VTI Instruments, filiale du groupe Ametek, vient de compléter sa gamme de produits d’acquisition de données avec le EX1401. Il s’agit d’un instrument LXI destiné à l’acquisition et à la mesure de thermocouple et tension. Il possède 16 voies avec une isolation entre voies jusqu’à 1000 V et offre un niveau de précision élevé de ± 0.2°C. Chaque voie possède un ADC 24 bits, une compensation de soudure froide (CJC) et une détection de circuit ouvert (OTD). Le EX1401 peut être alimenté par le lien Ethernet (PoE+) ou par une alimentation de 10 à 50 V DC pour des applications sur le terrain.

Les principales caractéristiques de l’EX1401 sont les suivantes. L’EX1401 possède 16 voies indépendantes isolées Thermocouple/Tension, ADC 24 bits par voie, et une précision de ± 0.2 °C. Il présente une isolation entre voies et masse de 500 V et une isolation entre voies de 1000 V, ainsi qu’un échantillonnage de 20 Ke/s par voie. Le mode d’acquisition autonome (Data Logger) et la synchronisation IEEE-1588 (PTP) figurent également comme des atouts, tout comme l’alimentation par Ethernet (PoE+) ou DC 10-50 V et les 8 voies DIO isolées ou encore l’interface Ethernet LXI avec interface Web. Enfin, L’EX1401 s’illustre par sa compacité (1U ½ rack).

L’interface Web permet la configuration et l’affichage des données ce qui simplifie l’utilisation et la mise en œuvre. L’EX1401 est fourni avec le logiciel EXLab Express, logiciel d’acquisition de données intuitif, ce qui élimine également la nécessité de programmer l’instrument.

Source : https://www.acquisys.fr

La sonde R&S RT-ZM, utilisée en association avec un oscilloscope Rohde & Schwarz, est une excellente solution pour mesurer simplement et précisément des signaux rapides. Elle propose une largeur de bande jusqu’à 9 GHz, une gamme d’offset DC de ±16 V et la fonction multimode qui permet aux utilisateurs de basculer entre les modes de test sans reconnexion.

Les mesures de signaux de données rapides, par exemple sur des interfaces USB SuperSpeed ou PCIe-2.0, nécessitent un oscilloscope pouvant enregistrer et analyser à des débits de données jusqu’à 5 Gbit/s, ainsi que des sondes appropriées. La nouvelle sonde modulaire large bande R&S RT-ZM de Rohde & Schwarz garantit qu’un contact optimal est réalisé avec le dispositif sous test. Elle propose une dynamique élevée et, en fonction de la pointe et du mode de test, une capacité d’entrée extrêmement faible de 32 femtofarad à 521 femtofarad dans la gamme des GHz.

Il en résulte que le signal de test est exposé à une charge et une distorsion minimales au niveau de la pointe de la sonde. La sonde R&S RT-ZM comprend des modules amplificateurs R&S RT ZM15/30/60/90 avec des bandes passantes de 1.5 GHz à 9 GHz, plus diverses pointes et modules R&S RT-ZMA interchangeables.

Source : https://www.rohde-schwarz.com

Le Cetim, institut technologique de la mécanique labellisé Carnot, a décidé de rejoindre, dès 2018, l’écosystème de recherche français rassemblé sur le Plateau de Saclay. Classé au top 8 des clusters innovants (MIT Technology Review, 2013), il est reconnu mondialement (Université Paris-Saclay) dans les domaines du numérique, de la physique et des matériaux.

Le Cetim est porteur d’une ambition : créer à Saclay une plateforme d’envergure internationale de recherche au service du développement de l’industrie par la fabrication additive, « Additive Factory Hub ». Objectif : mutualiser les expertises et les moyens les plus performants pour relever les défis de cette technologie et augmenter son impact dans l’industrie. En cohérence avec les initiatives nationales, elle constitue la vitrine internationale du savoir-faire de la région Île-de-France au service de son écosystème. Ce projet de 40 M€ sur cinq ans rassemble des grands acteurs industriels et académiques : Cetim, Safran, CEA List, Arts et Métiers, Onera, SystemX, Air Liquide, Polyshape, EDF, Addup…

Un nouvel ancrage territorial fort

Cette nouvelle implantation en Île-de-France doit être le lieu de diffusion, de formation et de transfert technologique vers les PME qui pourront ainsi s’appuyer sur des moyens et une équipe d’experts pour s’approprier les technologies liées à la fabrication additive. Pilote du déploiement régional de l’industrie du futur au sein de l’Alliance Industrie du  futur (AIF), le Cetim porte ainsi la démarche auprès du tissu industriel. Le centre technique a aussi une volonté forte de renforcer ses actions en soutien des filières stratégiques d’Île-de-France et notamment de la filière aéronautique en synergie avec Safran.

