Le CEA et Optis étendent leur collaboration sur la simulation d’images infrarouges pour les réacteurs de fusion

L’éditeur de logiciels de simulation de la lumière et de la vision humaine et le CEA, Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives, ont signé un accord dotant l’organisme de recherche de technologies de pointe, grâce à la simulation numérique de phénomènes optiques. Cette initiative permet une expérience inédite associant l’univers des énergies à celui du numérique. 

Depuis 2010, Optis et le CEA travaillent conjointement sur la simulation des images infrarouges. L’enjeu de cette collaboration est notamment de pouvoir mesurer la température des parois des réacteurs de fusion expérimentaux comme ITER, par le biais de la simulation. Grâce à Speos, logiciel de simulation spectrale (UV, infrarouge et visible), le CEA est en mesure de simuler et de mesurer la température des parois des machines de fusion en distinguant la température propre des parois de celle résultant de la réflexion du rayonnement infrarouge sur les matériaux. 

« Compte tenu de l’environnement hautement réflectif des parois en tungstène de nos machines de fusion nucléaire, l’interprétation de la mesure de température par thermographie infrarouge (IR) est ardue. En effet, l’image n’est pas la réalité, comme l’exprime René Magritte dans sa célèbre peinture « La trahison des images » ; les couleurs vives d’une image IR ne sont pas forcément associées à un point chaud de la scène thermique observée mais peuvent résulter de réflexions, commente Marie-Hélène Aumeunier, docteur à l’Institut de recherche sur la fusion par confinement magnétique (IRFM) du CEA. Or, la surveillance infrarouge (IR) est un outil de sécurité essentiel pour la machine. L’intégrité et le bon fonctionnement de la machine dépendent de l’interprétation des mesures IR. La simulation est aussi un outil complémentaire et incontournable pour modéliser le transport des photons dans l’environnement et ainsi différencier les zones de réflexion de vrais points chauds… » Et de poursuivre : « Après avoir mis en concurrence plusieurs solutions, c’est la précision des résultats de simulation du logiciel Speos et ses puissants outils d’analyse, qui nous ont amenés à choisir Optis » 

Anticiper le vieillissement des matériaux réacteurs et leur impact sur la mesure 

Suite à ce premier succès, le CEA a donc décidé de poursuivre sa collaboration avec Optis pour relever de nouveaux défis. Afin de connaître précisément les matériaux envisagés pour les projets de réacteurs de fusion (tokamak) de type Iter et de les optimiser, le CEA a choisi d’utiliser le Virtual BSDF Bench (VBB) d’Optis. Ce laboratoire virtuel de mesure des matériaux permet de simuler la mise en œuvre de matériaux dans des conditions d’utilisation réalistes. Il fournit au CEA des images précises et informatives, en modélisant les phénomènes physiques complexes en jeu lors des interactions des photons avec la matière. Le CEA peut ainsi effectuer un contrôle virtuel de la qualité des matériaux et anticiper l’influence de leur vieillissement dans les réacteurs, en particulier la dégradation de leur état de surface et les conséquences sur l’interprétation de la mesure infrarouge. Cet outil participe ainsi à une meilleure maîtrise des performances des mesures IR, indispensable pour optimiser l’opération des futurs réacteurs tout en assurant la sécurité de leur fonctionnement. 

En parallèle, les équipes de l’IRFM du centre CEA de Cadarache peuvent désormais modéliser plus finement le rayonnement plasma, étudier les phénomènes de polarisation et leurs éventuels impacts sur les résultats de simulation. Speos leur permet d’étudier et d’analyser les résultats en fonction des propriétés de polarisation de ce plasma. Cette avancée est une grande première, rendue possible grâce à l’usage de la simulation numérique physiquement réaliste. « Le CEA comparera ces simulations avec les résultats expérimentaux obtenus dans son tokamak West », ajoute Marie-Hélène Aumeunier. 

