Nouvelle flexibilité pour la mesure de déplacement capacitive

Le système de mesure multicanal capaNCDT 6200 conçu d’après le système modulaire pour les capteurs de déplacement capacitif, est maintenant complété par le nouveau contrôleur DT6230. Comparé à son « petit frère », le DT6230 intègre non seulement une interface Ethernet mais aussi une interface EtherCAT et une synchronisation. Le système a gagné en souplesse dans son ensemble et au profit de l’utilisateur.

 

Le contrôleur DT6230 est l’étape suivante de la modernisation du contrôleur capacitif de Micro-Epsilon. Les propriétés d’équipement supplémentaires par rapport au DT6220, disposent en plus d’Ethernet, également de l’EtherCAT et de la synchronisation de plusieurs contrôleurs. La combinaison avec les démodulateurs DL6220 et DL6230 donne à la nouvelle classe moyenne une souplesse incomparable : les composants individuels (contrôleurs, démodulateurs, capteurs) sont intégralement compatibles entre eux et permettent désormais de fournir au client un système sur demande et disponible en magasin. Cette modularité est unique sur le marché et permet d’élargir les systèmes existants à tout moment.

 

Le capaNCDT 6200 est le premier système de mesure multicanal modulaire pour les capteurs de déplacement. Il se démarque particulièrement par son excellent rapport qualité-prix. Le système de mesure se compose d’un contrôleur et d’un démodulateur respectif pour le capteur. Le contrôleur est extensible jusqu’à 4 canaux – l’utilisateur ajoute et retire les canaux supplémentaires en toute autonomie. Tous les capteurs de déplacement de Micro-Epsilon fonctionnent avec le contrôleur capaNCDT 6200. Celui-ci est utilisé pour la mesure d’épaisseur, des inclinaisons et des vibrations dans la plage du submicromètre au nanomètre. 

Source : https://www.micro-epsilon.com

Messier-Bugatti-Dowty inaugure deux bancs d’essais à Villeurbanne

Le site de Messier-Bugatti-Dowty (Safran) situé à Villeurbanne (Rhône), spécialisé dans la production de disques de freins en carbone pour l’aéronautique et l’automobile, fête aujourd’hui ses trente ans d’existence et dévoile pour l’occasion deux nouveaux bancs d’essais de freinage.

Inaugurées par Vincent Mascré, président de Messier-Bugatti-Dowty, ces nouvelles installations d’essais sont principalement dédiées à la validation du matériau carbone produit par l’entreprise à travers le monde. Elles permettent de mesurer l’efficacité et la fiabilité des freins de tous les types d’avions commerciaux, d’affaires ou militaires, dans toutes les conditions d’utilisation.

Acteur majeur de la recherche appliquée sur les matériaux de friction et centre d’excellence international du carbone, le site de Villeurbanne a pu compter, dans le cadre de cet investissement qui s’élève à cinq millions d’euros, sur le soutien financier de la région Rhône-Alpes et de la Métropole de Lyon.

Pour Vincent Mascré, président de Messier-Bugatti-Dowty, « Les nouveaux bancs d’essais constituent un élément important de la pérennisation et de l’évolution technologique du site, qui abrite aussi un important centre de recherche. Ils scellent l’ancrage, à Villeurbanne, d’activités complémentaires liées à la production, avec le développement de nouvelles compétences et la création d’emplois. »

L’inauguration des nouvelles installations coïncide avec le trentième anniversaire du site de Villeurbanne, qui a vu naître en 1985 les premiers disques de freins en carbone pour l’aéronautique, alternative aux freins aciers qui équipaient alors les avions. L’occasion, pour Vincent Mascré, de rappeler le rôle de Messier-Bugatti-Dowty, au coeur de la région Rhône-Alpes, dans le secteur aéronautique : « Nous célébrons aujourd’hui trente ans d’une belle aventure humaine qui allie la force et la profondeur technologique de nos chercheurs et de nos savoir-faire industriels. Le site de Villeurbanne a bénéficié du savoir-faire textile de la région lyonnaise, ce qui prouve que l’histoire et la tradition jouent aussi un rôle dans la réussite et l’innovation. »

Depuis leur introduction en 1986 sur les Airbus A310, les freins carbone n’ont cessé de progresser sur le marché des avions de ligne, pour équiper aujourd’hui plus de 50 % des avions. Les matériaux ont évolué au fil des années pour devenir plus résistants et plus légers. La dernière génération de matériau composite carbone / carbone, produite à Villeurbanne depuis fin 2014, permettra de réduire de 30 % l’usure des disques de freins par rapport à ceux la génération actuelle.