Fort de son expérience depuis quinze ans avec le Comité mécanique Île-de-France et de ses 2 000 ressortissants en Île-de-France, le Cetim veut poursuivre et amplifier sa mission de soutien aux entreprises manufacturières dans leur développement des nouvelles technologies sur le terrain du quotidien comme dans le cadre d’initiatives structurantes telles qu’Additive Factory Hub et Factory Lab (plateforme « hôtel à projets » abritée par le CEA, pour une durée allant de 6 à 18 mois et une vingtaine de projets en simultanée).

Source : https://www.cetim.fr/fr

Le Lyonnais Acoem, spécialisé dans la surveillance des paramètres environnementaux (bruit, vibrations, air), poursuit son développement à l’international, avec l’ouverture de deux nouvelles filiales en Allemagne et en Inde. 

Dans la continuité de sa stratégie de développement à l’international, le groupe Acoem annonce aujourd’hui l’ouverture de deux nouvelles filiales : l’une à Munich (filiale de quatre employés dirigée par Johan Loesl qui a rejoint Acoem pour développer les marques Oneprod et Fixturlaser à l’international) et à Vadodara, en Inde ; cette filiale dirigée par Samir Sabnis s’appuiera sur la présence de la société indo-australienne Ecotech acquise en février par le groupe et spécialisée dans le contrôle de la qualité de l’air.

Ces nouvelles filiales seront chargées de la commercialisation et du support des produits et services permettant de limiter l’impact environnemental : prévention des nuisances sonores et vibratoires, amélioration de la qualité de l’air, optimisation de la productivité et de la fiabilité des machines industrielles. L’ensemble des marques du Groupe ACOEM seront représentées mais l’accent sera mis sur les activités monitoring industriel (Oneprod, Fixturlaser et Meax) et monitoring environnemental (01dB et Ecotech). 

Créé en 2011 suite à la vente des activités 01dB-Metravib par Areva, Acoem connait une croissance soutenue depuis, et réalise aujourd’hui plus de 87 M€ de chiffre d’affaires, dont 70% à l’international au travers de ses six filiales (Allemagne, Australie, Brésil, Etats-Unis, Inde, Suède).

Source : https://www.acoemgroup.com/fr/

Source : https://www.baumer.com/fr-fr/

Consultant certifié Comsol, la société Simtec a acquis Comsol Server, afin de mettre à disposition de ses clients son expertise métier par le biais d’applications métier. À travers une connexion Internet sécurisée (https), l’utilisateur dispose d’un outil de simulation parfaitement adapté à ses besoins, qui peut être exploité sur les ressources informatiques de Simtec. 

Le conseil en simulation numérique est facilité par la création rapide d’interfaces à façon, utilisables directement par le client final. Pour le client, c’est la garantie d’un outil de simulation efficace et « user friendly ». Pour Simtec, c’est la possibilité d’adapter rapidement les modèles développés aux besoins précis de ses clients, grâce à l’intégration dans son outil de simulation Comsol Multiphysics de l’Application Builder, un outil de création d’applications de simulation. La licence Comsol Server permet ensuite de déployer largement les applications réalisées.

^{Photo : Cette application créée avec le logiciel Comsol Multiphysics permet à l’utilisateur d’évaluer les contraintes résiduelles dans la paroi d’un objet produit par fabrication additive, pour différents matériaux et différentes conditions de fabrication}

Source : https://www.simtecsolution.fr/

Le prochain Séminaire Nafems France se déroulera à Paris-Charenton, le 23 novembre prochain. Cet événement – le deuxième de l’année (après le succès de l’édition du 30 mai dernier), portera sur le thème de la gestion des données de simulation.

Les ingénieurs et les départements d’ingénierie font face à une augmentation rapide et continue de la taille et de la complexité des de données de simulation dont ils ont besoin. Les solutions de gestion des données de simulation sont désormais utilisées d’une manière efficace et productive depuis quinze ans en particulier dans les grands comptes.