Source : https://www.cea.fr/

FluxMotor : une nouvelle solution pour évaluer les performances des moteurs électriques

Altair annonce la sortie de FluxMotor, une plate-forme dédiée à la phase de pré-dimensionnement des machines électriques tournantes. Désormais, FluxMotor fait partie intégrante de la suite logicielle d’Ingénierie Assistée par Ordinateur Altair HyperWorks, qui intègre aussi Flux, le logiciel phare d’analyse par éléments finis pour les simulations électromagnétiques basses fréquences et thermiques.

Ce logiciel permet aux utilisateurs d’assembler virtuellement des moteurs à partir de composants et matériaux standards ou personnalisés, de définir facilement les bobinages puis d’effectuer des séries de tests prédéfinis afin d’évaluer leurs performances. « FluxMotor est un outil de pré-dimensionnement dédié, simple et efficace, destiné à tous les métiers en lien avec les moteurs électriques », explique Grégory Michaud, ingénieur électromagnétique chez SoftBank Robotics, qui a contribué  à la phase de test du logiciel avec l’équipe de développement.

Conçu pour un large éventail d’utilisateurs tels que les concepteurs et les fabricants de machines électriques tournantes, ce logiciel permet aux spécialistes moteurs de définir des machines et d’évaluer leur potentiel technico-économique en quelques minutes.

L’espace de travail de FluxMotor possède une interface graphique intuitive et efficace qui permet une bonne visualisation des caractéristiques et performances de la machine. Les modèles générés peuvent également être facilement exportés dans l’environnement logiciel d’analyse par éléments finis Flux permettant des analyses plus poussées, des couplages multiphysiques et de l’optimisation.

Source : https://www.altair.com/

Le Cetim lance une plateforme dédiée aux capteurs connectés industriels

Le Cetim a présenté sur Enova Paris la première plateforme dédiée aux capteurs connectés industriels. Basée au centre de ressources mécatroniques du Cetim à Annecy, la plateforme du Cetim regroupe toutes les machines nécessaires pour concevoir, développer et industrialiser des solutions de capteurs autonomes communicants pour tous types d’applications. Les premiers projets sont déjà en cours.

Une plateforme de R&D pour les capteurs communicants unique en France

La plateforme installée au Centre de ressources en mécatronique du Cetim à Annecy regroupe l’ensemble des machines nécessaires pour fabriquer un capteur autonome communicant : une machine de sérigraphie et un four de frittage à 900 °C pour « imprimer » des circuits multicouches sur des supports en céramique, un laser d’ajustage automatique qui permet de contrôler l’impédance des circuits et de la corriger si nécessaire, une unité de vernissage UV, une ligne de collage automatique chargée d’associer la partie électronique contenant l’élément sensible sur le corps d’épreuve (le processus de collage en automatique fait l’objet d’un brevet du Cetim) et un four de polymérisation. « Nous sommes en mesure de produire des capteurs d’effort, de couple, de pression et de température, et toutes les mesures indirectes qui peuvent en découler : déplacement, niveau, concentration en gaz, etc. », note Ouadie Bennouna, responsable du Centre de ressources en mécatronique du Cetim.

Quelle valeur ajoutée en comparaison avec des solutions classiques ?

D’abord, l’utilisation d’une haute impédance garantit une consommation jusqu’à trente fois inférieure – et donc une durée de vie trente fois supérieure pour les modèles alimentés par une pile. Ensuite, cette ligne autorise un haut niveau d’intégration, en cumulant jusqu’à sept mesures sur un même support miniaturisé (moins de 1 mm² par élément sensible). Enfin, l’automatisation de l’ensemble de la chaîne assure un coût de fabrication réduit, « à condition de produire des volumes importants », souligne Ouadie Bennouna. La capacité de production de l’ensemble est de 4 000 capteurs par jour. « Avec cet équipement et notre organisation, nous couvrons la chaîne de valeur complète, depuis l’analyse du besoin jusqu’à l’industrialisation, en passant par la faisabilité technique, la construction d’un démonstrateur, le développement d’un prototype jusqu’à la caractérisation des capteurs produits », poursuit le responsable d’Annecy.