Source : https://www.safranmbd.com/fr

17ème Congrès international de métrologie, du 21 au 24 septembre 2015

Le Congrès international de métrologie se tiendra du 21 au 24 septembre 2015 à Paris-Porte de Versailles. Organisé conjointement avec Enova, le salon des technologies de l’électronique, mesure, vision et optique, le CIM est le lieu d’échanges techniques entre tous les acteurs du monde de la mesure : utilisateurs industriels de moyens de mesure, experts techniques, laboratoires publics et privés, fabricants et prestataires.

Unique en Europe, ce congrès présente les évolutions des techniques de mesure, les avancées R&D et leurs implications pour l’industrie. Il montre également comment la mesure améliore, au quotidien, les processus industriels et la maîtrise des risques.

Les thématiques fortes du CIM sont présentes dans les 6 tables rondes industrielles de l’événement :

– Les bonnes pratiques en santé
– Transition énergétique : la métrologie relève le défi
– L’analyse sensorielle au service de la métrologie
– Externaliser la fonction métrologie : rêve ou réalité ?
– Agro-alimentaire : le plus métrologique
– Mesure et maîtrise des risques : nouvelle approche ISO 9001

Près de 180 conférences seront présentées sur des sujets très variés. Les grands domaines techniques sont abordés : mécanique, température, dimensionnel et 3D, débit, électricité, optique… Les rappels plus généraux comme les incertitudes de mesure, l’apport des statistiques, le SI (…) ne sont pas oubliés. Les nouvelles préoccupations sont également présentes : la sécurité dans le secteur médical et l’agro-alimentaire, les défis liés à la transition énergétique, les nanotechnologies… Pour compléter ce panel, des visites techniques à l’Observatoire de Paris, chez Sopemea et au LNE sont organisées. 

Les temps forts du CIM 2015

– L’animation quotidienne sur le Village Métrologie : sur cet espace ouvert à tous se retrouvent les visiteurs du salon, les exposants qui souhaitent se rapprocher du Congrès et les participants inscrits au CIM.

– La session d’ouverture du 21 septembre avec deux interventions sur des sujets émergeants en métrologie :

o La métrologie dans les services par le groupe La Poste
o Métrologie et criminalistique par la Police Judiciaire de la Gendarmerie Nationale

– La conférence plénière du 23 septembre « Métrologie 4.0 » avec des interventions des plus grands organismes mondiaux de métrologie – le NIST américain, le NPL anglais et la PTB allemande – sur la métrologie de demain qui pointe déjà son nez dans notre quotidien …

– L’intervention de Claude Cohen Tannoudji, Prix Nobel de Physique 1997, lors de la session de Clôture du jeudi 24 septembre après-midi

Source : https://www.metrologie2015.com

L’Ifsttar étudie l’éolien en mer flottant

Deux équipes de l’Ifsttar participent au projet Oceagen, mis en œuvre en novembre 2014 et pour deux ans, dont l’objectif est de réaliser un démonstrateur de fondation d’éolienne flottante et de qualifier de nouveaux composants d’ancrage : l’une étudiera le comportement des câbles d’ancrage, l’autre le cycle de vie du démonstrateur.

Fort de ses compétences dans l’évaluation des câbles, haubans et autres structures métalliques aussi emblématiques que le pont de Millau en France ou de Rion-Antirion en Grèce, l’Ifsttar testera des câbles d’ancrage qui servent à maintenir ce type de fondation flottante d’éolienne en position. Financé notamment au titre du programme des investissements d’avenir orchestré par l’Ademe, ce projet de recherche et développement est coordonné par la société Ideol qui a développé le concept de fondation flottante. Sur la base du système breveté Damping Pool, cette structure annulaire carrée en béton de 36 mètres de côté comporte un puits central servant à amortir les oscillations dues aux effets du vent sur la turbine et à la houle, quelles que soient les conditions en mer. Selon le site d’implantation, le flotteur est ancré dans le fond marin par l’intermédiaire de câbles d’environ 100 millimètres de diamètre et de 500 à 1 000 mètres de long.

Les chercheurs du laboratoire Structures métalliques et câbles (SMC) du centre Ifsttar de Nantes testeront pendant plusieurs mois les câbles d’ancrage, pièces maîtresses de ces structures. « Nous évaluerons le comportement en fatigue-flexion de ces câbles monotorons multicouches en acier protégés par une gaine en polyéthylène haute densité », explique Laurent Gaillet, directeur du laboratoire SMC. Ces essais accélérés permettront de prédire leur durée de vie en mer pour des conditions de sollicitations répétées avec des variations combinées en tension et flexion.

