Danièle AYRAULT – CEA et Philippe GILLES, Stephan COURTIN et Vincent ROBIN – AREVA NP

Retrouver toutes les informations en cliquant: ici

Source : https://www.nafems.org/

Les 12, 13 et 14 mars derniers s’est tenue l’édition 2013 du Jec Composites Europe…
Le succès d’un salon se mesure à sa capacité à réunir les marchés, les produits et les hommes de manière efficace et professionnelle. Le JEC Europe 2013 a fermé ses portes sur un excellent bilan le jeudi 14 mars au soir, comme en témoigne la satisfaction de l’ensemble des professionnels présents au salon. Mais aussi un nouveau record: une tempête de neige dans le nord de la France, ce qui est rare au printemps!

Bilan cumulé : près de 769 millions d’euros pour la plateforme exposants

D’après les données recueillies, le bilan cumulé du salon pour l’ensemble des exposants est estimé à quelques 769 millions d’euros (997 millions de dollars). En moyenne, chaque exposant a établi 65 contacts utiles suivis de commande, avec une période de rentabilisation déclarée de 20 mois.

La 48e session affichait complet

Le Hall 1 (50 000 mètres carrés) affichant complet, c’est le Hall 2 (+ de 1 200 mètres carrés) qui accueillait les conférences, les réunions et les services de restauration. La plateforme européenne du Groupe JEC, qui bénéficie de l’activité mondiale du Groupe, a fait le plein pour sa 48 e édition (le salon JEC a été créé en 1965). Grâce au travail réalisé en Asie et en Amérique du Nord avec les salons JEC Asia et JEC Americas, de nouveaux exposants américains et asiatiques sont venus au salon pour lancer leurs nouveautés.

Pleins feux sur la production en série et les thermoplastiques

JEC Europe 2013 déclinait les thèmes majeurs du secteur : production en série, thermoplastiques, composites à capteurs intégrés, nouvelles applications, environnement et recyclage.

Automobile : la star du salon 2013!

Cette année, la filière automobile occupait le devant de la scène avec de nombreuses démonstrations de la capacité des fournisseurs à s’adapter aux cadences de l’industrie automobile. Par ailleurs, 70% des pièces présentées dans l’espace d’exposition du salon étaient en rapport avec le transport automobile.

Forte expansion en 2014, avec 8% de surface supplémentaire

Compte tenu de la demande et du fait que JEC Europe occupe déjà la totalité du Hall 1, le Groupe JEC a décidé d’augmenter fortement la surface du salon en 2014. L’an prochain, JEC Europe se tiendra dans les Halls 7.2 et 7.3 de la Porte de Versailles, totalisant 54 000 mètre s carrés, soit l’équivalent de huit terrains de football de Coupe du Monde !

Un marché en constante croissance

Au niveau mondial, le marché des composites devrait se développer à un rythme annuel moyen de 6% pour atteindre près de 90 milliards d’euros en valeur et 10 millions de tonnes en volume d’ici 2015 (contre 80 milliards d’euros et 9,2 millions de tonnes en 2012).

Le Groupe JEC se dote d’un bureau en Asie

En mai 2013, le Groupe JEC ouvrira un bureau permanent à Singapour afin de faciliter le développement de son activité dans la zone Asie – Pacifique.

Le Groupe JEC et l’université technique de Munich (TUM) signent un protocole d’accord

Les deux organisations ont signé un protocole d’accord réaffirmant leur intérêt pour le marché asiatique. Elles travailleront en partenariat afin de proposer un solide programme de conférences lors du salon JEC Asia 2013 de Singapour.

Source : https://www.jeccomposites.com/events/jec-europe-2013

Le groupe Alyotech a été choisi par la DGA pour le développement d’un logiciel de simulation de l’environnement marin capable d’évaluer les performances des systèmes de détection et de reconnaissance radars.

Après avoir travaillé sur un Proof-of-Concept, qui a permis de valider le projet auprès de la DGA, Alyotech entame le développement du simulateur baptisé Mofrem, via un consortium réunissant l’Onera (mandataire du projet pour la DGA), Thales Systèmes aéroportés, Thales Air Systems (garants des données radars fournies) et Alyotech (modélisation de la physique et développement du logiciel).

Mofrem a pour spécificité de modéliser très finement la mer à différents états, de manière très rapide (quasi temps réel) et de manière très réaliste (physiquement et en 3D). L’outil de simulation permet le dimensionnement et la qualification de systèmes d’observation et de surveillance maritimes à partir de données simulées observées par les radars.