Parmi les projets déjà en cours de développement sur la plateforme figure un capteur de pesée intelligent et téléalimenté, d’autres dédiés au domaine médical dont des capteurs de pression sans fil intégrés dans des enceintes étanches voire de pesée pour le monitoring du poids, des vannes capables d’informer sur leur état pendant des dizaines d’années, des développements dédiés aux véhicules autonomes.

De nouveaux équipements en vue

La plateforme va continuer son évolution et s’enrichir de nouveaux partenaires industriels. Au programme : le développement d’un système d’outillages dédiés à chaque client pour le collage, afin de passer rapidement d’une production à une autre et la réalisation d’un banc de caractérisation de capteurs reconfigurable, en synergie avec le Cetim-Ctdec, centre associé au Cetim à Cluses.

Source : https://www.cetim.fr/fr

Le CSTB inaugure un nouvel espace dédié à la simulation interactive

Afin d’accompagner la transition numérique dans le domaine de la construction et de l’aménagement urbain, le Centre scientifique et technique du bâtiment (CSTB) a inauguré le 19 septembre dernier, à Paris, un nouvel espace de simulation virtuelle interactive, la salle Oscar Niemeyer. L’objectif est de permettre aux acteurs de mieux collaborer autour d’un projet, de se concerter, simuler, communiquer – à toutes les phases du projet.

L’espace de simulation virtuelle interactive permet de réunir l’ensemble des acteurs d’un projet, et d’accompagner la démarche Building Information Modeling (BIM) multi-échelles à toutes les étapes des projets de bâtiment et d’aménagement urbain. Acteurs de la maîtrise d’ouvrage (aménageurs publics et privés, promoteurs, bailleurs…), urbanistesindustrielsmaîtrise d’œuvre, bureaux d’études (…), tous les acteurs de la construction et de l’aménagement pourront ainsi s’appuyer sur ce nouvel équipement, pour développer les usages spécifiques dont ils ont besoin aux différentes étapes de leurs projets.

La salle Oscar Niemeyer accueille les acteurs, en phase concours pour une présentation immersive d’un projet, en phase de concertation pour faciliter les échanges au stade de pré-projet pour simuler les performances du bâtiment (par exemple), en phase de réalisation pour mieux coordonner et suivre la mise en œuvre du projet, en phase de promotion et decommunication, de formation, avec un objectif clé : aider à mieux collaborer autour d’un projet et gagner en efficacité et en cohérence.

Un outil pour une simulation virtuelle interactive des projets

La salle Oscar Niemeyer permet de simuler les projets sur un grand écran tactile ; elle répond à des usages multiples : une vision panoramique et en 3D (avec une image parfaitement continue sans ombres portées),  l’immersion acoustique, naviguer et interagir d’un simple geste sur le projet, en temps réel, in situ ou à distance,  travailler ensemble dans la salle et à distance.Étienne Crépon, président du CSTB souligne : « Avec le lancement de la salle Oscar Niemeyer à Paris, le CSTB renforce les moyens mis à la disposition des acteurs pour les accompagner dans la transition numérique. Mieux collaborer autour des projets et gagner en cohérence et en productivité constitue un objectif que nous partageons avec nos partenaires dans le domaine du numérique et avec l’ensemble des acteurs. Nous sommes heureux de pouvoir offrir à présent notre expertise pointue et cet équipement de simulation virtuelle multi-usages pour tous. »

Source : https://www.cstb.fr/

Sopemea met la main sur le laboratoire britannique Parc

Le groupe Sopemea, filiale d’Apave, qui regroupe en France un ensemble de laboratoires spécialisés dans les essais en environnement de matériels et d’équipements utilisés dans de nombreux secteurs (aéronautique, spatial, défense, ferroviaire, énergie, nucléaire, automobile et médical), vient de signer l’acquisition du laboratoire britannique Parc (Product Assessment and Reliability Centre Ltd).

Situé à Bideford (sud-ouest de l’Angleterre), PARC dispose de près de vingt ans d’expérience dans les domaines des essais de vibrations, chocs, climatiques, brouillard salin, étanchéité et altitude ainsi que Halt (Highly Accelerated Life Testing). Le laboratoire Parc renforce ainsi les prestations de Sopemea qui intègre une offre d’essais identiques à destination des acteurs industriels des transports aériens et terrestres, de l’énergie et de la défense.