Ces études seront menées hors environnement marin sur le banc de fatigue des câbles du laboratoire SMC, un équipement d’envergure comme il en existe peu au monde. Dans un bâti en béton armé long de 16 mètres, des vérins hydrauliques mettent les câbles sous tension : « Nous appliquerons une sollicitation en fatigue pendant un million de cycles, ainsi que des efforts de flexion qui simuleront au mieux les sollicitations réelles, grâce à un nouveau vérin qui sera installé dans le cadre de ce projet », précise-t-il. Le dimensionnement des câbles, leur disposition, leur durabilité seront ainsi validés pour une durée de vie de l’ancrage de trente ans.

Autre paramètre étudié par l’Ifsttar : l’analyse du cycle de vie de la structure. Le laboratoire Navier de Marne-la-Vallée recueillera les données environnementales du démonstrateur de 2 MW, dont l’installation en mer est prévue dans le courant du premier semestre 2016 sur le site d’expérimentation marin SEM-REV au large du Croisic (Loire-Atlantique). Elles seront comparées à celles d’autres éoliennes offshore. L’étude permettra de minimiser l’impact des différents matériaux choisis et des différentes phases du projet.

Cette collaboration à l’étude d’ouvrages marins valorise les grands équipements de l’Ifsttar et ses compétences en matière de durabilité des câbles. Cela permet aussi à l’Institut de bien se positionner dans le domaine des énergies marines renouvelables. Ce type d’éolienne flottante, installée à distance des côtes avec un moindre impact visuel et des vents réguliers, est amené à se développer, notamment en Europe, au Japon ou en Asie.

Source : https://www.ifsttar.fr/

Un premier pas vers la création d’une communauté de la Simulation des systèmes en France

Le séminaire Nafems du 3 juin dernier a réuni une partie de la communauté des scientifiques, éditeurs de logiciels et utilisateurs travaillant autour de la simulation des systèmes en France.

Dans un contexte où les produits sont de plus en plus complexes dans tous les secteurs de l’industrie, avec une explosion de leurs exigences fonctionnelles et de performance, dans un monde où ces systèmes sont de plus en plus connectés et interagissent les uns avec les autres, et alors que les délais de mise sur le marché sont de plus en plus courts et les budgets contraints, la conception devient un défi pour les ingénieurs et industriels et exige un changement radical des méthodes de travail.

La simulation des systèmes, effectuée afin de permettre la prise de décision en amont du cycle de développement, et de valider les choix de conception en aval de ce cycle est un passage obligé. Certaines configurations ou conditions rencontrées par les produits développés actuellement ne peuvent pas être testées physiquement et doivent être impérativement simulées. C’est le cas par exemple sur les projets avancés de délégation de conduite chez les constructeurs automobile. Les scénarii routiers dans lesquels il faut éviter un obstacle impromptu ne sont pas réalisables physiquement dans toutes les conditions de conduite. En utilisant la modélisation et la simulation des systèmes, on peut augmenter le nombre de configurations testées et ainsi améliorer la confiance des concepteurs et des futurs utilisateurs dans la fiabilité et la sécurité du système.

Afin de répondre à cette demande croissante de simulation en conditions réalistes, les éditeurs d’applications logicielles fournissent de nouvelles solutions de modélisation des phénomènes qui permettent leur enchaînement ou imbrication. La modélisation 0D/1D doit s’enrichir de modules de simulation de phénomènes multi- physiques afin d’apporter au monde logique les effets des actions déclenchées dans le monde physique, en lieu et place par exemple des capteurs qui joueront ce rôle dans le produit final.

Source : https://www.nafems.org/

ESI vous invite à son Séminaire Simulation de Fonderie

ESI, pionnier et principal acteur mondial du prototypage virtuel, vous invite le Jeudi 8 Octobre 2015 pour une journée dédiée à l’Etat de l’Art de la Simulation des procédés de Fonderie.

Lors de cette journée ouverte à tous, nos experts vous accueilleront et présenteront les dernières nouveautés de nos solutions industrielles:

  • 9h00-9h45 Présentation d’ESI Group et de ses solutions de Fonderie
  • 9h45-10h30 Nouvelles fonctionnalités ProCAST 2015.0 Service Pack (incluant QuikCAST, Visual, Pam-Opt)
  • 10h45-11h15 QuikCAST dans Visual
  • 11h15-11h45 Lien fort CAO/calcul
  • 11h45-12h15 Modélisation du grain dans Visual
  • 12h30-14h00 Déjeuner
  • 14h00-14h45 Optimisation automatique du procédé
  • 15h00-16h15 Présentations utilisateurs
  • 16h15-17h00 Perspectives et Roadmap produit 2016

Vous pouvez vous inscrire à cet évènement gratuit, en répondant à cette invitation ou via les coordonnées ci-contre.
 