A partir de ce simulateur, les radaristes pourront évaluer les performances de leurs radars côtiers, embarqués sur navire, aéroportés, sur drones et satellites en fonction de conditions de mer simulées comme s’ils étaient en situation réelle. Cette approche simulée permet aussi de compléter les essais en mer.

Ce dispositif sera également utilisé par la DGA et la Marine Nationale pour la qualification par simulation numérique des systèmes de surveillance radar, dans le cadre d’applications civiles (suivi du trafic de personnes et de stupéfiants, missions de sauvetage Search & Rescue) et militaires (détection de menaces, etc.).

Mofrem, dont une première version sera disponible fin 2013, est une nouvelle brique technique ajoutée à l’expertise du groupe Alyotech (qui dispose de la propriété intellectuelle du logiciel) dans le domaine de la simulation et plus particulièrement dans la conception de produits. Le groupe dispose actuellement de deux projets de R&D labellisés par le Pôle Mer Bretagne et subventionnés par le Fonds unique interministériel (FUI), preuve de son expertise et de sa capacité d’innovation dans le domaine.

Source : https://www.alyotech.fr

Les 10 & 11 avril 2013 Microwave & RF 2013, fait la part belle aux antennes avec pas moins de 2 cycles spécifiques de conférences !

Pour sa 2ème édition, le nouvel événement propose dans le cadre de ses 7 cycles de conférences, 2 sessions très complètes sur les antennes : élémentaires, actives, en réseau ou à large bande, l’antenne est l’élément de base de tout système radioélectrique. Aujourd’hui, leurs performances sont ultra efficaces, elles sont multiformes, allant du minuscule au géant, avec des portées extrêmement puissantes.

L’objectif de ces conférences est de faire le point sur les dernières avancées technologiques en la matière.

Antennes Actives

ETAT DE L’ART DES PRODUITS, MATURITE DES TECHNOLOGIES ET PROSPECTS
Président de session : M. Thomas MERLET – Thales Optronique

Mercredi 10 avril 2013 – Après-midi :

14h00 : Antennes actives chez Thales Systèmes Aéroportés : état de l’art et perspectives
. Conférencier : M. Yves MANCUSO, Thales Systèmes Aéroportés. ï‚¡ 14h30 : Développement de modèles et d’outils de co-simulation EM/Circuit pour antennes agiles actives.. Conférencier : M. Georges ZAKKA EL NASHEF, XLIM

15h00 : HYCAM: Architecture et Concepts d’Emploi d’une Plate-forme Radar à Antennes Réseau
. Conférenciers : M. Philippe BROUARD et M. Laurent CONSTANCIAS, l’ONERA DEMR.

Antennes, terminaux et réseaux mobiles de nouvelle génération

CONCEPTION, EVALUATION DES PERFORMANCES ET IMPACT SANITAIRE
Président de session : M. Benoît DERAT, ART – FI

Jeudi 11 avril 2013 – Matin

10h00 : Conception et caractérisation d’antennes in-packages pour communication en bandes millimétriques.
. Conférencière : Mme Diane TITZ -EPIB, Université de Nice. ï‚¡ 10h30: Influence des dimensions et de la forme du produit sur la miniaturisation d’antennes pour la 4G.. Conférencier : M. JM. MONTEIX – XXI Lab.

11h00 : Challenges en mesure de DAS pour les équipements portables de dernière génération.. Conférencier : M. Benoît DERAT- ART-Fi.

Source : https://www.microwave-rf.com/

Pour sa 26ème édition le salon des solutions en Analyse Industrielle sera organisé les 10 &11 avril 2013, à Paris Porte de Versailles.
Le salon de l’Analyse Industrielle est le rendez-vous annuel et incontournable de toute une profession regroupant les spécialistes de la mesure à l’émission, de la règlementation, de la détection, du contrôle de process, des risques industriels, de l’instrumentation et de la micro-analyse.
Les principaux fournisseurs et intégrateurs de solutions matérielles et logicielles, de services et d’ingénierie y sont attendus à cette occasion. Ils y présenteront leurs solutions en matériels et systèmes visant à optimiser les différents processus composant la chaîne de production industrielle, à prévenir et maîtriser les risques.

Mercredi 10 avril:

– EMERSON PROCESS MANAGEMENT
– AIRMOTEC

Jeudi 11 avril:

– AIRMOTEC
– KROHNE

Liste complète des ateliers: https://www.analyse-industrielle.fr/tous.php?elt=event#top_centre

Source : https://www.analyse-industrielle.fr