Accrédité sous le n°2379 par l’instance d’accréditation nationale britannique Ukas (référent analogue au Cofrac en France), PARC est un laboratoire d’une surface de 900 m2 équipée d’un parc de six générateurs de vibration électrodynamiques et de vingt-quatre enceintes climatiques. Il compte ix-sept collaborateurs.

Cette opération permet ainsi au groupe Sopemea de compléter et de projeter son offre de services aux industries britanniques et à ses nombreux clients français présents au Royaume-Uni. Pour Stéphane Torrez, président du groupe français, « cette acquisition représente une formidable opportunité de s’implanter pour la première fois en dehors de nos frontières sur un territoire à très fort potentiel. Parc nous donne la possibilité d’accompagner l’activité de nos clients à l’international en assurant une présence locale à leurs côtés avec une gamme complète d’essais et de maintenance. » Richard Tabor, directeur général de Parc a quant à lui déclaré se réjouire de cette acquisition qui « permettra au laboratoire de poursuivre son développement en mettant à disposition de ses clients britanniques l’éventail de services d’un leader reconnu. » 

Source : https://sopemea.fr/

Enova ouvre ses portes du 19 au 21 septembre à Paris

Enova Paris, le salon des technologies pour les innovations de demain, ouvrira ses portes les 19, 20 et 21 septembre à Paris expo Porte de Versailles, dans le Hall 4.

Les visiteurs trouveront sur le salon Enova tout le savoir-faire technique et scientifique disponible sur le marché, un mur de l’Innovation, un programme de rendez-vous d’affaires, ainsi qu’un cycle de conférences pour vous permettre de bien appréhender toutes les facettes de vos besoins, quelques soient votre secteur d’activité : Aéronautique, militaire mais aussi industrie 4.0, agriculture, agro-alimentaire, smart cities, automobile et transport…

Conjointement au salon se tiendra, comme tous les deux ans, le Congrès international de métrologie (CIM) qui accueillera pas moins de 1 000 partcipants et verra de nombreuses conférences techniques et tables rondes portant sur les processus de mesure et d’essais ainsi que sur les avancées techniques et de R&D en la matière associées à de nombreux cas d’application.

Source : https://www.enova-event.com/

Des amplificateurs à large bande dotés de caractéristiques de transmission réglables

Rohde & Schwarz a officiellement lancé hier la gamme R&S BBA130, premiers amplificateurs au monde à large bande, dans la gamme 80 MHz à 6 GHz, qui permettent aux utilisateurs d’optimiser les caractéristiques de transmission selon les exigences et spécificité de l’application. Le point de fonctionnement des transistors peut être ajusté entre la Classe A et la Classe AB pendant l’utilisation. La tolérance aux désadaptations en sortie peut également être modifiée afin de fournir une puissance plus élevée. Un seul amplificateur couvre une grande variété de scénarios de tests pendant la conception et la validation de produit. 

La famille d’amplificateurs à large bande R&S BBA130 de Rohde & Schwarz, est adaptée à une large variété de tests lors de la conception et la validation de produit. Les amplificateurs à large bande R&S BBA130 ont été conçus pour être utilisés dans le développement, la production, le test de la qualité, en proposant des puissances de sortie de 22 W à 4200 W dans la gamme de fréquence 80 MHz à 6 GHz. Grâce à leur compacité et leur conception modulaire, les amplificateurs peuvent être ajustés et configurés de manière optimale. Cette conception modulaire représente également un investissement sécurisé, avec la possibilité d’augmenter la puissance par la suite et de faire évoluer la gamme de fréquence. 

Deux réglages de paramètres de commande sont utilisés afin d’optimiser le signal de sortie de l’amplificateur : un point de fonctionnement pouvant passer de la Classe A à la Classe AB en permanence et le choix d’une puissance de sortie maximale ou d’une tolérance aux désadaptations élevée. L’utilisateur peut modifier le réglage des deux commandes pendant le fonctionnement, par exemple si la forme d’onde du signal change ou si des exigences différentes sont mises en oeuvre au niveau du signal de sortie lorsque le test est lancé. Dorénavant, un seul amplificateur est nécessaire pour mesurer les données spécifiées d’un dispositif sous test et déterminer ses limites de charge.