Venez nombreux!
Dans l’attente de vous voir,
 
L’équipe ESI

Nous contacter

Gaëlle Lecomte
+33 4 78 14 12 10

Source : https://www.esi-group.com/fr

Emitech s’équipe d’une enceinte climatique en atmosphère inerte pour ses campagnes de tests pour l’aéronautique

Les moyens d’essais chez Emitech sont répartis sur l’ensemble de ses centres  et constituent ainsi la plus forte capacité d’accueil du marché français. Ils  répondent aux normes et aux qualifications les plus exigeantes, en particulier dans  le secteur aéronautique, telles que RTCA DO 160, MIL STD 461 / 462, MIL STD 704, Mil STD 202, 810, 883. De même, l’ensemble de l’instrumentation dédiée aux exigences les plus spécifiques, foudre, champs forts, essais électriques, cages CEM et chambres acoustiques de grandes dimensions sont sans équivalent en Europe.

Une des spécificités d’Emitech est de posséder des instrumentations de test uniques en France. C’est le cas de la nouvelle enceinte climatique en atmosphère inerte, sous azote, au centre de Saint-Etienne. Installée début 2015, cette enceinte de 1m3 permet de mettre en œuvre les campagnes d’essais climatiques d’un équipementier aéronautique sur les circuits de carburant des moteurs, contenant du Kérosène et donc inflammables. Sont ainsi testés les vannes, les robinets, les actionneurs et autres composants de tout type d’aéronef, civil ou militaire.

Les essais en température chaud/froid (de -60°C à +150°C) et vibratoires + choc sont menés au rythme de deux à trois campagnes par mois.  La prise en charge des campagnes de tests étant globale chez Emitech,  les  éléments sont ensuite testés en compatibilité électromagnétique dans un autre centre du réseau. L’équipementier procède ensuite chez lui aux tests de performance.

Source : https://www.emitech.fr/

Enova Paris : cap sur les systèmes embarqués et les objets connectés 

Enova Paris se déroulera du 22 au 24 septembre prochains à Paris expo Porte de Versailles, dans le Hall 4. Parallèlement au rendez-vous des technologies innovantes se tiendra le 17ème Congrès international de métrologie.

Internet des objets, systèmes embarqués, M2M, Smart Cities, e-Santé,… se sont invités dans notre quotidien et constituent le nouvel eldorado de l’industrie des nouvelles technologies. Les objets connectés et intelligents sont l’industrie de demain : 50 milliards d’objets connectés en 2020. 445 millions d’objets connectés prévus en France d’ici 2018, soit une augmentation de 74% depuis 2013. Des chiffres qui démontrent que les objets connectés sont des relais de croissance prometteurs dont l’accélération sera continue sur les années à venir. 

Au programme d’Enova Paris 2015 : l’espace Embarqué & Objets connectés avec deux cycles de conférences dédiés; « les Matinales de l’embarqué » avec Cap’Tronic et « les Après-midi des objets connectés » avec Cap Digital et Systematic, sans oublier les business meetings.Les FabLabs feront également partie intégrante de cette nouvelle édition sur un espace spécial, EnovaLAB de la phase de concept à la phase de prototypage.

L’innovation sera toujours sous les feux des projecteurs avec la 5ème édition des trophées de l’Innovation. Ce concours valorisa les initiatives et technologies les plus innovantes des exposants autour des catégories – Qualité/Sécurité, Productivité et Technologie embarquée – auxquelles se rajoute cette année, Usage Objet connecté. De nouveau, l’innovation Coup de cœur des visiteurs sera aussi primée. 

La 4e édition du congrès des applications des fibres optiques, dressera le panorama de la très grande diversité des applications de la fibre optique appuyé par des retours d’expériences. Diversité à travers les applications des capteurs et réseaux de capteurs à fibres optiques pour l’agriculture, le BTP et la surveillance de structures, l’avionique, le spatial, etc. Avec en nouveautés les fibres optiques actives et les fibres optiques pour l’imagerie.

Conjointement à Enova Paris, le 17e Congrès international de métrologie organisé par le Collège français de métrologie sera le lieu d’échanges techniques entre tous les acteurs du monde de la mesure : utilisateurs industriels de moyens de mesure, experts techniques, laboratoires publics et privés, fabricants et prestataires. Il présente les évolutions des techniques de mesure, les avancées R&D et leurs implications pour l’industrie. Il montre comment la mesure améliore, au quotidien, les processus industriels et la maîtrise des risques.

Source : https://www.enova-event.com/