Les solutions SPDM (Simulation Product Data Management) ont permis à ces organisations de contrôler l’usage et le stockage court et long terme de leurs données de calcul et d’obtenir des réductions significatives du temps consacré aux tâches fastidieuses et couteuses en temps de gestion des données. Mais il y a eu des également des échecs notables, coûteux pour les entreprises, et des erreurs dans la conduite des projets de mise en œuvre d’un SPDM qui étaient parfois évitables.

Les thèmes proposés pour l’appel à communication :  

• l’intégration et la gestion des données issues de la simulation, du test, des IoT, des modèles systèmes dans le SPDM, 
• les retours d’expérience de déploiement, 
• la gestion des modèles, les standards (AP219 ed2, autres), 
• la gouvernance des systèmes, 
• la liaison avec les PLM, 
• l’archivage long terme, 
• comment gérer les speadsheets,  
• etc.

Date limite de dépôt des communications: 30 septembre 2017

Source : https://www.nafems.org

Le Congrès International de Métrologie 2017 se tiendra du 19 au 21 septembre à Paris, en conjonction avec le Salon ENOVA.

La manifestation est placée sous un slogan technologique « Mesurer pour inventer le futur » et aborde la mesure sur 3 axes : les processus, les techniques et les perspectives.

En particulier, une des tables rondes du congrès « Mesure dynamique et Usine du futur : l’atout métrologie » a pour objectif de montrer l’apport et l’intérêt de la métrologie et de la maîtrise de ses mesures dans l’usine du futur.
L’usine du futur est flexible, automatisée et interconnectée. Cette révolution industrielle correspond à un aménagement de l’industrie actuelle par le biais des nouvelles technologies. La reconception du mode de production passe aussi par la personnalisation des produits, une production « bien du premier coup », des petites séries, voire des produits uniques. Ceci est possible grâce notamment à l’exploitation du flux de mesure mais aussi par une interaction numérique entre l’homme et son produit.

Le produit est tracé et exploité au maximum tout au long de sa fabrication en fonction de ses caractéristiques, particularités. Cette communication est possible grâce à des capteurs, des automates… c’est-à-dire par un processus de mesure complètement intégré et interconnecté, pour faire converger les informations vers des paramètres de réglage optimum.

La mesure devient aussi dynamique, c’est-à-dire que l’on mesure en flux de production. On évite ainsi d’interrompre le processus productif en contrôlant dans la mesure du possible les pièces même si celles-ci sont en mouvement. La métrologie devient ainsi proactive au coeur de la production et permet son optimisation.

D’autres tables rondes sont programmées sur les sujets « Drone et surveillance », « Déclaration de conformité et évolution de l’ISO 17025 », « Progrès en mesure à l’échelle nano ? ».

De nombreux autres sujets seront abordés : flexibilité des mesures optiques, nouvelles technologies, data métrologie, l’intelligence artificielle, métrologie 4.0, santé et radiothérapie …

Le CIM 2017 est organisé conjointement avec ENOVA, le salon des technologies Electronique, Mesure, Vision et Optique et le rapprochement se concrétise au milieu de l’exposition sur le Village Métrologie qui regroupe à la fin du mois avril les sociétés suivantes :
A+ METROLOGIE, ACALIME, AFNOR GROUP, AEROMETROLOGIE, AMETEK, AUTOMATED PRECISION EUROPE, BEA METROLOGIE, BEAMEX, BRONKHORST France, BRUKER, CARB & DIAM et DINO-LITE, CETIAT, CETIM, COFRAC, CONTROLES-ESSAIS-MESURES, CZECH METROLOGY INSTITUTE, DELTA MU, DIMELCO, E+E ELEKTRONIK, E2M, ELEXIENCE, EOTECH, EURAMET, EUROTHERM AUTOMATION, FELIX INFORMATIQUE, FENSOR, FURNESS CONTROLS, GE MEASUREMENT & CONTROL, GUILDLINE INSTRUMENTS, HBM, HEXAGON MANUFACTURING INTELLIGENCE, IMPLEX, INSAVALOR, INSIDIX, JRI, KAMBIC, KIMO INSTRUMENTS, KREON TECHNOLOGIE, LABORATOIRE NATIONAL DE METROLOGIE ET D’ESSAIS, MANUMESURE, MBW CALIBRATION, MEATEST, MB ELECTRONIQUE, MESCAN, METROLOGIC GROUP, METTLER TOLEDO, MICRO EPSILON France, MI-EUROPE, MITUTOYO, NIKON METROLOGY, NPL, OLYMPUS, OROS, PCB PIEZOTRONICS, POLYWORKS EUROPA, PRESYS INSTRUMENTS, RADWAG BALANCES & SCALES, SANTEC, SCAIME, SEMATEC, SPF Economie, STIL, SIKA France, TESTO INDUSTRIAL SERVICES, TRESCAL, TUBITAK, WIKA INSTRUMENTS, WIMESURE, WERTH MESSTECHNIK France.