La variation du point de fonctionnement pour les transistors modifie les caractéristiques du signal de sortie. Un point de fonctionnement dans la Classe A produit une très bonne linéarité et une bonne performance harmonique, ce qui est idéal pour une génération de signaux CW propres spectralement. Un point de fonctionnement dans la Classe AB fournit une reproduction fidèle des signaux pulsés et améliore l’efficacité de l’amplificateur. 

Avec les amplificateurs R&S BBA130, les utilisateurs peuvent ajuster le point de fonctionnement, choisir entre une puissance de sortie élevée et une tolérance aux désadaptations élevée, étendre la gamme de fréquence et échelonner la puissance de sortie. Ils sont disponibles maintenant auprès deRohde & Schwarz dans les gammes de fréquence allant de 80 MHz à 1.0 GHz, 0.69 GHz à 3.2 GHz et 2.5 GHz à 6.0 GHz, avec des niveaux de puissance de sortie de 22 W à 4200 W.

Source : https://www.rohde-schwarz.fr/

Optis et JVCKenwood développent l’interopérabilité de leur offre en Europe

Après une première collaboration plébiscitée par les constructeurs automobiles japonais, Optis et JVCKenwood étendent leur partenariat à l’Europe.  Cette fois-ci, ce sont les divisions JVCKenwood Europe et Optis Europe qui allient leur savoir-faire et leurs technologies au service de l’éclairage automobile. En développant une entière interopérabilité de leurs offres, les deux sociétés offrent aux constructeurs et fournisseurs une solution complète et prête à l’emploi pour la création et la validation de leurs systèmes d’éclairage.
 
De la simulation aux écrans D-ILA

Grâce à Speos, logiciel de simulation intelligente de la lumière et de visualisation développé par Optis, et à l’écran de JVCKenwood, D-ILA (Direct Image Light Amplifier), les acteurs du monde automobile bénéficient d’un pack unique pour l’analyse et la conception de leurs systèmes d’éclairage, avec pour ambition d’optimiser l’expérience utilisateur. Ils peuvent ainsi créer et visualiser des maquettes virtuelles proches de la réalité et 100% fiables, qui permettront aux équipes de conception de prendre des décisions rapides et fiables lors de leur processus de développement. La clarté de l’écran, associée à la rigueur des simulations physiquement réalistes d’Optis, en font un package idéal pour la conception des éclairages intérieurs et extérieurs des véhicules. Fabricants et fournisseurs peuvent désormais simuler des systèmes d’éclairage hautement fidèles à la réalité, sans pour autant avoir à construire de prototypes de test réels.

« Contrairement aux affichages traditionnels, le système HDR de JVCKenwood émet un maximum de luminosité et retransmet les couleurs avec une précision sans égal, commente Jochen HAHN, General Manager EMEA for Professional Projection Systems. Ces performances permettent aux ingénieurs automobiles une visualisation précise et réaliste des résultats obtenus avec Speos, en termes de rendu des couleurs et de l’éclairage ».

« La validation virtuelle à l’écran constitue un gain de temps réel, qui permet aux constructeurs automobiles de s’émanciper des prototypes physiques, gourmands en temps et en argent, ajoute Jacques Delacour, PDG et fondateur d’Optis. L’association de nos deux technologies permet aux entreprises de simuler des systèmes d’éclairage ultra-réalistes et de prendre des décisions relativement tôt dans le processus de création – relatives au design du produit et à la qualité de son éclairage ».

Source : https://www.optis-world.com/fr

ESI Group renforce sa présence dans la Silicon Valley

ESI Group, principal créateur mondial de logiciels et services de Prototypage Virtuel, annonce l’ouverture d’un nouveau bureau à San José, Californie. Présent aux Etats-Unis depuis près de 20 ans et suite à l’acquisition de Mineset, ESI Group poursuit son développement dans la Silicon Valley, un pôle d’innovation majeur pour l’ensemble des industries.  

Le nouveau bureau de San José accueille l’ensemble des collaborateurs, précédemment basés à Milpitas, Californie, composé d’une équipe de développement spécialisée sur les nouvelles technologies, telles que l’apprentissage automatique (Machine Learning), l’intelligence artificielle (Artificial Intelligence), l’Internet des objets (IOT) ou le Cloud, et d’une équipe marketing, vente et support au service des clients locaux et régionaux. Les locaux bénéficient également d’un centre dernière génération de démonstration de la solution de réalité virtuelle d’ESI, ainsi que d’une salle de formation pour les utilisateurs des solutions du groupe.  

Mike Salari, Vice-Président Exécutif Services d’Ingénierie et Directeur de la région Amériques chez ESI Group, commente : « Le renforcement de la présence d’ESI sur la côte Ouest des Etats-Unis est stratégique afin de promouvoir commercialement notre approche PPL (Product Performance Lifecycle) et le rôle de l’Hybrid Twin (Jumeau hybride) dans la gestion de la performance délivrée par les produits en service. Propice à l’extension de notre écosystème, la Silicon Valley est un épicentre majeur de l’innovation et des technologies émergentes. Notre engagement avec PARC illustre cette opportunité ».  

Dans le cadre d’un partenariat stratégique avec PARC, une société du groupe Xerox, ESI Group vise à développer un écosystème fondé sur les technologies liées au prototypage virtuel. Initié en décembre 2016, ce projet commun de recherche avancée porte sur l’Extension des Modèles à Défaillance Augmentée (FAME) développé par PARC avec l’agence de recherche pour la défense américaine (DARPA). ESI Group a ainsi pu renforcer son expertise dans les technologies et son positionnement dans plusieurs domaines, dont la modélisation de la fiabilité des systèmes, l’évaluation de leur sécurité, la maintenance prédictive et la maintenance sous conditions.  

Aujourd’hui, ESI Group est représenté aux Etats-Unis à travers cinq bureaux : dans le Michigan (Détroit), la Californie (San José et San Diego), l’Alabama (Huntsville) et le Maryland (Columbia). Cet ancrage solide sur le territoire américain permet au groupe de répondre au grand défi des industriels, tant sur le plan global que régional, pour fabriquer des produits plus innovants, moins couteux, avec une réduction drastique des délais ainsi qu’une fiabilité accrue.

Source : https://www.esi-group.com/fr

RS Components distribue les capteurs de gaz compacts Figaro

RS Components (RS) distribue désormais une gamme variée de capteurs de gaz compacts de Figaro, le leader mondial dans le développement de capteurs de détection de gaz. Adaptés à de nombreuses applications industrielles dans la détection et le contrôle de gaz, les capteurs Figaro utilisent des méthodes de détection électrochimiques, à plusieurs couches et à semi-conducteur optimisées pour chaque type de gaz.

Les applications principales incluent la sécurité, les alarmes, les systèmes de mesure et de contrôle, la détection de fuite dans la réfrigération et les systèmes à gaz, la détection de gaz combustibles, la détection de solvants dans les usines et les systèmes de climatisation, le contrôle de qualité de l’air et la détection de monoxyde de carbone.

Cette sélection de capteurs permet de détecter de nombreux gaz comme le monoxyde de carbone, le monoxyde d’azote, le dioxyde d’azote, le dioxyde de soufre, l’ammoniac, le chlore, le sulfure hydrogène, le méthane, les halocarbones, le GPL (gaz de pétrole liquéfié) et d’autres gaz combustibles. La gamme propose aussi plusieurs capteurs de qualité de l’air conçus pour mesurer la présence de composés organiques volatiles, souvent responsables du « syndrome du bâtiments insalubres ».

Parmi les autres produits, on trouve également une série de modules d’évaluation conçus pour tester les performances des capteurs de la gamme de Figaro dans différentes applications, ainsi que des kits de test de gaz et un large choix d’embases pour capteur. La gamme des capteurs de gaz Figaro est désormais disponible chez RS dans les régions EMEA et Asie Pacifique.

Source : https://fr.rs-online.com/web/