Le partenaire Platine du CIM 2017 est TRESCAL.
Les autres sponsors du congrès sont : le CETIAT, Hexagon Manufacturing Intelligence, Implex et Polyworks Europa. La DGE, direction du Ministère de l’Economie et des Finances et le Ministère de la Culture soutiennent également l’organisation.

Plus d’infos : 04 67 06 20 36 / info@cfmetrologie.com / www.cim2017.com

Source : https://www.cim2017.com/

Granta Design met aujourd’hui à disposition sur ses plateformes Granta MI et CES Selector la base de données JAHM Curve Data, une base solide et étendue de données matériaux évoluant en fonction de la température. Ces données forment une source fiable et très étendue de données d’entrée pour la simulation. Ce lancement coïncide avec une nouvelle version de l’application Granta MI:Materials Gateway qui permet l’intégration homogène des bases de données et des outils de simulation. Depuis les logiciels Abaqus/CAE, Ansys Workbench, NX, et HyperMesh ces nouvelles données d’entrée seront ainsi à la disposition des utilisateurs sans effort ni coût d’installation ou de formation.

Suite à un accord de coopération avec JAHM Software, Inc. (annoncé en novembre 2016) les utilisateurs des outils Granta peuvent obtenir plus de 2900 nouvelles fiches matériaux (à la fois sur des matières traditionnelles comme les métaux, les céramiques, les plastiques, mais également des matériaux naturels et quelques gaz) et 24 000 jeux de données dont des modules d’élasticité, coefficients d’expansion thermique et de conductivité thermique, des courbes de fatigue et de contrainte-déformation. Ces données sont disponibles sur des plages de température basses et élevées. Les entreprises utilisant Granta MI pour gérer leurs données internes ou pour compiler des sources fiables de données de référence, peuvent disposer de cette base supplémentaire simplement et la déployer en quelques instants. Cela permettra aux utilisateurs d’accéder aux données soit dans les outils Granta soit directement dans leurs outils de simulation.

Le Dr. Sarah Egan, chef de produit données chez Granta annonce : « Les données idéales pour la simulation seront toujours des données testées en interne dans un environnement contrôlé, et analysées statistiquement. Mais ce type de données est coûteux et ne peut être toujours disponible dans les premières étapes de conception. Disposer de bases de données de référence fiables permet de progresser avant d’investir dans une campagne de tests de caractérisation. La base de données JAHM offre une source de données de qualité sur une plage de matériaux très étendue et le retour des utilisateurs impliqués dans les tests de cette base est extrêmement positif ! »

Cette base de données est également disponible dans l’outil CES Selector. Cet outil expert disponible sur PC permet aux ingénieurs d’effectuer des choix matériaux en avance de phase de développement. Cette base étend les matériaux couverts dans le logiciel permettant d’élargir le champ d’investigation.

Source : https://www.grantadesign.com/FR/

Le Laboratoire d’Acoustique de l’Université du Maine (UMR CNRS 6613) organise en collaboration avec l’Université de Southampton et Siemens, un workshop sur le thème « Simulations numériques pour la propagation du bruit des avions ». Le workshop se déroulera les 20 et 21 juin 2017 dans les nouveaux locaux de Le Mans Innovation (57 Bd Demorieux 72000 Le Mans).

Thématique : Les simulations numériques ont pris une place très importante dans la conception acoustique des technologies aéronautiques. Elles permettent d’évaluer plus rapidement un grand nombre de concepts, de les optimiser plus finement et de réduire l’utilisation coûteuse des tests en souffleries et des essais en vols. Ce workshop a pour but de présenter les travaux des doctorants formés sur le sujet et de permettre des échanges entre chercheurs et ingénieurs sur les orientations futures de la recherche dans ce domaine.

En savoir plus

Source : https://laum.univ-lemans.fr/fr/index.html

Contact : gwenael.gabard@univ-lemans.fr